"Aux supporters de Courtrai qui m'ont fait des cris de singe ce soir, dites-moi où vous voyez la ressemblance #imbécile #saynotoracism".En joignant à ce message le photomontage que vous voyez ci-dessus, Christian Kabasele avait tenu à répondre au comportement idiot des fans de Courtrai lors du match contre Genk (1-0). Au Stade des Eperons d'Or, le défenseur limbourgeois avait été la cible de cris racistes à chaque fois qu'il touchait le ballon.
Mardi, les deux photos juxtaposées ont disparu du réseau social. Le contenu a été bloqué. Le joueur crie sa colère.
Mardi, les deux photos juxtaposées ont disparu du réseau social. Le contenu a été bloqué. Le joueur crie sa colère.
"Donc on peut voir des photos de femmes à moitié nues sur #instagram mais quand on se plaint de racisme la publication est supprimée...(sic)", s'indigne-t-il.
Une erreur de la part d'Instagram?
La suppression du post est sans doute une erreur du réseau social même, selon l'expert en médias sociaux Pieter Baert. "Les modérateurs qui doivent juger du contenu d'une publication - quasi toujours après une plainte - se réunissent dans un bureau quelque part en Asie. Ils utilisent Google Translate pour traduire le commentaire et la subtilité du message leur échappe souvent", explique-t-il dans Het Nieuwsblad.
A Genk, personne n'a souhaité commenter commenter l'incident. "Mais le racisme n'a pas sa place dans le football".
Une erreur de la part d'Instagram?
La suppression du post est sans doute une erreur du réseau social même, selon l'expert en médias sociaux Pieter Baert. "Les modérateurs qui doivent juger du contenu d'une publication - quasi toujours après une plainte - se réunissent dans un bureau quelque part en Asie. Ils utilisent Google Translate pour traduire le commentaire et la subtilité du message leur échappe souvent", explique-t-il dans Het Nieuwsblad.
A Genk, personne n'a souhaité commenter commenter l'incident. "Mais le racisme n'a pas sa place dans le football".
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