Le Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS) a fait part, mercredi au candidat Abdoulaye Wade de son souhait de voir 2% du budget national alloués au sport, selon son vice-président Issa Mboup.
Le CNOSS a fait parvenir un mémorandum contenant les problèmes du secteur du sport aux deux candidats au second tour de l’élection présidentielle Abdoulaye Wade et Macky Sall.
‘’Nous avions remis un mémorandum au président de la République et au candidat Macky Sall, et cette audience était une occasion de lui dire de vive voix les préoccupations du monde sportif et ses attentes’’, a expliqué Issa Mboup, à l’issue de la rencontre qui s’est déroulée à la présidence de la République.
‘’Le point le plus important pour nous, c’est le budget qui est alloué au sport. Nous avons dit qu’il est très faible (0,34%) et qu’il fallait le porter à 2 %. Le président a pris bonne note et nous a dit être en phase avec nous pour relever le budget’’ ,a ajouté Mboup.
’’Pour autant a-t-il ajouté, Abdoulaye Wade n’a pas donné un accord formel mais nous a informé qu’il demandera une note technique sur les impacts qu’une hausse à 2% du budget à allouer au sport aurait sur le budget national’’. Selon lui, la même demande sera adressée au candidat Macky Sall.
ABK/AD
2 Commentaires
Heuchy
En Mars, 2012 (11:56 AM)Un esprit sain dans un corps sain.
J’en rajouterai simplement que le sport peut être un tremplin pour les jeunes. En fait le sport nourrit bien son homme car permet aux jeunes de bien gagner leur vie et de surcroit de bien entretenir leur corps.
Le sport devrait être développé et dans tous les domaines et permettre aux jeunes de participer à toutes les épreuves sportives du monde.
Il faudrait aussi équiper tout le Sénégal de matériel sportif. Partout où les jeunes se regroupent, du matériel devrait y être installé.
Sur la corniche, sur la plage de l’ IFAN, sur la plage de la BCEAO, sur la corniche des HLM etc…
Sur les promesses, je pense qu’il n’y a pas de crainte par rapport à ces demandes et ces engagements pris par Macky. C’est au contraire très facile à réaliser.
Il y’a l’adage qui dit qu’on ne peut pas faire le bonheur du peuple à sa place. C’est le peuple lui-même qui peut prendre son destin en main.
Et puisque nous sommes dans un pays où les hommes savent ce qu’ils veulent et où ils vont, si jamais ils trouvent un écho favorable à leur demande, alors c’est comme entre celui qui cherche ou dormir et celui qui cherche de la compagnie, teudj bounte doulén bolé.
Cnoss
En Mars, 2012 (21:29 PM)Participer à la Discussion