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Macky Sall prêt à financer un plan de modernisation des laboratoires

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Macky Sall prêt à financer un plan de modernisation des laboratoires

Le Président de la République, Macky Sall, a invité, mardi à Dakar, la communauté scientifique à élaborer, en partenariat avec son ministère de tutelle, un plan d'équipement et de modernisation des laboratoires, promettant de financer ce projet d'ici les quatre prochaines années."J'invite la communauté scientifique, en relation avec le ministère de la Recherche, à produire un plan d'équipement et de modernisation des laboratoires, et je serai disposé à financer ce plan d'ici les quatre prochaines années", a-t-il dit. Macky Sall s'exprimait lors de la cérémonie solennelle de remise du Grand prix du Président de la République pour les sciences, dont le prix d'excellence est revenu à Amadou Alpha Sall pour l'édition 2011. 

Omar Gaye a reçu le prix d'encouragement pour 2012. Selon le chef de l'Etat, ce projet de réhabilitation des laboratoires devrait aider les chercheurs à "développer leurs capacités entrepreneuriales de manière à valoriser leurs résultats en proposition d'appel". ''L'entreprise a autant intérêt à soutenir les universités que ces derniers ont un réel besoin d'aller vers elles'', a souligné le Président de la République, insistant sur les défis liés à la recherche en général. Macky Sall a rappelé que cette problématique n'est pas nouvelle et engage les différents acteurs concernés : les pouvoirs publics, les scientifiques et le secteur privé. 

Il a par ailleurs souligné que l'encadrement du Grand prix du Président de la République pour les sciences ''mérite qu'un décret soit pris pour asseoir des règles et fixer définitivement le montant de l'enveloppe financière, ainsi que les activités à accorder aux lauréats''. Sur cette base, Macky Sall a précisé que le montant réservé aux lauréats doit être inscrit désormais au budget du ministère de la Recherche. Il a invité le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Serigne Mbaye Thiam, à prendre dans ce sens toutes les dispositions nécessaires. M. Sall a en outre annoncé que les montants des prix - d'excellence et d'encouragement - décernés aux lauréats seront revus à la hausse, pour les porter à respectivement 50 et 20 millions, contre de 30 et 15 millions actuellement.



3 Commentaires

  1. Auteur

    Tef

    En Septembre, 2012 (15:34 PM)
    bien  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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  2. Auteur

    Citoyen

    En Septembre, 2012 (01:16 AM)
    Sauvons nos universités publiques du naufrage



    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.



    Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.



    En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.



    A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.



    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.



    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.





    Il n'est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
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    Auteur

    Citoyen Suite

    En Septembre, 2012 (01:17 AM)
    inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.



    A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.



    L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.



    Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.





    Il n'est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
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