Le sélectionneur des Lions du basket, Ngagne Desagana Diop, est un ancien pensionnaire de la NBA. Il a joué pour quatre clubs : Cavaliers de Cleveland (2001-2005), Mavericks de Dallas (2005-2008 puis 2008-2009), où il a disputé et perdu la finale 2006, Nets du New Jersey (2008-2009) et Bobcats de Charlotte (2008-2013).
À la fin de sa carrière, il est devenu entraîneur. Il a d’abord officié en tant qu’adjoint chez les Rockets de Houston (NBA), entre 2020 et 2022, et depuis deux ans il est à la tête des Knicks de Westchester (G League). Il cumule ce poste avec ses charges de sélectionneur du Sénégal.
Joueur, Desagana était confiné dans les tâches défensives. À lui le «sale boulot», à d’autres les tirs. Cette division du travail le frustrait souvent, particulièrement à ses débuts chez les Mavs. «Quand j’étais à Dallas, c’est Novitzki (Dirk) qui marquait, rembobine-t-il dans un entretien avec Source A. Bon, au début, il y avait de la frustration, mais après on a compris, et surtout quand vous êtes dans une équipe qui gagne. Je ne voyais vraiment pas de problème et je faisais mon travail carrément.»
Dans le championnat le plus prestigieux de l’univers du basket, c’est la règle : à chacun son rôle. Desagana appuie : «En NBA, on te canalise, on te fait jouer un rôle. Si vous venez et vous refusez d’écouter, vous faites ce que vous voulez, ça ne va pas passer.»
À la fin de sa carrière, il est devenu entraîneur. Il a d’abord officié en tant qu’adjoint chez les Rockets de Houston (NBA), entre 2020 et 2022, et depuis deux ans il est à la tête des Knicks de Westchester (G League). Il cumule ce poste avec ses charges de sélectionneur du Sénégal.
Joueur, Desagana était confiné dans les tâches défensives. À lui le «sale boulot», à d’autres les tirs. Cette division du travail le frustrait souvent, particulièrement à ses débuts chez les Mavs. «Quand j’étais à Dallas, c’est Novitzki (Dirk) qui marquait, rembobine-t-il dans un entretien avec Source A. Bon, au début, il y avait de la frustration, mais après on a compris, et surtout quand vous êtes dans une équipe qui gagne. Je ne voyais vraiment pas de problème et je faisais mon travail carrément.»
Dans le championnat le plus prestigieux de l’univers du basket, c’est la règle : à chacun son rôle. Desagana appuie : «En NBA, on te canalise, on te fait jouer un rôle. Si vous venez et vous refusez d’écouter, vous faites ce que vous voulez, ça ne va pas passer.»
2 Commentaires
Le sénégalais qui a réussi sa carrière c’est Mamadou Ndiaye mais les blessures lui ont nui.
Gorgui Dieng lui il s’est fait cantonné en défense et sur le banc et s’en était fini pour lii alors qu’il avait le potentiel .
Celui qui n’a pas eu de chance c’est Tacko dont on on a fait une bête de cirque si on compare à Wemby
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En Août, 2024 (09:39 AM)Reply_author
En Août, 2024 (16:23 PM)Reply_author
En Août, 2024 (12:16 PM)Participer à la Discussion