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Parcelles Assainies : la fillette de six ans, le tailleur marié, le dessin de piment représentant le sexe du violeur…

Auteur: Senewebnews-RP

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A. D., six ans à l’époque des faits, est formelle : le tailleur B. Ndiaye, qui habite le même immeuble que ses tantes, chargées de sa garde, l’a violée à trois reprises en 2021. «Il a introduit le piment trois fois dans mon …», a-t-elle déclaré à l’enquête préliminaire.
Invitée à expliquer l’emploi du terme «piment», la fillette a déclaré qu’après chaque viol elle ressentait des douleurs atroces au niveau de ses parties intimes. Mais pour être mieux fixés, les enquêteurs demandent à la victime de représenter ledit piment sur une feuille de papier. Elle dessine l’appareil génital masculin.
 
Placé sous mandat depuis quatre ans, B. Ndiaye a été jugé devant la Chambre criminelle de Dakar pour viol, pédophilie et détournement de mineure, selon L’Observateur, qui a retracé cette affaire dans son édition de ce lundi 28 avril.
Le journal informe qu’à la barre, le tailleur a nié les faits qui lui sont reprochés. «Il a déclaré n’avoir agi à l’égard de la fillette que par compassion, affirmant qu’il lui offrait  parfois des pièces ou des cadeaux car il la voyait maltraitée par ses tantes», reprend la même source.
 
B. Ndiaye est allé plus loin, selon le quotidien du Groupe futurs médias : il jure que cette histoire a été montée de toutes pièces parce qu’il aurait refusé de faire une remise à une des tantes de la victime sur les prix de tenues.
 
C’est d'ailleurs une des tantes de A. D., Ramatoulaye, qui a porté plainte contre lui. D’après le récit de L’Observateur, elle a été alertée par sa sœur, Dieynaba, qui, en lavant les habits de leur nièce, a constaté des traces de sang sur une de ses culottes. Elle interpelle la petite fille, qui déclare être tombée des escaliers de l’immeuble où sa famille loge, au premier étage.
«Peu convaincue, sa tante la presse de questions jusqu’à ce qu’elle finisse pas avouer», renseigne le journal. A. D. déclare alors avoir été violée à trois reprises.
La première, dit-elle, un samedi sur la terrasse de leur immeuble, alors qu’elle revenait de l’école. La deuxième se serait déroulée quelques jours plus tard dans la chambre du tailleur après que ce dernier lui a demandé d’aller lui acheter des cigarettes. Le mis en cause aurait encore récidivé, si l’on en croit l’enfant.
 
Convaincu de la culpabilité de B. Ndiaye, le procureur a requis l’application de la loi. «La défense a plaidé le renvoi des fins de la poursuite à titre principal et la relaxe à titre subsidiaire», informe L’Observateur avant d’annoncer que le délibéré est fixé au 27 juillet prochain.
Auteur: Senewebnews-RP

Commentaires (5)

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    Team dkr il y a 4 mois

    C'est vraiment dégoûtant ou va cette jeunesse,il y a tellement des dames autorisées a avoir des relations en quand de consentement là-bas y a pas prison où accusations ni rien ? C'est une maladie ou quoi

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    psycho il y a 4 mois

    Qui d'autre n'est pas totalement convaincu de cette histoire selon le récit ? Il manque clairement des élément qui laissent peu de marge au juge de condamner.

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    Zoom il y a 4 mois

    Viol, viol, viol rek! Le Sénégal est devenu fou thi lima yakar...

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    il y a 4 mois

    Il faut lui mettre un piment dans les fesses chaque soir avant l'heure d'aller dormir

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    reply_author il y a 4 mois

    tu parles bien du violeur j'espère.

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    reply_author il y a 4 mois

    Oui le violeur évidemment

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    TOUNE KARA il y a 4 mois

    Il est primordial que les parents prennent conscience de l'importance de leur rôle de protecteurs et de surveillants dans la vie de leurs enfants. Cette histoire tragique nous rappelle que la sécurité de nos enfants ne doit jamais être prise pour acquise, même au sein de notre propre foyer ou parmi des proches. Trop souvent, la confiance aveugle envers des adultes ou des membres de la famille peut mener à des situations dramatiques. Les enfants sont vulnérables et ont besoin d’une vigilance constante. Il est essentiel de leur enseigner à reconnaître les dangers, tout en établissant un dialogue ouvert où ils se sentent à l’aise de partager leurs inquiétudes. Ne laissons pas les abus se produire par négligence. Soyons présents, attentifs et protecteurs, car chaque parent a le devoir de garantir un environnement sûr et sain pour son enfant.

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