le monde de la lutte récupère sa propre violence pour en faire vertu...dans les pays de droit, kou deff violence gnou nokh la ci kasso bo. diaroule débat
La problématique de la violence dans les arènes est mal posée sur cet plateau dont le débat est nul et mal orienté par des journalistes qui ne sont pas capables de faire accoucher des idées à fin de succiter la réponse appropriée.
Le contexte du plateau n'était pas du tout riche en grandes connaissances historiques et sociologiques de la violences des arènes au sénégal, ni en spécialistes organisationnels ou sécuritaires des spectacles de lutte .
Je précise que face au fléau de la violence dans les arènes dont la sociomètrie est très complexe du reste, la particularité sociologique incarnée par Aly Khoudja a eu du mal à cadrer le débat dans les faits qui déterminent les moeurs . Les violences tirent leurs formes dans une assiette cuiturelle dont les contours restent à cerner . Aujourdhui Dans tous les pays du monde , c'est l'état qui aménage le cadre organisationnel et srtucturel par lequel la sécurité publique des spectacles est gèrée . Ce n'est pas le cas au sénégal où il manque de textes pour développer une stratégie organisationnelle de sécurité publique des spectables . Le Sénégal ne dispose pas de code de sécurité des spectacles qui sert d'instrument de prévention apte à convenir fin à cet fléau . A la place c'est un dispositif de policiers sans aucune stratégie qui sert de rempart . Le ministère de l'intérieur ne dispose pas de plan organisationnel de sécurité des spectacle qui implique toutes les formes de sécurité recquises dans la couverture des spectacle . Au plan micro , le CNG et les promoteurs ne disposent pas non plus d'expertises en matière de sécurité . Ce sont ces lacunes de niveau public par l'état et organisationnel dans les arènes qui gèrent la violences dans les arènes . L'absence de matière en termes de prévention est une lacune entretenue qui explique la violence dans les arènes . L'expertise en matière de sécurité publique des spectacles est le remède le plus efficace capable d'éradiquer à coup sûr le fléau de la violence dans les moeurs des arènes tout en l'adaptant dans la modernité d'un sport civilisé .
tchoy tu n'a rien compris dans un debat d'unen heure trente avec huit invités aussi bien sur le plateaux que comme invité, personne ne peut approfondir car on n'a juste une a deux minutes pour placer des élements de contextes; cesser de critiquer c de la jalousie tout court; les medias ne visent pas un public expert ou universitaire; c justye pour permettre a chaque citoyen de donner son avis sur une question donnée
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7 Commentaires
Balla Gaye5
En Novembre, 2012 (11:34 AM)Débats Inutile
En Novembre, 2012 (11:49 AM)Diop
En Novembre, 2012 (11:57 AM)Molo
En Novembre, 2012 (14:00 PM)Tchoy
En Novembre, 2012 (14:04 PM)La problématique de la violence dans les arènes est mal posée sur cet plateau dont le débat est nul et mal orienté par des journalistes qui ne sont pas capables de faire accoucher des idées à fin de succiter la réponse appropriée.
Le contexte du plateau n'était pas du tout riche en grandes connaissances historiques et sociologiques de la violences des arènes au sénégal, ni en spécialistes organisationnels ou sécuritaires des spectacles de lutte .
Je précise que face au fléau de la violence dans les arènes dont la sociomètrie est très complexe du reste, la particularité sociologique incarnée par Aly Khoudja a eu du mal à cadrer le débat dans les faits qui déterminent les moeurs . Les violences tirent leurs formes dans une assiette cuiturelle dont les contours restent à cerner . Aujourdhui Dans tous les pays du monde , c'est l'état qui aménage le cadre organisationnel et srtucturel par lequel la sécurité publique des spectacles est gèrée . Ce n'est pas le cas au sénégal où il manque de textes pour développer une stratégie organisationnelle de sécurité publique des spectables . Le Sénégal ne dispose pas de code de sécurité des spectacles qui sert d'instrument de prévention apte à convenir fin à cet fléau . A la place c'est un dispositif de policiers sans aucune stratégie qui sert de rempart . Le ministère de l'intérieur ne dispose pas de plan organisationnel de sécurité des spectacle qui implique toutes les formes de sécurité recquises dans la couverture des spectacle . Au plan micro , le CNG et les promoteurs ne disposent pas non plus d'expertises en matière de sécurité . Ce sont ces lacunes de niveau public par l'état et organisationnel dans les arènes qui gèrent la violences dans les arènes . L'absence de matière en termes de prévention est une lacune entretenue qui explique la violence dans les arènes . L'expertise en matière de sécurité publique des spectacles est le remède le plus efficace capable d'éradiquer à coup sûr le fléau de la violence dans les moeurs des arènes tout en l'adaptant dans la modernité d'un sport civilisé .
Tchoy
En Novembre, 2012 (15:09 PM)Goiut
En Novembre, 2012 (20:33 PM)Participer à la Discussion