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RAMADAN : La célèbre et historique Bataille de Bedr

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RAMADAN : La célèbre et historique Bataille de Bedr

Le champ de bataille de Bedr 

 

Le dix septième (17ème) jour du mois béni de Ramadan est une date pleine d’enseignements dans l’histoire de l’Islam : il marque la légendaire bataille de Badr. 

 

Cette bataille qui a opposé, un vendredi de l’an deux (2) de l’hégire, musulmans exilés à Médine et mécréants qurayshites de la Mecque, a marqué un tournant décisif dans la mission apostolique du Prophète Mouhammad (Paix et Salut sur Lui) et dans l’expansion de l’Islam naissant. 

 

Après douze années de brimades, de tortures et de vexations vécues à la Mecque, le Prophète (Paix et Salut sur Lui), reçut de son Seigneur l’ordre d’émigrer à Médine avec les nouveaux convertis pour servir la cause de Dieu. Ils sont partis laissant derrière eux familles et biens. 

 

Cependant malgré l’exil, les mécréants mecquois continuaient toujours à être un réel danger pour les musulmans à cause de leur puissance militaire et de leur influence dans la zone. Mouhammad Rassoul Lah (Paix et salut sur Lui) et ses compagnons étaient donc obligés de trouver des moyens de défense, pour venir à bout de cette menace permanente. 

 

Le Prophète était accompagné de trois cent treize compagnons dont soixante dix-sept émigrés de la Mecque (Muhàjirûn) et deux cent trente six habitants de Médine (Ansàr). L’armée musulmane était moins armée que celle des mécréants et était presque dépourvue de provisions. Elle comptait deux chevaux et environ soixante dix chameaux. 

 

Quant aux mécréants, guidés par Satan le lapidé, ils étaient bien préparés et avaient suffisamment de montures. De plus, leur provision pour une journée était l’équivalent de ce que les musulmans consommaient pendant un mois. Les mécréants avaient aussi plus d’expérience en matière de guerre. 

 

Malgré l’inégalité des forces, les croyants décidèrent à l’unanimité, en guise de fidélité à leur engagement vis-à-vis de Dieu et derrière le Prophète (Paix et Salut sur Lui) de combattre les ennemis de Dieu. 

 

La bataille se solda par une victoire éclatante des musulmans appuyés par une escorte de trois milles anges sous la conduite de Seyyidinâ Jibril (caleyhi salam) et une défaite inoubliable des mécréants. 

 

S’adressant à son prophète (Paix et Salut sur Lui) au sujet de cette bataille, Allah Lui dit dans le Saint Coran : 

 

« Allah vous a donné la victoire, à Badr alors que vous étiez humiliés. Craignez Allah donc. Afin que vous soyez reconnaissants » (S3.V123). 

 

Plus loin, il ajoute : 

 

« (Rappelez-vous), quand Allah vous promettait qu’une des deux bandes sera à vous. Vous désiriez vous emparer de celle qui était sans armes, alors qu’Allah voulait par Ses paroles faire triompher la vérité et anéantir les mécréants jusqu’au dernier ". (S8V7) 

 

« Afin qu’Il fasse triompher la vérité et anéantir le faux, en dépit de la répulsion qu’en avaient les criminels ». (S8V8) 

 

« (Et rappelez-vous) le moment où vous imploriez le secours de votre Seigneur et qu’Il vous exauça aussitôt : "Je vais vous aider d’un millier d’Anges déferlant les uns à la suite des autres". » (S8V9) 

 

« Allah ne fit cela que pour (vous) apporter une bonne nouvelle et pour qu’avec cela vos cœurs se tranquillisent. Il n’y a de victoire que de la part d’Allah. Allah est Puissant et Sage. » (S8V10) 

 

« Et s’ils veulent te trahir..., c’est qu’ils ont déjà trahi Allah [par la mécréance] ; mais Il a donné prise sur eux [le jour de Badr]. Et Allah est Omniscient et Sage. » (S8 V71) 

 

Dans le sermon qu’il a prononcé à l’approche de la célébration du Grand Magal de Touba 2002, Serigne Saliou Mbacké nous fait savoir que lorsque Satan, qui au début, faisait savoir aux mécréants que personne ne pouvait les vaincre et qu’il était leur protecteur, se rendit compte que les anges étaient venus en renfort et remarqua la présence de ces illustres anges (Jibrîl, Mikà’îl, Isràfîl et cazrà’îl) qui l’avaient chassé lors de son expulsion du royaume d’Allah, il fut frappé d’une grande panique et prit la fuite en disant : "je vois ce que vous ne voyez pas." (S 2V318) 

 

Le Saint Coran dit encore : 

 

- Et aussi, au moment de la rencontre, Il vous les montrait peu nombreux à vos yeux, de même qu’Il vous faisait paraître à leurs yeux peu nombreux afin qu’Allah parachève un ordre qui devait être exécuté. C’est à Allah que sont ramenées les choses. (S8V44) 

 

C’est la raison pour laquelle à la fin de la bataille, Dieu s’adressa au Prophète (Paix et Salut sur Lui) et aux musulmans en ces termes : 

 

- Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais : mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audiant et Omniscient. 

Ecrits du Cheikh au sujet de la Bataille de Bedr 

 

Dans certains de ses écrits, Cheikh Ahmadou Bamba évoque cet événement historique qui marque le début de l’épanouissement de l’Islam et en tire des enseignements. 

 

Il décrit la bravoure et la détermination avec lesquelles les croyants ont préparé cette bataille malgré leur petit nombre. Il nous parle également de la victoire éclatante obtenue par l’appui du Seigneur qui fit descendre 3000 anges en aide à son Messager. 

Nous vous présentons deux extraits sur la légendaire bataille de Bedr. Le premier est extrait de son poème MIMIYA (rime anonyme en Mîm) et le second de l’Attirance des cœurs Jazbul Qulub). 

 

MIMIYA (rime anonyme en Mîm) 

Vers 118 à 155 

 

118. « Ses compagnons combattants rencontrèrent une difficulté, lorsqu’ils furent pris au dépourvu par un grand nombre de libertins fort hautains 

 

119. Il [le Prophète] apparut telle une Pleine Lune le Jour de Bedr en Tête des musulmans, avec l’intention d’élever la Voix de CELUI Qui Exalte leur Volonté 

 

120. Car, Seul parmi ses compagnons, une cohue de damnés qui n’est jamais reconnaissante aux Bienfaits [de DIEU] Lui vint ce Jour, Le prenant à partie 

 

121. Les gens imbus de vertus furent conduits à Bedr par leur bonheur ; et chacun, résolu, comptait entièrement sur DIEU 

 

122. Les compagnons se précipitèrent ensemble, en vertu de leur attachement au Prophète pour l’Amour de leur CREATEUR, de manière à exclure toute accusation 

 

123. Il y’avait parmi eux les califes : le véridique (Abû Bakr), de même que CUmar, CUthmân, ainsi qu’Ali, celui qui passionne les érudits 

 

124. Car le cœur de CUthmân était présent parmi eux comme tous les combattants ; quant aux trois autres, leur présence physique n’était pas occulte 

 

125. Le véridique (Abû Bakr) L’a cru d’emblée sur parole par la Vérité, étant soumis et exempt d’hésitation 

 

126. Le discriminateur loyal (Fârûqul Hudâ), en l’occurrence CUmar, s’est séparé du doute ; et l’homme au deux lumières (Uthman) s’est accordé le bénéfice de la circonstance sans peine 

 

127. Puis l’éminent ’Ali a fini par obtenir un rang plus élevé, car il n’a cessé de traverser l’armée des ennemis 

 

128. Que l’Agrément de DIEU se répande sur eux tout le temps, comme la Lumière qui éloigne des ténèbres se répandait sur eux pour les éclairer 

 

129. Ils ont des prodiges extraordinaires qui ont conduit vers nous une joie nous apportant des avantages dont la sérénité n’est jamais troublée 

 

130. Grâce à eux, DIEU Qui est avec nous, nous a épargnés, sans peine, du combat jusqu’à Son Paradis et ce, par Pure Grâce 

 

131. Ils ont tué les ennemis de DIEU, depuis qu’ils se sont révélés avec leurs manœuvres le Jour de Bedr, chacun d’eux s’étant abandonné à DIEU 

 

132. Lorsque devant eux, ils aperçurent les ennemis, Il [le Prophète] leur apprit des choses qui nous réjouissent perpétuellement 

 

133. Le Prophète se concerta alors avec ses compagnons pour les honorer, et ensuite déboucha la caravane d’Abû Sufiyân 

 

134. Sans leur malheur, ils ne se seraient pas dirigés vers Bedr, mais ils sont, quant à eux, des aveugles frappés de mutité 

 

135. Si ce n’était pas à cause du bonheur de tous les compagnons du Prophète, ils ne se seraient pas dirigés vers leur Bedr, chacun très résolu 

 

136. Ils marchèrent, les uns hardiment, les autres intrépides, vers Bedr, pour le succès des bienheureux et le malheur des perdants, cela est bien connu 

 

137. DIEU, le TRES-HAUT, possède en cela un Secret Intact qu’IL confie aux Sages dans Ses Décrets 

 

138. Après s’être concertés [auxiliaires et émigrés], ils vinrent avec leurs avis ; parmi eux, SaCd tint des propos qui levèrent toute équivoque 

 

139. Puis Ibnul ’Aswad manifesta son accord à ce que le Prophète les mena [eux Ançârs], fût-il jusqu’à « Barkul Ghimâd », témoignant d’une sincérité à toute épreuve 

 

140. Notre seigneur CUmar le discriminateur (Al Fârûq) fit après ces deux une déclaration sur la supériorité numérique des ennemis sur les musulmans 

 

141. Ils firent la course vers Bedr après leur détermination et allumèrent le feu du combat de grande envergure 

 

142. Ils employèrent les sabres et les lances entre eux, de sorte que la poussière s’éleva épaisse vers le ciel 

 

143. Le MAITRE du Trône apporta une Armée [Céleste] contre laquelle une troupe de muets sourds à Ses Signes ne saurait lutter de pieds fermes 

 

144. Une Cavalerie d’Anges armés de Lances mit en déroute à Bedr une cohorte de sourd muets 

 

145. Un millier (d’Anges), suivi de mille et mille autres, marchèrent précipitamment sur des cadavres en ce temps-là, et ce, de la Part du SEIGNEUR GLORIEUX 

 

146. Lorsqu’ils parvinrent à Bedr, il y’avait parmi eux l’Archange Gabriel sur (Hayzûm), [sa monture] qui est impétueuse

 

147. Ils allèrent à l’encontre de tout mécréant et de tout superbe, en provenance du Ciel, telle une averse drue et abondante 

 

148. Leur nuage de poussière voilant les vallées de montagnes, Gabriel criant avec satisfaction « En avant Hayzûm » ; et la Meilleure Créature effectua le jet [de sa poignée de sable] 

 

149. Ainsi apparut dans son égarement Abû Jahl qui fut désabusé [informé de la réalité amère] par un homme de la Bonne Voie qui lui amputa aussitôt la jambe et le mit à mort 

 

150. S’il était sain d’esprit, il aurait signé la paix avec Lui [le Prophète] avant que ne s’allumât le feu de la guerre qui terrifie 

 

151. Mais le sens du mot constituant la deuxième partie de son sobriquet l’a poussé au malheur, car le sort dévolu à chacun s’accorde au sens de son nom 

 

152. Si ce n’était pas à cause de la damnation, il ne se serait pas mesuré à Celui sans qui le CREATEUR n’aurait rien créé 

 

153 Sur Lui, la Prière de CELUI Qui Lui a fait Don du Miracle, par le Jet [de sa poignée de sable] qui a semé la peur dans l’armée ennemie, aussitôt mise en débandade 

 

154. Les Signes de la Vérité ne sont cachés à personne, sauf à celui dont le cœur est frappé de cécité 

 

155. La cécité du cœur est une maladie incurable qui n’a de remède que par l’entrée de sa victime dans le Feu Flambant (Lazhâ) qui est la Demeure de l’injuste » 

 

Attirance des cœurs (Jazbul Qulûb) 

 

Dans l’Attirance des cœurs (Jazbul Qulub) du vers 112 au vers 132, le Cheikh Ahmadou Bamba aborde également cette bataille légendaire : 

 

 

112. (Seigneur !) accorde Ta Prière au Lion qui a apporté la Solution le Jour de Bedr avec ses compagnons orthodoxes, car Il honora sa Grande Promesse 

 

113. Accorde Salut et Gloire à la Pleine Lune qui a dissipé les ténèbres des cœurs, aux possesseurs des degrés supérieurs et à sa faction 

 

114 Le Meilleur des hommes émergea au milieu de la Meilleure faction vers les superbes, et ce, comme une Lune au milieu des étoiles 

 

115. Le Jour où le combat fut âpre, le Jour où l’affrontement fut à son paroxysme, le Jour où les braves hommes se firent connaître, le Jour de l’Agrément et de la Disgrâce 

 

116. Ce Jour-là fut triomphal pour les hommes de la Droiture, un bénéfice pour ceux qui veulent s’élever à un rang supérieur et un Jour de vertu pour toute personne soumise 

 

117. Un Jour où le SEIGNEUR des créatures accorda la Rémission à tous ceux qui prirent part au combat, de leurs péchés insignes et véniels 

 

118. Les compagnons qui sont des hommes destinés au bonheur rencontrèrent ce Jour les rebelles condamnés au malheur ; et ils étaient tous [les compagnons) des lions furieux, hautement résolus 

 

I119. ls [les compagnons] s’étaient tous précipités délibérément vers la mort, chacun d’eux faisant preuve de bravoure, cherchant la rencontre ou l’achoppement, pour l’amour de l’Effaceur de l’angoisse 

 

120. Ils ont pris d’assaut ceux dont le Plus Eminent des Intercesseurs leur avait prédit la mort, au point où la poussière ne manqua de se soulever entre poltrons et braves 

 

121. Puis vinrent du Ciel des Chevaux et une Très Grande Armée à destination du Chef des honorables, pour un bonheur sans inquiétude 

 

122. Le SEIGNEUR L’a secouru en effectif [pour L’honorer] par une Armée d’Anges de Grande Importance, mais pas pour la bataille ; "Ils" décimèrent les présomptueux 

 

123. On compte parmi ces Anges, lorsqu’ils arrivèrent, son Glorieux Ami Gabriel, l’Excellent Appui, monté sur un Gigantesque Etalon 

 

124. Ils s’empressèrent à la confrontation, munis de sabres et de lances, par amour de la vertu et du bonheur, derrière le Plus Eminent Dirigeant 

 

125. Et parmi eux, on notait le clairvoyant, notre seigneur très heureux, le plus sincère de ceux qui croient au Hachémite Bien Connu 

 

126. Le grand véridique, l’imposant, le révéré, son compagnon tout patient dans la grotte, en plus de la Compagnie de DIEU, le TRES ?SAVANT 

 

127. Et parmi eux, il y avait le bénéficiaire de la Bonne Nouvelle dans tout acte de justice, notre seigneur cUmar, le consulté, qui est la gloire de tout musulman 

 

128. Il y avait également parmi eux, celui qui a épousé les deux filles du Chef des Vertueux - qui constituent deux lumières - depuis qu’il a obtenu le bonheur de la rémission de tout péché 

 

129. Notre seigneur paré de vertus, en l’occurrence Uthman, qu’ils ont assassiné alors qu’il lisait le Livre Sacré du POURVOYEUR des Dons 

 

130. Et encore parmi eux, le destructeur de l’idolâtrie, le père de Al Husayn et de Al Hasan,"la porte des sciences" ; il est le beau-fils (du Prophète), le père des nobles étoiles 

 

131. Notre seigneur anobli, son Ali qui est insigne, le tueur des ennemis, l’intrépide, l’effaceur de malheur et de tristesse 

 

132. C’est en ce Jour que nous avons acquis la garantie contre l’inquiétude, contre la peine et la honte, contre la tristesse et le regret » 

 

source Htcom.sn



34 Commentaires

  1. Auteur

    Latsoukabé

    En Août, 2011 (11:17 AM)
    Les tarifs n'ont jamais réellement baissé même aprés le premier retrait du decret. L'etat ou la SONATEL continue de faire son beurre sur le dos des emigrés.

    REVEILLEZ EMIGRES, ON VOUS VOLE SANS HONTE.



    Reduisez vos achats de cartes téléphoniques, le BOYCOT, c'est le seul Langage que comprends les vampires de la SONATEL et de l'ETAT.



    GOLO DOU BAY, BAABOUN DI DOUNDEE !! :down: 
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  2. Auteur

    Allo

    En Août, 2011 (11:30 AM)
    L'islam thia kaw tha kanamrek  :sn:  :sn:  :sn: 
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    Auteur

    Pierre Manga

    En Août, 2011 (11:35 AM)
    que des balivernes

    que des mensonges

    DIEU n'arme jamais les hommes pour se battre, les vies que vous avez massacré vous en rendrez compte devant DIEU :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla:  :tala-sylla: 
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    • Auteur

      Ndiago

      En Juillet, 2022 (12:51 PM)
      Et Ousmane Sonko ton guru, il a peur de faire face a la presse et repondre aux questions des journalistes. Depuis que l'affaire Sonko-Adji Sarr a eclate, Sonko ne fait que des points de presse. Il a peur de prendre des questions. A quand une conferrence de press? Il veut etre notre president, donc il a des comptes a nous rendre. Celui qui veut nous gouverner doit faire face a la presse et repondre a nos questions. 
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    • Auteur

      Reply_author

      En Juillet, 2022 (02:08 AM)
      Je ne crois pas que Sonko, le plus nul opposant de l'histoire politique du Senegal, soit intellectuellement capable pour une debat avec le President and je ne vois pas de raison pour laquelle Macky devrait lui accorder une quelconque importance devant des opposants comme Abdourahmane Diouf, TAS, MLD, Abdoul Mbaye etc.
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    Auteur

    Manga Ii

    En Août, 2011 (11:52 AM)
    Pénis Manga Té un incridule
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    Auteur

    Mariemesoda

    En Août, 2011 (11:52 AM)
    MashALLAH l'ISLAM bakouna!!!!
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    Auteur

    Allahou Akbar

    En Août, 2011 (11:53 AM)
    ALLAHOU AKBAR

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    Auteur

    Soukou,ram,dieubalou

    En Août, 2011 (12:11 PM)
    seuls les mécréants et les ignorants peuvent ne pa croire à l'envoyer de DIEU.avec tt ce ki se passe autour de vous.khana bou yonente yalla AINSAdélossé di nguèene gueum nak.yalla nalène yalla guindi si barké SEYDINA MOUHAMAD
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    Auteur

    L Islam

    En Août, 2011 (12:11 PM)
    yaw pierre loy def fii bo touboul ba dee safara rek yen cretiens yi yenay fesal safara dem len rek MOHAMED psl est

    le derniere messageait de DIEU et le CORAN est le livre SACRE qui conduit les croyant dans droit chemain.et JESSUS-CRIST avait dit dans le CORAN sourat SAFFI verset 5-6 OH les hommes D ISRAEL je suis votre MESSAGEAIT .............et il ya un PROPHET qui venait derriere MOI ill s´appel MOUHAMED psl ........ donc vous deviez savoir ça et apres JESSUS c votre premiere dirigeant qui a change le BIBLE et modifie les PAROLES de JESSUS.-

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    Echnaton

    En Août, 2011 (12:39 PM)
    W'ARE TIRED TO HEARD THE SAME SONG FOR SO LONG WICH BRINGS NOTHING FOR US AFRICANS;LETS TALK ABOUT KHEMET IS BETTER,THATS OUR CULTUR ,RATHER THAN THE INVIDERS CULTUR WHO TURN US TO SLAVE, PHISICALY & AGAIN MENTALY;LETS BE FREE & SAVE THE CHILDREN.
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    Peuls,

    En Août, 2011 (12:46 PM)
    Pauvres certains-es! Certains-es récupérent-usurpent-adaptent-charcutent-déguisent-falsifient-greffent-ajoutent-rajoutent-camouflent pour se donner une illusoire importance ou une fantaisiste éruditon qui n'existe que dans leurs mesquins rêves! Les 3 religions prophétiques, comme d'autres, connaissent le jeûne et ont fixé pour cela des temps précis. Pour les Juifs ce jour là est celui de la "réconciliation", devenu par la suite une journée de deuil national, qui n'est pas lié ni au sabbat ni aux jours de fête. Depuis ses origines, la communauté chrétienne connait aussi le jeûne, même si, selon la clair indication du Sermont sur la montage, "les gens ne doivent pas remarquer que tu jeûnes, mais seulement ton Père, qui voit dans le secret". À partir du Moyen Âge, et surtout après la Réforme, ce jeûne se réduisit de plus en plus. Il disparut totalement dans le protestantisme, et, depuis le concile du Vatican II, l'Eglise catholique ne le prescrit plus.....
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    Eyedol

    En Août, 2011 (13:01 PM)
    mon souhait é de combatrre satan au coté de mouhamed paix et slt sur lui
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    Papis

    En Août, 2011 (13:47 PM)
    En vérité, votre Communauté est une et Je suis votre Seigneur ; Adorez-Moi !

    Or, ils se disputent les uns les autres le commandement. Cependant que tous, vers Nous, retournent.”S21.V92-93.En vérité, votre Communauté est une et Je suis votre Seigneur ; Adorez-Moi !

    Or, ils se disputent les uns les autres le commandement. Cependant que tous, vers Nous, retournent.”S21.V92-93.Avant toute chose nous rappellerons que les quatre grandes Ecoles juridiques s’accordent sur un point primordial : « La détermination du mois de Ramadân repose sur l’observation visuelle du premier croissant dès lors que le mois de sha‘bân a atteint 29 jours. »



    L’essentiel en cette définition est « l’observation visuelle du croissant, « al hilâl », principe fondé a priori sur les textes coraniques et hadistiques. Notre recherche en ces deux articles reposera par conséquent sur l’étude des dites sources ainsi que sur l’analyse des argument de ceux qui, à présent, militent pour, d’une part, le « jeûne universel » et, d’autre part, pour la suprématie du calcul astronomique théorique, eux aussi prétendant s’en référer au Coran et à la Sunna.2- D’un point de vue rationnel ; à moins de penser que la terre est plate, l’idée d’un jeune commun est parfaitement saugrenue. Si la terre est ronde chacun sait qu’il fait jour ici, et nuit là-bas. En d’autres termes, certains font l’iftâr pendant que d’autres le sahûr !ce ki veut dire aujourdhui vendredi partout dans le monde on est dans le meme jour ya pas un pays kie en avance plus de 24 heures cad un jourLa tache est ici aisée puisque l’ensemble des citations coraniques provient d’un même chapitre, S2.V183-189, le seul qui soit consacré au Ramadân. Nous lisons :



    “ Ô croyants, Il vous a été prescrit le Jeûne…” S2.V183.



    “ En des jours comptés…” S2.V184.



    “ Mois de Ramadân… que celui qui est malade ou en voyage compte alors d’autres jours…” S2.V185.



    “ …Donc, qui d’entre vous a « témoigné » du mois, alors qu’il le jeûne…” S2.V185.



    “Ils t’interrogent sur les nouvelles lunes ; réponds : « Elles sont les repères temporels pour les hommes…” S2.V189



    - L’on constatera que l’ordre de Dieu est d’emblé au collectif : “ Ô croyants, Il vous a été prescrit le Jeûne…”



    A ces jeûneurs il est ensuite dit : “ En des jours comptés [m‘adûdât] ” le verbe « ‘adda » est précis, il signifie sans ambiguïté « compter de visu », « dénombrer », c’est-à-dire par numération concrète. Plus encore, « compter en petit nombre », exactement comme l’on dit en français « en des jours comptés », c’est-à-dire un temps précis et délimité, ici le mois de Ramadân dont le décompte est par conséquent visuel. Il y a donc contrainte temporelle pour ce jeûne obligatoire et il est alors logiquement spécifié que chaque jour non jeûné –cas d’exemptions- sera compensé : “ Mois de Ramadân… que celui qui est malade ou en voyage compte alors d’autres jours…”Puis vient un autre passage essentiel à notre problématique : “ …Donc, qui d’entre vous a « témoigné » du mois, alors qu’il le jeûne…”, notre traduction est strictement littérale, mot à mot. On notera d’emblée que si l’ordre de jeûner le mois de Ramadân est collectif, la responsabilité, elle, est individuelle : « qui d’entre vous » c’est-à-dire :« quiconque [toi] d’entre vous [les musulmans] ». Puis il est dit de cette personne qu’elle aura « témoigné » du mois. Le verbe « shahida » ici employé est extrêmement spécifique et déterminant ; « shahida » c’est « assister à un évènement, être présent, constater directement et visuellement un fait », d’où « témoigner, attester », nous trouvons là confirmation de ce qu’indiquait le verbe « ‘adda ».pour conclure je ne pas avoir la date de la bataille a deux reprises dans le meme moi la nuit de la destinee est une seule nuit le coran ne peut descendre ici ojourdhui et demain un otre paysnsuite, dernière référence coranique, nous lisons : “Ils t’interrogent sur les nouvelles lunes ; réponds : « Elles sont les repères temporels pour les hommes…”
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    Auteur

    Papis

    En Août, 2011 (13:51 PM)
    a tache est ici aisée puisque l’ensemble des citations coraniques provient d’un même chapitre, S2.V183-189, le seul qui soit consacré au Ramadân. Nous lisons :



    “ Ô croyants, Il vous a été prescrit le Jeûne…” S2.V183.



    “ En des jours comptés…” S2.V184.



    “ Mois de Ramadân… que celui qui est malade ou en voyage compte alors d’autres jours…” S2.V185.



    “ …Donc, qui d’entre vous a « témoigné » du mois, alors qu’il le jeûne…” S2.V185.



    “Ils t’interrogent sur les nouvelles lunes ; réponds : « Elles sont les repères temporels pour les hommes…” S2.V189
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    Auteur

    Papis

    En Août, 2011 (13:53 PM)
    L’on constatera que l’ordre de Dieu est d’emblé au collectif : “ Ô croyants, Il vous a été prescrit le Jeûne…”



    A ces jeûneurs il est ensuite dit : “ En des jours comptés [m‘adûdât] ” le verbe « ‘adda » est précis, il signifie sans ambiguïté « compter de visu », « dénombrer », c’est-à-dire par numération concrète. Plus encore, « compter en petit nombre », exactement comme l’on dit en français « en des jours comptés », c’est-à-dire un temps précis et délimité, ici le mois de Ramadân dont le décompte est par conséquent visuel. Il y a donc contrainte temporelle pour ce jeûne obligatoire et il est alors logiquement spécifié que chaque jour non jeûné –cas d’exemptions- sera compensé : “ Mois de Ramadân… que celui qui est malade ou en voyage compte alors d’autres jours…”



    - Puis vient un autre passage essentiel à notre problématique : “ …Donc, qui d’entre vous a « témoigné » du mois, alors qu’il le jeûne…”, notre traduction est strictement littérale, mot à mot. On notera d’emblée que si l’ordre de jeûner le mois de Ramadân est collectif, la responsabilité, elle, est individuelle : « qui d’entre vous » c’est-à-dire :« quiconque [toi] d’entre vous [les musulmans] ». Puis il est dit de cette personne qu’elle aura « témoigné » du mois. Le verbe « shahida » ici employé est extrêmement spécifique et déterminant ; « shahida » c’est « assister à un évènement, être présent, constater directement et visuellement un fait », d’où « témoigner, attester », nous trouvons là confirmation de ce qu’indiquait le verbe « ‘adda
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    Auteur

    Papis

    En Août, 2011 (13:57 PM)
    - Ensuite, dernière référence coranique, nous lisons : “Ils t’interrogent sur les nouvelles lunes ; réponds : « Elles sont les repères temporels pour les hommes…”donc il ne peut pas avoir deux date dans un meme mois la nuit de la destinee est une seule nuit ou le coran est descendu il ne peut etre descendu oujourdhui ici et demain un otre pays
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    Auteur

    Saly

    En Août, 2011 (14:06 PM)
    slt je veu un boulot jai le niveau terminal mon pere est en retraite je l ainee de la famille jai meme arreter les etudes pour les aider ki peut maider jabite a touba svp jatten vos reponses
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    Auteur

    Juste Milieu

    En Août, 2011 (15:12 PM)
    Salut mes amis,

    Moi j'appelle notre ami Kouthia de se ressaisir et craindre Allah et de savoir qu'il est musulman et d'etre certain un jour il va rencontrer son createur seul et il repondra de tous les actes qu'il a posés durant son existence.

    Je pense ce qu'il fait dans son emission presentement dans ce mois béni de ramadan O combien sacré pour Allah et nous les musulmans, est abominable , honteux , revoltant et blasphématoire. S'il ne savait pas on lui dit que tout vrai musulman qui a un point de foi dans son coeur est indigné et choqué et attristé par ce qu'il fait. L'islam ne connait pas l'humour croyez moi je vous jure. L'islam vient d'Allah et Dieu ne s'amuse pas vous le savez. Lui s'il a opté pour faire des amusements jusqu'à en faire son trvail c'est son choix il l'assumera le jour où il sera interrogé dans sa tombe par les anges. Il l'assumera egalement le jour où le Puissant Allah lui demandera comment et dans quoi il a passé sa vie surtout sa jeunesse. S'aurais uniquement cela on s'offusquerait pas pour autant , car c'est entre lui et Dieu son createur. Mais s'il prend en raillerie l'islam et ses loi principes et dogmes qui sont sacrés pour toute la communauté , là on lui demande , on lui prie d'arreter . ce n'est pas loin (si ce n'est pas pire encore ) de ce que le fameux norvégien avait fait ou ce que salman rushdi avit dit sur le coran. Encore une fois il n'est pas tard de se repentir il s'est certes egaré mais nous lui souhaitons qu'une bonne fin.
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    Auteur

    Juste Milieu

    En Août, 2011 (15:27 PM)
    Salut mes amis,

    Moi j'appelle notre ami Kouthia de se ressaisir et craindre Allah et de savoir qu'il est musulman et d'être certain un jour il va rencontrer son créateur seul et il répondra de tous les actes qu'il a posés durant son existence.

    Je pense ce qu'il fait dans son émission présentement dans ce mois béni de ramadan O combien sacré pour Allah et nous les musulmans, est abominable , honteux , révoltant et blasphématoire. S'il ne savait pas on l’informe que tout vrai musulman qui a un point de foi dans son cœur est indigné et choqué et attristé par ce qu'il fait. L'islam ne connait pas l'humour croyez moi je vous jure. L'islam vient d'Allah et Dieu ne s'amuse pas vous le savez. Lui s'il a opté pour faire des amusements jusqu'à en faire son travail c'est son choix il l'assumera le jour où il sera interrogé dans sa tombe par les anges. Il l'assumera également le jour où le Puissant Allah lui demandera comment et dans quoi il a passé sa vie surtout sa jeunesse. S'aurais uniquement cela on s'offusquerait pas pour autant, car c'est entre lui et Dieu son créateur. Mais s'il prend en raillerie l'islam et ses loi principes et dogmes qui sont sacrés pour toute la communauté, là on lui demande, on lui prie d’arrêter. Et que personne, de grâce ne nous dise qu’il est libre de le faire, non il ne l’est pas. S’il insultait ici un marabout, un père de quelqu’un ou même un sportif ou un musicien, certes tu verras ses fans ses talibés s’ériger en bouclier et réparer par tous les moyens cet affront. S’il s’agit de l’islam d’Allah du prophète il n’y personne pour le défendre ? SI tu parles … on te taxe de eupeul ou extrémiste ! Ce que tu fais toi kouthia est égale à (si ce n'est pas pire encore) ce que le fameux norvégien avait fait ou ce que salman rushdi avait dit sur le coran. Tu fais la honte des musulmans , tu révoltes les musulmans , Ne nous demandez pas zapper on parlera et agira pour que cela cesse inchalla.

    « Quiconque se détourne du rappel d’Allah (le coran ) certes il mènera une vie plein de gêne et il sera ressuscité le jour dernier aveugle et il s’écriera pourquoi je suis ressuscité aveugle alors que jadis sur terre j’étais parmi les voyants et Dieu de lui répondre c’est ainsi t’étais détourné de mes versets » Coran. Donc Kouthia Encore une fois il n'est pas tard de se repentir il s'est certes égaré mais nous lui souhaitons qu'une bonne fin.

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    Jean Ex Musulman Convetri Au C

    En Août, 2011 (15:35 PM)
    Depuis ma naissance, j'étais imprégné de la culture musulmane. A partir de 12 ans, j'avais commencé à pratiquer l'Islam, religion de mon pays et de ma famille, tout en condamnant sévèrement la chrétienté. Mon but était alors de ressembler, ou plutôt d'imiter le plus possible Mahomet, le fondateur de l'Islam. Je jeûnais souvent, je passais beaucoup de temps dans la Mosquée, le lieu de prière du musulman, et lisais tous les jours le Coran, leur livre "Saint". Prier Allah cinq fois par jour en me tournant en direction de la Mecque, était un exercice quotidien de foi et de sincérité. Ma ferveur religieuse prenait de l'ampleur pendant le Ramadan. Je rêvais de pouvoir un jour faire un voyage à la Mecque, lieu saint de l'Islam, l'expérience suprême pour le Musulman. Ma foi aurait atteint son apogée.



    A l'âge de 18 ans, je suis venu en France pour faire des études en Physique, Chimie et Mathématiques, à l'Université de Caen. Là, je fus contacté pour la première fois par une femme chrétienne qui tenait un stand biblique au restaurant universitaire. Je n'espérais pas plus, car enfin j'avais l'occasion de prêcher l'Islam à un chrétien ! Jusqu'alors, je ne savais rien au sujet de la Bible, sinon qu'elle était "falsifiée", selon ce que j'avais appris en tant que musulman. L'Islam m'avait enseigné que les chrétiens faisaient de Jésus le Fils de Dieu, et pour moi, cela n'était ni plus ni moins qu'un blasphème impardonnable. Aussi, n'osais-je même pas laisser cette idée effleurer mon esprit, car ç'aurait été ma condamnation éternelle. En plus, le Coran affirme ceci : "Dis : il y a un seul Dieu, il n'a pas engendré, et il n'a pas été engendré, et il n'a point d'égal." (Sourate 112). Ainsi, la filialité de Jésus et sa divinité se trouvaient balayées du même coup. Jésus n'était pour moi qu'un simple homme, prophète certes, mais créé de poussière au même titre qu'Adam. Il faut ajouter que tout ce qu'affirme la Bible, comme le péché originel, la Trinité, l'amour divin, le salut par grâce, m'était étranger. Cependant, ma religion me demandait de croire que la Bible était la Parole de Dieu, sans pour autant prendre ses enseignements au sérieux. Pour expliquer ce paradoxe, l'Islam prétend que la Bible a été falsifiée par les Juifs et les Chrétiens et qu'il est par conséquent impossible d'accéder au vrai texte. Je croyais simplement cette assertion sans l'avoir jamais vérifié.



    Le temps passait, et j'assistais à quelques réunions d'église. Cela m'a aidé à comprendre l'Evangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu souverain, Puissant, sans aucune indulgence pour le pécheur. Quand on me parlait de cet amour, j'avais les larmes aux yeux, mais je restais quand même sûr que l'Islam était la bonne et la meilleure voie. Néanmoins, un combat violent s'était déclaré en moi-même. Aussi avais-je décidé d'étudier et de comparer la Bible et le Coran. A mesure que je lisais, je me rendais compte que la Bible était autre chose que ce que je me représentais ; et surtout que l'image que je me faisais de Jésus était tout à fait fausse. D'étranger, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les hommes rejetés, pansé les blessures de tous les opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et beauté de Dieu qui aime les malheureux et prend le parti des humiliés ? Mais surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ?



    Après les recherches, je commençais à avoir des doutes sur la falsification de la Bible, mais je ne pouvais encore croire ni à la Trinité, ni à la filialité divine de Jésus, et encore moins à sa crucifixion. En effet, l'Islam nie tout simplement que Jésus fût crucifié. Une autre chose qui m'empêchait de croire, c'était ma famille. Se convertir et quitter l'Islam, c'est renier sa famille, sa patrie. Le prix me paraissait trop élevé. C'était toujours le côté où se trouvaient ma famille, mes amis, qui penchait dans la balance. Au bout de 2 ans, j'étais arrivé à ne plus supporter d'entendre parler de l'Evangile, tellement cela me frustrait. Si je discutais avec des amis, cela finissait toujours par des disputes.



    Quoique refusant l'Evangile, j'aimais passer du temps dans la famille du pasteur. Le lundi 5 août était un jour comme tant d'autres chez eux. Bien sûr, il fallait encore que j'entende l'Evangile. J'avais de plus en plus de mal à résister à l'amour de Christ, mais cette fois-là, je décidais que c'en était trop, et que je ne voulais plus jamais entendre parler de Jésus-Christ ! J'insistais que l'on me ramène chez-moi. Pour me calmer, je pris le Coran et me mis à le lire. Les paroles sortaient de mes lèvres, mais mon coeur restait sec, contrairement à d'habitude. Je décidai donc de dormir. Il était deux heures du matin. Dans mon lit, je commençais à prier Allah, tel que je le faisais chaque nuit, mais le vide m'entourait autant que le silence. Malgré tout ce que j'essayais, je n'arrivais pas à trouver cette paix de coeur que je désirais tant à cet instant. Soudain, poussé par une force invisible, je m'écriai : "Dieu, qui que tu sois, révèle-toi à moi !" C'est alors que le nom de Jésus se mit à raisonner dans ma tête, puis dans tout mon être. La présence de Jésus s'est imposé avec une netteté inouïe. "Est-ce toi , Jésus ?" demandai-je, alors que je n'y pensais absolument pas. Mon corps tremblait ! "Si c'est toi Jésus, je t'accepte, ajoutai-je". Le sentiment qui m'envahissait à ce moment est indescriptible. Je sus que Jésus est réellement d'un autre monde, du monde de Dieu. Mais je ne pouvais me résigner à cela. Aussi, immédiatement après, je commençai à crier : "non, non, non...", parce que je me rendis compte que j'ai dit quelque chose qui allait bouleverser ma vie. Mais je ne pouvais fuir le nom de Jésus ; sa présence de Jésus avait envahi la pièce.



    En titubant, je descendais les escaliers pour me aller téléphoner au pasteur. Il était 2h15 du matin, lorsque, tout tremblant, je composai machinalement son numéro. "Il faut absolument que je parle au pasteur !" ai-je dit à sa femme. Je n'ai donné aucun détail concernant la raison pour laquelle je leur demandais de venir me voir au beau milieu de la nuit. Ils m'ont dit plus tard que par le ton de ma voix, ils pensaient que je faisais une dépression nerveuse. J'étais assis au fond de la salle lorsqu'ils sont arrivés. En voyant le pasteur, je lui sautai dans les bras ! Il m'a rapidement demandé ce qui se passait. En sanglots, je lui ai répondu : " Il faut que j'accepte Jésus dans ma vie !" J'étais alors si ému que je n'avais plus de force dans mes jambes ; je m'appuyais donc contre le pasteur pour aller dans son bureau. Une fois que j'étais assis, il m'a répété sa question, car il n'avait pas compris ma demande. Je lui répétai alors que je désirais accepter Jésus-Christ dans ma vie. En entendant cela, un sourire illumina le visage du pasteur, et il lui fallut un grand effort pour ne pas sauter dans mes bras. Je connaissais si bien le plan du salut, mais je voulais maintenant qu'il devienne une réalité dans ma vie. Le pasteur m'a demandé si je croyais que Jésus est le Fils de Dieu et Dieu véritable. -Oui, je le crois, répondis-je ! - Crois-tu, Jamel, que Christ est mort sur la croix pour tes péchés, et qu'Il est ressuscité pour t'assurer la vie éternelle en Lui ? - Oui, je le crois ! - A tous ceux qui l'ont reçu, continua le pasteur, à ceux qui croient en son nom, Il a donné le pouvoir de devenir Ses enfants. Crois-tu qu'il peut faire de toi son enfant ? - Oh oui, je le crois ! Nous nous sommes agenouillés dans la prière, et j'ai reçu Jésus-Christ dans ma vie, comme mon Sauveur et mon Maître. Quelle paix inondait mon coeur, une paix que je n'avais jusqu'alors jamais connu ! Je m'adressais enfin à Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus qui fut crucifié et ressuscité pour moi.



    Je n'ai pas évoqué le problème du péché pendant ce témoignage. Mais il faut que je le fasse maintenant pour que chacun comprenne que cela constitue le noeud du problème dans toute religion. Comment un homme souillé, méchant, indigne peut-il se tenir devant Dieu ? Le sentiment du mal m'a toujours tourmenté. Mes efforts pour satisfaire les exigences de Dieu restaient vains. Comment aurais-je pu obtenir le pardon pour des offenses inqualifiables ? Seul Jésus Christ pouvait faire en sorte l'impensable devienne possible, que Dieu ouvre ses bras pour m'accueillir dans sa grâce et son amour !
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    Auteur

    Islam

    En Août, 2011 (15:38 PM)
    MA CHA ALAAAAAAAAAAAAAAAAAA
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    Auteur

    Jean Ex Musulman

    En Août, 2011 (16:00 PM)
    Depuis ma naissance, j'étais imprégné de la culture musulmane. A partir de 12 ans, j'avais commencé à pratiquer l'Islam, religion de mon pays et de ma famille, tout en condamnant sévèrement la chrétienté. Mon but était alors de ressembler, ou plutôt d'imiter le plus possible Mahomet, le fondateur de l'Islam. Je jeûnais souvent, je passais beaucoup de temps dans la Mosquée, le lieu de prière du musulman, et lisais tous les jours le Coran, leur livre "Saint". Prier Allah cinq fois par jour en me tournant en direction de la Mecque, était un exercice quotidien de foi et de sincérité. Ma ferveur religieuse prenait de l'ampleur pendant le Ramadan. Je rêvais de pouvoir un jour faire un voyage à la Mecque, lieu saint de l'Islam, l'expérience suprême pour le Musulman. Ma foi aurait atteint son apogée.



    A l'âge de 18 ans, je suis venu en France pour faire des études en Physique, Chimie et Mathématiques, à l'Université de Caen. Là, je fus contacté pour la première fois par une femme chrétienne qui tenait un stand biblique au restaurant universitaire. Je n'espérais pas plus, car enfin j'avais l'occasion de prêcher l'Islam à un chrétien ! Jusqu'alors, je ne savais rien au sujet de la Bible, sinon qu'elle était "falsifiée", selon ce que j'avais appris en tant que musulman. L'Islam m'avait enseigné que les chrétiens faisaient de Jésus le Fils de Dieu, et pour moi, cela n'était ni plus ni moins qu'un blasphème impardonnable. Aussi, n'osais-je même pas laisser cette idée effleurer mon esprit, car ç'aurait été ma condamnation éternelle. En plus, le Coran affirme ceci : "Dis : il y a un seul Dieu, il n'a pas engendré, et il n'a pas été engendré, et il n'a point d'égal." (Sourate 112). Ainsi, la filialité de Jésus et sa divinité se trouvaient balayées du même coup. Jésus n'était pour moi qu'un simple homme, prophète certes, mais créé de poussière au même titre qu'Adam. Il faut ajouter que tout ce qu'affirme la Bible, comme le péché originel, la Trinité, l'amour divin, le salut par grâce, m'était étranger. Cependant, ma religion me demandait de croire que la Bible était la Parole de Dieu, sans pour autant prendre ses enseignements au sérieux. Pour expliquer ce paradoxe, l'Islam prétend que la Bible a été falsifiée par les Juifs et les Chrétiens et qu'il est par conséquent impossible d'accéder au vrai texte. Je croyais simplement cette assertion sans l'avoir jamais vérifié.



    Le temps passait, et j'assistais à quelques réunions d'église. Cela m'a aidé à comprendre l'Evangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu souverain, Puissant, sans aucune indulgence pour le pécheur. Quand on me parlait de cet amour, j'avais les larmes aux yeux, mais je restais quand même sûr que l'Islam était la bonne et la meilleure voie. Néanmoins, un combat violent s'était déclaré en moi-même. Aussi avais-je décidé d'étudier et de comparer la Bible et le Coran. A mesure que je lisais, je me rendais compte que la Bible était autre chose que ce que je me représentais ; et surtout que l'image que je me faisais de Jésus était tout à fait fausse. D'étranger, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les hommes rejetés, pansé les blessures de tous les opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et beauté de Dieu qui aime les malheureux et prend le parti des humiliés ? Mais surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ?



    Après les recherches, je commençais à avoir des doutes sur la falsification de la Bible, mais je ne pouvais encore croire ni à la Trinité, ni à la filialité divine de Jésus, et encore moins à sa crucifixion. En effet, l'Islam nie tout simplement que Jésus fût crucifié. Une autre chose qui m'empêchait de croire, c'était ma famille. Se convertir et quitter l'Islam, c'est renier sa famille, sa patrie. Le prix me paraissait trop élevé. C'était toujours le côté où se trouvaient ma famille, mes amis, qui penchait dans la balance. Au bout de 2 ans, j'étais arrivé à ne plus supporter d'entendre parler de l'Evangile, tellement cela me frustrait. Si je discutais avec des amis, cela finissait toujours par des disputes.



    Quoique refusant l'Evangile, j'aimais passer du temps dans la famille du pasteur. Le lundi 5 août était un jour comme tant d'autres chez eux. Bien sûr, il fallait encore que j'entende l'Evangile. J'avais de plus en plus de mal à résister à l'amour de Christ, mais cette fois-là, je décidais que c'en était trop, et que je ne voulais plus jamais entendre parler de Jésus-Christ ! J'insistais que l'on me ramène chez-moi. Pour me calmer, je pris le Coran et me mis à le lire. Les paroles sortaient de mes lèvres, mais mon coeur restait sec, contrairement à d'habitude. Je décidai donc de dormir. Il était deux heures du matin. Dans mon lit, je commençais à prier Allah, tel que je le faisais chaque nuit, mais le vide m'entourait autant que le silence. Malgré tout ce que j'essayais, je n'arrivais pas à trouver cette paix de coeur que je désirais tant à cet instant. Soudain, poussé par une force invisible, je m'écriai : "Dieu, qui que tu sois, révèle-toi à moi !" C'est alors que le nom de Jésus se mit à raisonner dans ma tête, puis dans tout mon être. La présence de Jésus s'est imposé avec une netteté inouïe. "Est-ce toi , Jésus ?" demandai-je, alors que je n'y pensais absolument pas. Mon corps tremblait ! "Si c'est toi Jésus, je t'accepte, ajoutai-je". Le sentiment qui m'envahissait à ce moment est indescriptible. Je sus que Jésus est réellement d'un autre monde, du monde de Dieu. Mais je ne pouvais me résigner à cela. Aussi, immédiatement après, je commençai à crier : "non, non, non...", parce que je me rendis compte que j'ai dit quelque chose qui allait bouleverser ma vie. Mais je ne pouvais fuir le nom de Jésus ; sa présence de Jésus avait envahi la pièce.



    En titubant, je descendais les escaliers pour me aller téléphoner au pasteur. Il était 2h15 du matin, lorsque, tout tremblant, je composai machinalement son numéro. "Il faut absolument que je parle au pasteur !" ai-je dit à sa femme. Je n'ai donné aucun détail concernant la raison pour laquelle je leur demandais de venir me voir au beau milieu de la nuit. Ils m'ont dit plus tard que par le ton de ma voix, ils pensaient que je faisais une dépression nerveuse. J'étais assis au fond de la salle lorsqu'ils sont arrivés. En voyant le pasteur, je lui sautai dans les bras ! Il m'a rapidement demandé ce qui se passait. En sanglots, je lui ai répondu : " Il faut que j'accepte Jésus dans ma vie !" J'étais alors si ému que je n'avais plus de force dans mes jambes ; je m'appuyais donc contre le pasteur pour aller dans son bureau. Une fois que j'étais assis, il m'a répété sa question, car il n'avait pas compris ma demande. Je lui répétai alors que je désirais accepter Jésus-Christ dans ma vie. En entendant cela, un sourire illumina le visage du pasteur, et il lui fallut un grand effort pour ne pas sauter dans mes bras. Je connaissais si bien le plan du salut, mais je voulais maintenant qu'il devienne une réalité dans ma vie. Le pasteur m'a demandé si je croyais que Jésus est le Fils de Dieu et Dieu véritable. -Oui, je le crois, répondis-je ! - Crois-tu, Jamel, que Christ est mort sur la croix pour tes péchés, et qu'Il est ressuscité pour t'assurer la vie éternelle en Lui ? - Oui, je le crois ! - A tous ceux qui l'ont reçu, continua le pasteur, à ceux qui croient en son nom, Il a donné le pouvoir de devenir Ses enfants. Crois-tu qu'il peut faire de toi son enfant ? - Oh oui, je le crois ! Nous nous sommes agenouillés dans la prière, et j'ai reçu Jésus-Christ dans ma vie, comme mon Sauveur et mon Maître. Quelle paix inondait mon coeur, une paix que je n'avais jusqu'alors jamais connu ! Je m'adressais enfin à Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus qui fut crucifié et ressuscité pour moi.



    Je n'ai pas évoqué le problème du péché pendant ce témoignage. Mais il faut que je le fasse maintenant pour que chacun comprenne que cela constitue le noeud du problème dans toute religion. Comment un homme souillé, méchant, indigne peut-il se tenir devant Dieu ? Le sentiment du mal m'a toujours tourmenté. Mes efforts pour satisfaire les exigences de Dieu restaient vains. Comment aurais-je pu obtenir le pardon pour des offenses inqualifiables ? Seul Jésus Christ pouvait faire en sorte l'impensable devienne possible, que Dieu ouvre ses bras pour m'accueillir dans sa grâce et son amour !
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    Auteur

    Jean Nasri

    En Août, 2011 (16:07 PM)
    Depuis ma naissance, j'étais imprégné de la culture musulmane. A partir de 12 ans, j'avais commencé à pratiquer l'Islam, religion de mon pays et de ma famille, tout en condamnant sévèrement la chrétienté. Mon but était alors de ressembler, ou plutôt d'imiter le plus possible Mahomet, le fondateur de l'Islam. Je jeûnais souvent, je passais beaucoup de temps dans la Mosquée, le lieu de prière du musulman, et lisais tous les jours le Coran, leur livre "Saint". Prier Allah cinq fois par jour en me tournant en direction de la Mecque, était un exercice quotidien de foi et de sincérité. Ma ferveur religieuse prenait de l'ampleur pendant le Ramadan. Je rêvais de pouvoir un jour faire un voyage à la Mecque, lieu saint de l'Islam, l'expérience suprême pour le Musulman. Ma foi aurait atteint son apogée.



    A l'âge de 18 ans, je suis venu en France pour faire des études en Physique, Chimie et Mathématiques, à l'Université de Caen. Là, je fus contacté pour la première fois par une femme chrétienne qui tenait un stand biblique au restaurant universitaire. Je n'espérais pas plus, car enfin j'avais l'occasion de prêcher l'Islam à un chrétien ! Jusqu'alors, je ne savais rien au sujet de la Bible, sinon qu'elle était "falsifiée", selon ce que j'avais appris en tant que musulman. L'Islam m'avait enseigné que les chrétiens faisaient de Jésus le Fils de Dieu, et pour moi, cela n'était ni plus ni moins qu'un blasphème impardonnable. Aussi, n'osais-je même pas laisser cette idée effleurer mon esprit, car ç'aurait été ma condamnation éternelle. En plus, le Coran affirme ceci : "Dis : il y a un seul Dieu, il n'a pas engendré, et il n'a pas été engendré, et il n'a point d'égal." (Sourate 112). Ainsi, la filialité de Jésus et sa divinité se trouvaient balayées du même coup. Jésus n'était pour moi qu'un simple homme, prophète certes, mais créé de poussière au même titre qu'Adam. Il faut ajouter que tout ce qu'affirme la Bible, comme le péché originel, la Trinité, l'amour divin, le salut par grâce, m'était étranger. Cependant, ma religion me demandait de croire que la Bible était la Parole de Dieu, sans pour autant prendre ses enseignements au sérieux. Pour expliquer ce paradoxe, l'Islam prétend que la Bible a été falsifiée par les Juifs et les Chrétiens et qu'il est par conséquent impossible d'accéder au vrai texte. Je croyais simplement cette assertion sans l'avoir jamais vérifié.



    Le temps passait, et j'assistais à quelques réunions d'église. Cela m'a aidé à comprendre l'Evangile du salut. L'amour de Dieu, manifesté à la croix, m'avait bouleversé, moi qui ne connaissais qu'un Dieu souverain, Puissant, sans aucune indulgence pour le pécheur. Quand on me parlait de cet amour, j'avais les larmes aux yeux, mais je restais quand même sûr que l'Islam était la bonne et la meilleure voie. Néanmoins, un combat violent s'était déclaré en moi-même. Aussi avais-je décidé d'étudier et de comparer la Bible et le Coran. A mesure que je lisais, je me rendais compte que la Bible était autre chose que ce que je me représentais ; et surtout que l'image que je me faisais de Jésus était tout à fait fausse. D'étranger, Jésus devenait pour moi un homme unique ! Qui a, comme lui, consolé les pauvres, accueilli les hommes rejetés, pansé les blessures de tous les opprimés ? Qui a, comme lui, parlé avec simplicité et beauté de Dieu qui aime les malheureux et prend le parti des humiliés ? Mais surtout, qui a, comme lui, révélé le Dieu Père de tous ceux qui placent leur confiance en lui ?



    Après les recherches, je commençais à avoir des doutes sur la falsification de la Bible, mais je ne pouvais encore croire ni à la Trinité, ni à la filialité divine de Jésus, et encore moins à sa crucifixion. En effet, l'Islam nie tout simplement que Jésus fût crucifié. Une autre chose qui m'empêchait de croire, c'était ma famille. Se convertir et quitter l'Islam, c'est renier sa famille, sa patrie. Le prix me paraissait trop élevé. C'était toujours le côté où se trouvaient ma famille, mes amis, qui penchait dans la balance. Au bout de 2 ans, j'étais arrivé à ne plus supporter d'entendre parler de l'Evangile, tellement cela me frustrait. Si je discutais avec des amis, cela finissait toujours par des disputes.



    Quoique refusant l'Evangile, j'aimais passer du temps dans la famille du pasteur. Le lundi 5 août était un jour comme tant d'autres chez eux. Bien sûr, il fallait encore que j'entende l'Evangile. J'avais de plus en plus de mal à résister à l'amour de Christ, mais cette fois-là, je décidais que c'en était trop, et que je ne voulais plus jamais entendre parler de Jésus-Christ ! J'insistais que l'on me ramène chez-moi. Pour me calmer, je pris le Coran et me mis à le lire. Les paroles sortaient de mes lèvres, mais mon coeur restait sec, contrairement à d'habitude. Je décidai donc de dormir. Il était deux heures du matin. Dans mon lit, je commençais à prier Allah, tel que je le faisais chaque nuit, mais le vide m'entourait autant que le silence. Malgré tout ce que j'essayais, je n'arrivais pas à trouver cette paix de coeur que je désirais tant à cet instant. Soudain, poussé par une force invisible, je m'écriai : "Dieu, qui que tu sois, révèle-toi à moi !" C'est alors que le nom de Jésus se mit à raisonner dans ma tête, puis dans tout mon être. La présence de Jésus s'est imposé avec une netteté inouïe. "Est-ce toi , Jésus ?" demandai-je, alors que je n'y pensais absolument pas. Mon corps tremblait ! "Si c'est toi Jésus, je t'accepte, ajoutai-je". Le sentiment qui m'envahissait à ce moment est indescriptible. Je sus que Jésus est réellement d'un autre monde, du monde de Dieu. Mais je ne pouvais me résigner à cela. Aussi, immédiatement après, je commençai à crier : "non, non, non...", parce que je me rendis compte que j'ai dit quelque chose qui allait bouleverser ma vie. Mais je ne pouvais fuir le nom de Jésus ; sa présence de Jésus avait envahi la pièce.



    En titubant, je descendais les escaliers pour me aller téléphoner au pasteur. Il était 2h15 du matin, lorsque, tout tremblant, je composai machinalement son numéro. "Il faut absolument que je parle au pasteur !" ai-je dit à sa femme. Je n'ai donné aucun détail concernant la raison pour laquelle je leur demandais de venir me voir au beau milieu de la nuit. Ils m'ont dit plus tard que par le ton de ma voix, ils pensaient que je faisais une dépression nerveuse. J'étais assis au fond de la salle lorsqu'ils sont arrivés. En voyant le pasteur, je lui sautai dans les bras ! Il m'a rapidement demandé ce qui se passait. En sanglots, je lui ai répondu : " Il faut que j'accepte Jésus dans ma vie !" J'étais alors si ému que je n'avais plus de force dans mes jambes ; je m'appuyais donc contre le pasteur pour aller dans son bureau. Une fois que j'étais assis, il m'a répété sa question, car il n'avait pas compris ma demande. Je lui répétai alors que je désirais accepter Jésus-Christ dans ma vie. En entendant cela, un sourire illumina le visage du pasteur, et il lui fallut un grand effort pour ne pas sauter dans mes bras. Je connaissais si bien le plan du salut, mais je voulais maintenant qu'il devienne une réalité dans ma vie. Le pasteur m'a demandé si je croyais que Jésus est le Fils de Dieu et Dieu véritable. -Oui, je le crois, répondis-je ! - Crois-tu, Jamel, que Christ est mort sur la croix pour tes péchés, et qu'Il est ressuscité pour t'assurer la vie éternelle en Lui ? - Oui, je le crois ! - A tous ceux qui l'ont reçu, continua le pasteur, à ceux qui croient en son nom, Il a donné le pouvoir de devenir Ses enfants. Crois-tu qu'il peut faire de toi son enfant ? - Oh oui, je le crois ! Nous nous sommes agenouillés dans la prière, et j'ai reçu Jésus-Christ dans ma vie, comme mon Sauveur et mon Maître. Quelle paix inondait mon coeur, une paix que je n'avais jusqu'alors jamais connu ! Je m'adressais enfin à Dieu comme mon Père céleste, et cela grâce à Jésus qui fut crucifié et ressuscité pour moi.



    Je n'ai pas évoqué le problème du péché pendant ce témoignage. Mais il faut que je le fasse maintenant pour que chacun comprenne que cela constitue le noeud du problème dans toute religion. Comment un homme souillé, méchant, indigne peut-il se tenir devant Dieu ? Le sentiment du mal m'a toujours tourmenté. Mes efforts pour satisfaire les exigences de Dieu restaient vains. Comment aurais-je pu obtenir le pardon pour des offenses inqualifiables ? Seul Jésus Christ pouvait faire en sorte l'impensable devienne possible, que Dieu ouvre ses bras pour m'accueillir dans sa grâce et son amour !
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    Weuz

    En Août, 2011 (22:42 PM)
    L'islam est véritablement la religion de la vérité et du droit chemin.
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    Marwan

    En Août, 2011 (23:18 PM)
    UN PROHET VIOLEUR D'ENFANTS DE 6 A 9 ANS NON MERCI.
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    Auteur

    Pier Manga

    En Août, 2011 (00:03 AM)
    t un vrès mangue ver..... yalla dafa kastrè sa khol do guiss deugue tè doko dègue
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    Marwan Petit Fils De Satan

    En Août, 2011 (00:12 AM)
    t un malade mental tu doit aller consulter un psicatre
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    Kheusba

    En Août, 2011 (00:33 AM)
    Conférence de Serigne Atou Diagne à l’Université du Ramadan organisée par Al Wafa





    Serigne Atou Diagne Responsable Moral de Hizbut-Tarqiyyah sera l’invité de Al Wafa le samedi 20 août 2011 soit le 19 ramadan 1432H après la prière de Asr à la mosquée de Darou Mouhty.



    Il présentera dans le cadre de l’Université du Ramadan une conférence sur le thème : " l’Universalité du Message de Cheikh Ahmadou Bamba"



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    Kembou

    En Août, 2011 (00:46 AM)
    POUVEZ VOUS ME DIRE QUI SONT LES PREMIER A FAIRE LE JEUNE.QUESTION DE VOIR SI VOUS SAVEZ CE QUE PRETENDAIS ETRES.
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    Auteur

    Bof

    En Août, 2011 (09:55 AM)
    bof... après la bataille de badr il y a eu la bataille de uhud et là momo s'est pris une fessée mémorable...

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    Abou

    En Août, 2011 (10:42 AM)
    Je convoite le Bon Dieu de m’avoir fait musulman.
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    Mar Diop

    En Août, 2011 (11:25 AM)
    MASSACRES DES SENEGALAIS ET AUTRES SUD SAHELIENS PAR LA REVOLUTION ANTI KHADDAFI A BENGHASI ET MISRATA

    ALERTE
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    Sarr

    En Août, 2011 (11:26 AM)
    mais pierre yaw c koi ton probléme tu périra en enfer et je porte ce jugement sur toi fils de satan
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    étonnant

    En Août, 2011 (12:01 PM)
    je constate que dès qu'il s'agit du prophète de l'islam, on parle de butin de guerre, d'attaques de caravanes, de meurtres, de viols, de pillages et de vengeance.



    étonnant, pour une religion de "paix"...



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    Islamonisation

    En Août, 2011 (14:48 PM)
    L'islam c'est que des légendes comme les autres religions.... Des histoires à raconter aux petits enfants et rien d'autre ! Revenez les pieds sur terre, arrêtez de suivre ceux qui vous racontent des histoires fausses et mettez-vous plutot au travail. Sachez que Dieu (s'il existe), ne félicitera que ceux qui auront travaillé durant leur vie. Pour les autres (tous les hypocrites), ils iront tous en enfer! ----Donc, au travail! C.Q.F.D. -   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">   :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet: 
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