Les descendants de la figure historique sénégalaise Maba Diakhou Bâ ont officiellement déploré la caricature de Cheikh Ahmadou Bamba par le journal panafricain « Jeune Afrique ». Ils s’étaient donné rendez-vous dans la grande mosquée de la capitale du Rip pour revisiter l’œuvre de leurs différents ancêtres que sont Maba Diakhou Bâ et Mama Ndary.
Face à la presse et sous le contrôle du préfet du département, Mame Less Kabou, ils ont dénoncé cette caricature. « C’est un affront, une grave erreur que les journalistes de Jeune Afrique ont commise.
Au nom de toute la famille, nous déplorons cela de toutes nos forces. Serigne Touba est un symbole de l’Islam et nous nous devions de manifester cette colère pour montrer que nous tenons à cet homme de Dieu », a notamment déclaré Djim Momar Bâ.
33 Commentaires
Anonyme
En Février, 2016 (11:52 AM)Anonyme
En Février, 2016 (11:54 AM)Thiedo
En Février, 2016 (11:58 AM)On s'attarde à tellement de banalités, et tous les faux culs (politiques) se disent qu'ils faut qu'ils s'expriment sinon ils vont peut être rater l'histoire.
Les caricatures de prohètes PSL n'ont pas fait autant de bruit que je sache et puis il y a toujours eu des caricatures de nos "marabouts" au Sénégal.
Travaillons mo guen. Certainement une lumière va en profiter pour m'insulter, je lui accorde mon pardon par avance, il ne me donnera que davantage raison.
Attention l'emergence ne passe ni par ça, ni par wally seck ni par balla gueye 2 ni par un quelconque marabout toute confreries confondues.
Anonyme
En Février, 2016 (12:48 PM)pou l'amour de dieu arretez de faire du shirk revenai a dieu et a son prophete tout ce qui a ete descendu a ete dit dans le coran et notre religion est accompli rien a rajoute
vous mettez ces marabout pour ce qui sont perdu a une place ou ils ne doivent pas etre e ne sont que de simple mortel il ne peuvent rien pour vous meme le prophete il a ete dit que il ne peux rien faire qu'avec le permission de dieu et pourtant il est le plus aime par dieu que aucune autre de ses creature le savant donne lui le respect mais le constat est que dans notre pays le respect est passe a l'adoration et quel mauvais peche que dieu nous pardonne
Retio
En Février, 2016 (12:51 PM)Pondy
En Février, 2016 (13:02 PM)Pondy
En Février, 2016 (13:02 PM)Pondy
En Février, 2016 (13:02 PM)Molly
En Février, 2016 (13:11 PM)Foulbés,
En Février, 2016 (13:57 PM)Foulbés.
Anonyme
En Février, 2016 (13:59 PM)Nioro peut bien s attaquer a la caricature faite par J A au venere Serigne Touba .Si l histoire est revisitee Maba Diakhou etait accompagne dans sa mission par Mame Mor Anta Saly et que Mame Diarra repose a Prokhane pas loin de Nioro du Rip.
Nioro peut bien s attaquer a la caricature faite par J A au venere Serigne Touba .Si l histoire est revisitee Maba Diakhou etait accompagne dans sa mission par Mame Mor Anta Saly et que Mame Diarra repose a Prokhane pas loin de Nioro du Rip.
Anonyme
En Février, 2016 (14:28 PM)Pondy
En Février, 2016 (15:02 PM)Anonyme Siin Ga Ndum
En Février, 2016 (15:22 PM)Mortelcritic
En Février, 2016 (15:47 PM)Le Colon a créé de toutes piéces!!
Ils combattaient avec des coupes coupes (!!) , tout à fait ignorants de la technologie des armes ( ils ne soupçonner même pas l'existence de la technique ) pour continuer à régner sur leur petites province de quelques milliers d'habitants, mal nourris, régulièrement décimés par les épidémies, le palu , les infections et l'insalubrité ! Imaginez l'eau des puits qu'ils buvaient!!
Sous développés, arrières et incultes (ils ne connaissaient pas l'écriture et pensaient que les crises paludiques étaient l'action de dëumm ..) , ils ont été obligés de force d'accepter la domination des toubabs , domination qui continue jusqu'à nos jours.
Au lieu de vouer une reconnaissance éternelle aux Colons sans qui, on serait encore là gratter notre terre ingrate pour grappiller quelques epis de mil pour le bol de couscous hebdomadaire devant mourir des familles de 35 personnes ; le lit du pauvre étant prospère ; on fait étalage d'un orgueil mal placé pour louer nos ancêtres , les bouffons défaits , nos fantômes !!
Tristes sénégalais!!
ég
Anonyme
En Février, 2016 (15:51 PM)Pondy
En Février, 2016 (16:02 PM)Pondy
En Février, 2016 (16:02 PM)Anonyme
En Février, 2016 (16:41 PM)C'est un politicien qui utilise la famille ba pour jute se faire un nom... aucun petit fils de Maba Diakhou n'a été au courant de ce point de presse.
A mon avis, s'il y'a une déclaration à faire au non de la famille BA, c'est le Khalif qui doit le faire et non un politicien.
Il est tant que les gens arretent de faire de la politique sous le menteau des hommes de Dieu.
Petis Fils De Maba
En Février, 2016 (17:11 PM)Foulbés,
En Février, 2016 (17:30 PM)«PODOR ET LES DYNASTIES PREMIERES. Le XIème siècle de notre ère voit apparaitre le début de l’Islam sur les terres du Fouta. C’est précisément War Diabi, premier roi de la dynastie des Manna’ qui, après s’être converti, entreprit l’organisation de l’islamisation du Tékhrour qui englobe la partie nord du Sénégal. Saré-Souïma et Saré-Thiofi (Podor), situés au bord du fleuve Sénégal, formaient alors une importante agglomération sur la rive gauche de cet empire. Les habitants de la région, à cheval sur les deux rives du grand fleuve, très tôt donc acquis à la religion du prophète Muhammad (PSL), combattront pendant près de deux siècles, pour étendre et vivier leur foi dans le pays. Les dynasties se succéderont pendant que l’islam prospère sous la férule d’almamys et de marabouts aussi puissants dans leur foi que dans leur ardeur guerrière».
«Podor assiste à nouveau, au XVème siècle, à la naissance du Royaume du Fouta Toro pendant que prenaient forme les empires du Djolof, du Sine et du Saloum. Ville la plus au nord de la rive gauche du Fleuve, Podor est à la pointe ouest de l’Île à Morphil. Cette Île, jadis gîte de très nombreux éléphants, d’où son nom, occupe une bande de terre de deux cents kilomètres de long sur 45-cinq kilomètres dans sa plus grandes largeur, entre deux bras du fleuve Sénégal. Sa position géographique la situe naturellement sur un des points de pénétration des Almoravides, venus du Maghreb à travers le désert du Sahara et la Mauritanie, pour le commerce et la propagation de l’islam. Le choix du site de la cité n’est pas fortuit. La ville, elle-même comprise entre une boucle du Fleuve et la marigot de Doué, était une cité protégée, entourée d’eau, difficile d’accès et facile à défendre contre les invasions maures notamment. Sa fondation remonte à la nuit des temps. Capitale du département qui porte son nom, elle est habitée principalement par des Peuls, des Maures et des Sarakolé».
«Le département de Podor a donné au pays d’illustres et légendaires figures telles Ousmane Dan Fodio, Thierno Souleymane Baal, Thierno Elimane Boubacar Kane, Cheikh Oumar Foutyou Tall, Limammoul Madiw Bâ, Amadou Cheikhou Bâ, Ibra Penda Bouya Bâ, Bra Madiw Bâ, entre autres. Encore, et pas des moindres, liés au département de Podor, Cheikh Amadou Bamba Bâ de Golléré Boussobés, Cheikh El Hadj Malick Sy de Souïma, Cheikh Maba Diakhou Bâ de Bababé et Mbantou… L’Histoire les retient et les glorifie à jamais». Fin de citation.
Saines-Sainte Vérité vraie, celle de Dieu, racontée dignement-noblement par l’illustre Général Mamadou Niang dans son ouvrage (Œuvre historique) intitulé «MEMOIRE SYNCHRONES DU FLEUVE DE MON DESTIN», Préface du professeur Boubacar Kanté, L’Harmattan, juin 2012. Pages 25 à 27
Foulbés.
Foulbés,
En Février, 2016 (17:31 PM)EXTRAIT du discours de M. Dugay Clédor, président du Conseil colonial, à l’occasion de la cérémonie de dissolution de l’escadron des spahis sénégalais le 26 décembre 1927.
M. le Gouverneur,
Mon colonel,
Messieurs,
C’est en ma triple qualité de président du Conseil colonial, d’ancien maire de Saint-Louis et de modeste «barde» sénégalais que je prends la parole ici. Je ne peux ni ne veux cacher mon émotion durant ces dernières fêtes données en l’honneur de l’escadron des spahis sénégalais avant sa dissolution qui sera faite à partir du 1er janvier prochain.
Alors que la création du 1er bataillon des tirailleurs sénégalais est du 21 juillet 1857, par un décret signé à Plombières, celle de l’escadron des spahis remonte à 1843, au moment où allait commencer la période héroïque, celle que nous appelons la « Grande Epopée sénégalaise».
Les faits d’armes de l’escadron sillonnent et illustrent notre œuvre de conquête et la pacification dans le Bas-Sénégal et le Haut-Fleuve, en Mauritanie, au Soudan français et jusqu’au Dahomey.
Dans le Rip, contre le prophète Maba Bâ dit Maba Diakhou Bâ, c’est le gouverneur Pinet-Laprade en personne qui, avec le capitaine Canard, charge à la tête de l’escadron au combat de Paousko contre des troupes fanatisés. Le gouverneur et le capitaine Canard sont sérieusement blessés, mais l’ennemi s’est retiré. Et la série des actions héroïques continue.
L’escadron des spahis se surpasse partout où il a à se mesurer avec l’ennemi, son mordant irrésistible et bravoure légendaire en font la terreur de nos adversaires.
Mais voilà que surgit à nouveau un autre prophète: c’est Ahmadou Cheikhou Bâ qui, né sur les bords du marigot Doué, à Ouro-Mahdiou, est devenu la terreur des rois sénégalais. Ce fanatique dont les pillages et dévastation font penser à Attila, rois des Huns, sème partout la mort sur son passage. Il terrorise nos alliés: il chasse de leur pas le roi du Djolof, le Damel et les princes du Cayor qui vont se réfugier dans le Gandiola, à Tassinère, d’où ils implorent l’assistance du gouverneur.
C’est le Lieutenant-colonel Begin qui l’arrête net au combat de Boundou, plus connu sous le nom de Sammba Sadio. C’est en effet, le 11 février 1875 que se livra le combat de Samba Sadio, non loin du village de Koki. Ce fut l’un des combats les plus terribles que l’escadron eut à soutenir et à gagner. Malgré la résistance héroïque de nos troupes régulières, de nos volontaires et de l’armée de Lat-Dior commandée par celui-ci, par Alboury Ndiaye et Demba War. Fin de citation.
Saines-Sainte Vérité vraie, celle de Dieu, racontée dignement-noblement par l’illustre Général Mamadou Niang dans son ouvrage (Œuvre historique) intitulé «MEMOIRE SYNCHRONES DU FLEUVE DE MON DESTIN», Préface du professeur Boubacar Kanté, L’Harmattan, juin 2012.
Foulbés.
Foulbés,
En Février, 2016 (17:48 PM)Foulbés,
Nous espérons que l'agrégé de leurs fétides histoires, M. Thiam et son équipe auront les dignité-bon sens-sens de l'honneur-bonne moralité pour restituer, enfin, aux dignes-nobles peuples sénégalais leurs HISTOIRES AUTHENTIQUES, mesquinement malmenée par les éternels mesquins falsificateurs-usurpateurs-tricheurs-menteurs.
Foulbés.
Foudre
En Février, 2016 (18:13 PM)Pondy
En Février, 2016 (19:02 PM)Pondy
En Février, 2016 (19:02 PM)Foulbés,
En Février, 2016 (19:46 PM)NOUS maitrisons l'intégralité intégralement intégrale de l'Histoire authentique du Sénégal et de tous ses peuples. Il faut évacuer les tonnes de bobards-foutaises qui dérivent des abjectes falsifications-triches-usurpations-charcutages-greffages-ajouts-rajouts-surajouts-esquives-escamotages-magouilles. Certains-es sont universellement champions-nes en ces horribles matières.
Débarrasser de l'Histoire authentique du Sénégal, de ses peuples, les torrentiels torrents de mensonges qui y sont déversés en permanence et cela depuis 53 ans par certains-es & leurs sinistres frères de là-bas, sinistrement déguisés en religieux, est trop simple.
Les colons avaient tout écrit. À l'IFAN quelques documents historiques sont malmenés, charcutés, truqués ou arrachés.
Une consistante dose bien dosée de dignité-bon sens-sens de l'honneur-bonne moralité, mais aussi d'éthique, équité s'impose pour que cette recherche scientifique soit une recherche scientifique en rétablissant la Vérité vraie, Celle de Dieu.
Peut-être, si c'est le cas, certains-es apprendront à apprendre qu'ils ne savent absolument rien du Sénégal, des Sénégalais, de l'Afrique, Mère de tous les Êtres humains humainement humains. Pour user-abuser-manipuler-manœuvrer-crétiniser certains-es, leurs mesquines pseudos élites, leurs sinistres frères de là-bas, sinistrement déguisés en religieux, font tout pour que ces certains-es restent à jamais coincés-es dans de ténébreuses ténèbres.
Tandis que les dignes-nobles peuples sénégalais apportent une LUMIERE lumineuse, combattent sans arrêt les ignorances-incultures-mensonges-triches-usurpations-falsifications-arrogances-insolences-impolitesses, sources de tous les maux, font la promotion des valeurs universelles afin que les peuples sénégalais soient libres pour être dans les conditions saines-saintes de penser librement par eux-mêmes-pour-eux-mêmes dans la dignité, ceux de là-bas enfoncent leurs semblables dans les cavernes-grottes d'horreurs pour les user-abuser-manœuvrer-manipuler-crétiniser à leur guise, en insérant dans leurs crânes désertique des tonnes de bobards-foutaises, pour évidemment des sinistres desseins .
Foulbés.
Foulbés.
En Février, 2016 (21:28 PM)"[...] Le but de cette énumération non exhaustive du reste, est de montrer le rôle joué par ce département dans l'implantation et la consolidation de l'Islam au Sénégal et en Afrique, ainsi que sa forte contribution et le lourd tribut payé dans la lutte contre la pénétration coloniale. Bien sûr, la légendaire existence des Dényankobés (nom de la dynastie royale des Satigui du Fouta Toro) et des almamys du Fouta (titre porté par les chefs du Fouta après le triomphe des mouvements maraboutiques qui détrônèrent les Dényankobés) ne peut être occultée. Elle débiorderait seulement du cadre de Podor".
"Une autre figure légendaire de Podor ne peut être ni omise ni occultée. Il s'agit de la grande prêtresse, Penda Sarr de Ngaolé, Penda Moussa Boukary, reine des pêcheurs, toujours évoquées par les usagers des fleuves et des rivières de la vallée et au-delà. Elle serait issue du mariage d'un pêcheur et d'une "mounou" faite humaine (génie des eaux). Pour honorer et perpétuer sa mémoire, même durant l'époque coloniale, tout capitaine de navire empruntant le Fleuve se faisait le devoir de siffler à hauteur de Ngaolé. Il existe beaucoup d'autres légendes autour de cette sirène du Fouta, que les habitants de toute a vallée se répètent encore aujourd'hui".
"Les villes de Podor, Saré-Thioffi et Souïma, vu la densité des lettrés et prosélytes qui s'y concentraient, ont engendré de nombreux villages, aukourd'hui encore foyers ardents de connaissance de la science islamique. Il est important de noter que tous ces villages qui demeurent très liés par de fortes parentés ne rivalisent que dans la recherche soufie des voies les meilleures pour les rapprocher de Dieu".
"C'est dans cette logique que, parti de Souïma, Hameth Bâ dit Limamoul Madiw alla s'installer dix kilomètres plus loin, pour une longue retraite mystique dans une zone alors très boisée. Là, il poursuit sa recherche permanente de la proximité de Dieu au bord du marigot de Doué, dans le nouveau village de Wouro Madiw qu'il fonda aux environs de 1813. À partir de ce moment, il entreprit sa mission de propagation de l'islam, y compris dans le Fouta, en même temps que la résistance, émaillée de nombreux et sanglants combats contre la pénétration coloniale". Fin de citation.
Saine-sainte Vérité, Celle de Dieu, tirée de l'Œuvre historique de l'Illustre Général Mamadou Niang, "MEMOIRES SYNCHRONIQUES DU FLEUVE DE MON DESTIN", L'Harmattant, 2012.
Certains-es ne savent pas qu'ils ne savent pas, certains-es ne sauront pas.
Foulbés
Foulbés,
En Février, 2016 (22:01 PM)MAODO MAMADOU DIA, UN SOUFI PUR.
Il avait essayé de protéger le Sénégal des désastres certainiens qui pointaient déjà alors à l'horizon, mais qui ne pouvaient être décryptés que par les SAVANTS-ERUDITS-SOUFIS-SAGES des AUTRES.
Les abjectes conditions dans lesquelles le Sénégal patauge depuis le 01.01.1963, sont les preuves illustratives de la prophétie qui caractérise Maodo Mamadou Dia, Peul pure Souche.
Il y a des GENS même couchés sur leurs nattes voient infiniment plus loin que les minables "êtres" juchés sur les cimes de leurs falaises de HONTES.
Celui ou celle qui ne voit pas plus loin de son nez de fauve cruellement cruelle... finira par être enveloppé dans des désastreux désastres.
Foulbés.
Anonyme
En Février, 2016 (08:10 AM)Elhadji Ndiogou Ly
En Février, 2016 (15:42 PM)Anonyme
En Février, 2016 (11:56 AM)Kalkulart
En Février, 2016 (10:03 AM)Il a obtenu sa recompense.
Maba diakhou était un envahisseur en pays du sine saloum
Il fût vaincu et massacré au champ de bataille de SOMB, et ainsi justice fut faite car il avait tort de s'attaquer à des personnes qui n'ont jamais cherché à le nuire ni à le tuer.
MAba Diakhou était aussi esclavagiste. en echange d'esclave il obtenait des armes des europeens, avec lesquels il a collaboré sur les conquetes à l'intérieur du SENEGAL.
Ce que l'histoire des griots volubiles du senegal ne dit pas tout haut , c'est que la coalition qui a voulou massacrer les sereres était constitué de LAt DIOR et du burba DJOLOF, ce dernier à qui Mansa Waly Mané Dione donna le titre de NDIADIANE NDIAYE au début du 12 ème siècle à leur premier aieul sorti des eaux du fleuve.
PAix verité justice- equité- tolerance-
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