Finalement le stade Demba Diop sera fermé ce lundi. L’information est du ministre des Sports, Matar Bâ, qui va faire une visite des lieux le même jour avant de donner le coup d’envoi des travaux.
Notre reportage photos sur le stade Demba Diop (voir notre édition d’hier) a du donner des frissons au ministre des Sports, tellement les images font ressortir le gros danger qu’encourent les habitués du stade. Cela est corroboré par l’alerte donnée depuis février dernier par la Commission auxiliaire de la Protection civile.
Cette structure, experte en matière de sécurité, et suite à une visite du stade, avait été catégorique : «Nous avons beaucoup d’inquiétudes quand il y a foule à Demba Diop. Nous avons remarqué que le bâtiment est dans un état de dégradation très avancé. Nous en avons fait le constat et allons faire un rapport à soumettre à l’autorité», avait souligné la représentante du Préfet à cette visite.
Conscient d’une telle urgence, le nouveau patron du sport sénégalais, à travers un communiqué parvenu hier, annonce une visite des lieux «ce lundi à partir de 10 heures». Une visite, selon la même source, «qui sera suivie de l’annonce de la fermeture et du début de travaux du stade Demba Diop». Et ce sera «en présence de l’entrepreneur, des présidents des fédérations sportives (football, sports travaillistes, karaté, taekwondo, basketball et de l’Oncav)», ajoute le communiqué.
Quel avenir pour la nouvelle pelouse synthétique ?
Annoncé depuis plusieurs mois, les autorités sportives ont donc décidé de passer… enfin à l’action. Et sans doute Matar Bâ sera assez précis sur la nature des travaux de réhabilitation du stade et la durée. Sur celle-ci, le ministre des Sports est attendu. Car vu l’ampleur des «dégâts», il serait assez risqué de se limiter simplement à la pose d’un gazon synthétique et à quelques retouches.
En parlant d’ailleurs de la nouvelle pelouse, déjà disponible et qui devrait être installée, on est en droit de se demander à quelle sauce elle sera bouffée par la lutte, qui ne tient pas du tout à lâcher Demba Diop. Matar Bâ apportera sûrement un début de réponse.
12 Commentaires
B
En Août, 2014 (11:41 AM)Corinne Dreyfus-Schmidt Avocat
Corinne Dreyfus-Schmidt a choisi d’exercer le métier d’avocat pénaliste dès 1989.
Elle acquiert auprès d’Henri Leclerc la passion de la défense pénale, puis devient collaboratrice d’Hervé Temime. Elle fonde son cabinet en 1993 et devient associée du cabinet Temime & Associés en 2009.
Corinne Dreyfus-Schmidt exerce en droit pénal général, et plaide régulièrement devant les tribunaux correctionnels et les cours d’assises sur l’ensemble du territoire national. Elle intervient également devant diverses instances ordinales et disciplinaires, notamment en droit du sport.
Par ailleurs, Corinne Dreyfus-Schmidt a été élue Présidente de l’Association Des Avocats Pénalistes (ADAP) en 2008. Elle intervient à ce titre auprès des commissions des lois du parlement, et participe à de nombreux colloques.
Elle enseigne le droit pénal et la procédure devant la Cour d’assises à l’Ecole de Formation du Barreau (EFB) et à l’Ecole Nationale de la Magistrature (ENM).
Langues : Anglais, Espagnol.
Hervé Temime
Corinne Dreyfus-Schmidt
François De Castro
Julia Minkowski
Julia Stasse
B
En Août, 2014 (11:42 AM)Il rejoint le cabinet comme Associé en 2000 et exerce au sein du pôle Pénal et Santé publique.
Il fut Secrétaire de la Conférence du Stage (1990), Membre du Conseil de l'Ordre (1999-2000), et Membre du Comité d'Ethique du Barreau de Paris (2001-2009).
Il est professeur à l'Ecole de Formation du Barreau et à l'IEP.
Il est également administrateur du Fonds de Garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions depuis 2002 et Membre du Conseil d’Administration de l’INHESJ.
PUBLICATIONS
Il est notamment l’auteur de :
« Cours de droit pénal général, Dalloz, 1996 »
« Nul n’est censé ignorer la loi, Editions J.C. Lattès, 2004 »
« Dans les yeux du bourreau, Editions J.C. Lattès, 2010 »
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B
En Août, 2014 (11:45 AM)Créée en 1985, Fischer, Tandeau de Marsac Sur & Associés propose une assistance juridique et judiciaire à compétences multiples. FTMS est organisée en pôles d’activités dirigés par un ou plusieurs associés dans les domaines suivants : sociétés et engagements commerciaux, banque- finances et international, pénal et santé publique, social, immobilier, famille, patrimoine et voies d’exécutions, contrats commerciaux et relations franco-allemandes. Au-delà d’une exigence d’excellence, les associés se sont rassemblés autour d’une vision commune du métier d’avocat, qui privilégie la confiance partagée, la proximité et l’engagement personnel.
Structure indépendante, FTMS conseille des institutions, des entreprises, des dirigeants et une clientèle privée. Ses associés et collaborateurs les conseillent et les représentent dans les procédures judiciaires et arbitrales.
Située à Paris, au cœur de l’Europe, FTMS intervient non seulement dans les pays de l’Union, mais également dans les autres places internationales du droit et des affaires ; ainsi FTMS a plus particulièrement tissé des relations étroites de coopération avec l’Afrique, le Moyen-Orient et l’Amérique.
B
En Août, 2014 (11:52 AM)Pourtant, le jeune avocat choisit alors de devenir pénaliste. Ses premières affaires le conduisent à défendre les traficants de drogue, il plaide devant les Assises. "Mais comme j'étais passé par Sciences-Po, j'avais beaucoup d'amis dans le monde des affaires", avance-t-il pour expliquer son évolution vers ce milieu.
Il a défendu André Guelfi dans l'affaire Elf, Bernard Poussier dans l'Angolagate, les parties civiles face au Crédit Lyonnais et même le président Campaoré du Burkina-Fasso. En ce moment, c'est le dossier de l'Erika qui l'occupe. Mais à côté de ces grosses affaires, il continue de plaider dans des dossier moins médiatiques. "Quand le prêtre Guy Gilbert me demande de défendre gratuitement des personnes qui n'ont pas d'avocat, j'accepte volontiers."
B
En Août, 2014 (12:01 PM)Pour que l’innovation soit complète, le candidat vice-bâtonnier faisant équipe avec lui – Laurent Martinet, 47 ans, associé du cabinet Jones Day – donne également des couleurs inédites à ce ticket à la tête de l’ordre : ce serait la première fois qu’un avocat d’affaires d’un grand cabinet international accède à ces vastes responsabilités. Ces cabinets dont le poids économique est pourtant dominant dans la profession n’ont jamais participé à cette instance. Conversations avec ce candidat malheureux, à quelques dizaines de voix près à la précédente élection, qui, cette fois-ci, s’y est redoutablement préparé. Pierre-Olivier Sur analyse les raisons de cet échec : “Avec ma colistière Catherine Paley-Vincent, nous étions trop semblables alors que cette fois, nous sommes très complémentaires.”
Faso
En Août, 2014 (12:10 PM)B
En Août, 2014 (12:10 PM)Par Patrick Arnoux
B
En Août, 2014 (12:21 PM)Le citoyen burkinabè est dans un pays qui est, en ce moment, en développement. Pour accompagner un développement, il faut des véhicules. La première fois que je suis passé au Burkina, il y avait des bicyclettes. La deuxième fois, il y avait des mobylettes. La troisième fois, il y avait des voitures. La quatrième fois, il y avait des embouteillages partout. Maintenant, il y a un périphérique. C’est ça le développement. Le développement passe par des véhicules. On connaît le véhicule qui est la voiture, mais il y a un autre véhicule qui est le droit. Et, le droit est un véhicule de développement.
B
En Août, 2014 (12:31 PM)Je peux vous dire une chose, c’est que je connais son père. Il vit en France dans un petit pavillon qui est situé entre Versailles et Paris. C’est un pavillon bourgeois, je puis vous le dire. Un point, c’est tout. Il ne roule pas sur l’or. Et le fils Karim a un appartement de moins de 100 m2. C’est tout ce qu’on a trouvé en France. S’il avait détourné un milliard d’Euros, tandis que sa famille vit en France –sa maman est française-, on aurait trouvé l’argent en France. Mais, on n’a pas trouvé.
B
En Août, 2014 (12:41 PM)B
En Août, 2014 (12:47 PM)Si ! Je pense que ce qui est fait au Sénégal dans l’affaire Hissène Habré, c’est bien. C’est une cour africaine qui va juger un Africain. La procédure Hissène Habré me parait bonne, même si c’est très difficile. J’ai été moi-même un des avocats de Hissène Habré. En tant qu’ancien avocat de Hissène Habré, en tant qu’homme de loi, il est bien que Hissène Habré soit jugé par une juridiction africaine même si j’émets toutes les réserves sur la façon dont cette juridiction africaine a été mise en place.
B
En Août, 2014 (13:21 PM)Participer à la Discussion