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Face2Face avec Fadel Barro: " Si Je Dois Donner Une Note à Macky Sall...."

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Face2Face avec Fadel Barro: " Si Je Dois Donner Une Note à Macky Sall...."

Face2Face avec Fadel Barro Coordinateur Y'en A... par Neega Mass


24 Commentaires

  1. Auteur

    Moy Wade Wadaymoom

    En Avril, 2015 (11:42 AM)
    Il n'est pas dofferent de Wade en tout casnnCe Macky Sall
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  2. Auteur

    Gdeth

    En Avril, 2015 (11:48 AM)
    yen a marre degagez; pion de l occident et ethnocentriste toucouleur /ild defendent tous maky
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (12:15 PM)
    Mais Fadel yow ko yab ,non mais vous vous foutez de nous oxfam ford kx kx kx kx kxn :fbhang: 
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    Auteur

    Senegalais

    En Avril, 2015 (12:23 PM)
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    Auteur

    Ex Y\'namarist !

    En Avril, 2015 (12:28 PM)
    Ces gars sont corrompus jusqu"aux os.nnIls ont tous reçu leurs parts du combat contre wade , à l'image des latif, penda mbaow, soro diop, mohamed thiam, jacque habib sy...nnSauf que eux il ont reçu du cash...oui plein de cash les veinardsn
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    Auteur

    Anonym

    En Avril, 2015 (12:29 PM)
    allez en gambie!n
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (12:51 PM)
    Depuis que je suis au courant de vos sources de financement j eprouve du degout Tchim....n
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    Auteur

    Vive La France= Y A En Marre

    En Avril, 2015 (12:55 PM)
    > FCFA : Comment la France nous volen>n>n> Sarkozy devrait sûrement regarder les enfants des polygames et desn> femmes excisés avec un œil beaucoup plus bienveillant. Notre argentn> depuis la seconde guerre mondiale, permet au trésor français de bienn> se tenir. Nos pays, anciennes colonies de la France, continuent àn> travers la BCEAO de déposer 50% de leurs réserves d’argent au trésorn> français, pour obtenir une garantie de convertibilité inutile. Cesn> dépôts sont estimés aujourd’hui à plus de 8000 milliards de francsn> cfa.n>n> C’est-à-dire que pour un franc cfa battu, la France demande en garantin> pour assurer sa convertibilité, presque 10 f cfa. Les africains sontn> loin d’être inutiles à la France. Ils n’ont pas seulement les élitesn> pour le rappeler souvent aux néo-lépenistes de L’Elysée. Le franc desn> colonies françaises d’Afrique (CFA) rebaptisé franc de la communautén> française d’Afrique reste toujours accroché à l’ancienne Métropole.n> Les pays de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA) ont choisi den> déposer leurs réserves de change au trésor public français. Certainsn> pays du Maghreb et la Mauritanie ont choisi de battre leur propren> monnaie et de quitter la zone franc pour une organisation libre den> leur économie à l’aube des indépendances. L’Afrique noire françaisen> est-elle restée dans le schéma qui a guidé la monnaie en 1945. Lesn> économies restent toujours surveillées par la France à travers lesn> accords de coopérations et les convention d’opération.n>n> Selon le directeur national de la banque centrale des Etats den> l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) au Burkina, M. Bolo Sanou, la monnaie estn> le miroir de la société. Elle reflète la santé économique d’un pays.n> C’est elle la locomotive de l’économie et du développement. On ne peutn> donc dissocier politique monétaire et politique économique. La BCEAOn> doit sauvegarder la valeur interne et externe de la monnaie pourn> garantir la stabilité des prix. Elle a le droit exclusif de l’émissionn> monétaire.n>n> La définition de la politique de change et de réserves de changesn> reste toutefois la prérogative du conseil de ministre de l’UMOA. Cetten> politique tient compte de l’accord de coopération entre la France etn> les pays de l’UMOA et les conventions de compte d’opérations concluesn> avec le trésor français. Les termes de ces accords laissent penser quen> le CFA est une sous monnaie du franc français, puis de l’euro.n>n> Il existe différents types de régime de change dont le taux de changen> fixe et le taux de change flexible. Les pays de l’UMOA ont opté pourn> cette dernière forme. Le directeur national a fait savoir qu’iln> n’existe pas de régime idéal. Le franc de la communauté françaisen> d’Afrique (f cfa) est lié à l’euro pour une parité fixe de 655,957 fn> cfa. Par contre les taux de change avec les autres devisesn> s’effectuent en fonction du cours des marchés. Mais toutes ces devisesn> doivent être converties au préalable en euro suivant la cotation dun> jour de cette monnaie sur le marché de change. L’accord de coopérationn> signée entre la France et ses ex colonies en 1973 à Dakar prévoit quen> la France apporte un appui à l’UMOA pour assurer la libren> convertibilité illimitée du f cfa quelles que soient lesn> circonstances. Cela se traduit par la protection contre le risquen> d’épuisement en devises. La France et ses colonies ont convenun> également à la centralisation des réserves de changes des pays den> l’UMOA.n>n> Ces réserves sont utilisées sur le principe de la solidarité. Lan> banque centrale dépose ensuite 50% de ces réserves de change auprès dun> trésor français sur le compte d’opération, en contrepartie de lan> convertibilité illimitée garantie par la France. Ce taux de 50% estn> entré en vigueur en 2005. Il était de 65% dans le premier accord.n> L’article 2 de cet accord stipulait que la banque centrale versera aun> compte d’opérations du trésor français les disponibilités qu’ellen> pourra avoir en dehors de la zone d’émission, soit 65% de ses avoirsn> extérieurs. Les 35% doivent servir à des charges bien définies. Iln> s’agit des sommes nécessaires pour la trésorerie courante de la banquen> centrale, pour obligations contractées par les Etats à l’égard du FMIn> et des sommes libellées en devises auprès de la banque des Règlementsn> internationaux (BRI) etc Le compte d’opération est un compte ouvert aun> trésor français au nom de la BCEAO. Selon M. Bolo Sanou, c’est unn> compte rémunéré qui offre la possibilité d’un découvert illimité. Maisn> en cas de découvert sur le compte d’opérations le trésor françaisn> prélève des intérêts.n>n> Le fcfa est une monnaie imposée par la France à ses colonies en 1939n> et officialisée en 1945. Jadis Franc des Colonies Françaisesn> d’Afrique, l’appellation est passée à Franc des Communautésn> Financières d’Afrique. La monnaie relève de la souveraineté des Etats,n> et est surtout le reflet de la politique et des rapports de forces.n> C’est pourquoi M. Bolo Sanou affirme que la question du mariage f cfan> et euro est un sujet éminemment politique. Cet arrimage du franc cfa àn> l’euro est un prolongement de l’union française qui regroupait lan> France et ses colonies. Après les indépendances, le colonisateur n’an> pas souhaité couper le cordon ombilical avec ses colonies, notammentn> dans le secteur économique. Les pays de l’UMOA ne sont pas maîtres den> leur monnaie, donc de leur économie. L’histoire du franc des coloniesn> d’Afrique montre que cette monnaie est fortement vitale pourn> l’ancienne métropole.n>n> Le franc cfa, instrument de domination et de spoliation des coloniesn>n> Le franc, monnaie française a été imposé par la France à toutes sesn> colonies. En Afrique le colon exigeait dès 1891 que l’impôt den> capitation soit payé en franc français. Les monnaies locales etn> étrangères étaient ainsi bannies. Les populations africaines étaientn> contraintes d’introduire dans les échanges le franc français.n>n> Les colonies qui venaient d’adopter la monnaie de la métropole,n> intégraient du coup la zone franc de l’union française. La zone francn> est une zone monétaire unique sans problème de change. On ne pouvaitn> pas encore parler de change puisque c’est une monnaie unique pour lan> France et ses colonies. Mais la seconde guerre mondiale et sesn> conséquences sur l’économie de la France va bouleverser l’ordre dansn> la zone franc. Les transactions avec les colonies sont perturbées parn> les difficultés du transport maritime avant d’être complètementn> arrêtées. L’inflation sévit partout et s’en est suivie une perten> globale de la compétitivité de la zone franc. La France affaiblien> économiquement par la guerre, enregistrait une dépréciation forcée den> sa monnaie face à la livre sterling et au dollar américain.n>n> Une reforme monétaire s’imposait dans la zone franc pour une reprisen> des exportations. Ce sont les colonies qui vont payer le prix fort. Lan> France décide le 25 décembre 1945 de dévaluer le franc et de créer desn> devises pour ses colonies avec des parités fixes. Les francs desn> colonies françaises d’Afrique (CFA) et des colonies françaises dun> pacifique (CFP) furent ainsi créés.n>n> La création de cette sous monnaie permet à la France d’importern> beaucoup moins cher et de vendre plus cher à ces colonies. Le pouvoirn> d’achat dans les colonies devenait également très élevé avec la haussen> des prix des marchandises importées, et la baisse des prix desn> produits exportés des colonies.n>n> Ces colonies qui ont participé à l’effort de guerre devront encoren> continuer à se saigner pour le relèvement de l’économie française. Lesn> producteurs africains devront exporter plus pour acheter moins. Lan> France reprenait ainsi les échanges commerciaux par une spoliation den> ses colonies. Le f cfa est donc une monnaie de spoliation dans sesn> origines. Il n’y avait rien de surprenant que cette intégrationn> économique forcée des colonies servait plus le peuple français. Len> pacte colonial en vigueur était l’expression de cette véritablen> spoliation aggravée par l’effort de guerre et le f cfa. Ce pacten> colonial imposait que les colonies ne pouvaient vendre et achetern> qu’avec la métropole. Les prix sont fixés également par la puissance.n> Elles ne pouvaient pas avoir d’industries, la France se chargeait den> la transformation des matières premières.n>n> La BCEAO , une œuvre de la Francen>n> Le fcfa est resté sous le contrôle exclusif de la métropole, et il an> fallu attendre la signature de la loi cadre en 1946 pour que quelquesn> aspirations des colonies soient prises en compte. Il a été créén> l’institut d’émission, un établissement public national français avecn> siège à Paris. C’est lui qui a le privilège exclusif d’émettre desn> billets de banques pour les pays de l’Afrique occidentale française.n> La politique monétaire reste toujours le monopole de la France. Lan> réglementation, la législation relative à la monnaie et aux changesn> reste toujours de la compétence de la France.n>n> Cet institut d’émission qui joue le rôle de banque centrale servira àn> financer l’économie française. Il faut donc remonter à la conventionn> de 1955 pour comprendre les liens séculaires entre le trésor public den> France et la BCEAO. La banque centrale de l’UMOA est le prolongementn> de l’institut d’émission. Les opérations de change avec la BCEAO, toutn> comme l’institut d’émission sont exécutées dans le cadre de lan> convention de compte d’opérations signée en 1955 entre l’institutn> d’émission et le trésor public français. Cette convention stipule quen> l’institut dispose d’un compte courant ou compte d’opérations aun> trésor public français, l’institut d’émission y verse tous ses avoirsn> qu’il se constitue hors du territoire d’émission, exception faite desn> sommes faites pour sa trésorerie courante. Lorsque le solde du compten> est débiteur, le trésor prélève des intérêts et si le solde estn> créditeur, il reste en dépôt au trésor français.n>n> Cet institut d’émission subit une transformation en 1959 pour devenirn> banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) sousn> contrôle français. Les attributs et les fonctions ne changent pas.n> Pour une fois les africains entrent au conseil d’administration avecn> huit représentants et huit pour la France. Mais ce n’était quen> formelle, puisque les décisions dépendaient beaucoup plus de lan> métropole que des africains. La BCEAO a évolué sous ce statut jusqu’enn> 1972. Les pays de l’UMOA vont en ce moment demandé des reforme den> l’institution. Le général Marc Garango ministre des finance de lan> Haute Volta fut le président du comité de réflexion de cette reforme.n>n> Il semble que cette prise de conscience a été impulsée par le retraitn> de la Mauritanie et des pays du Maghreb de la zone franc. Ces pays ontn> décidé de battre leur propre monnaie.n>n> Le président mauritanien expliquait en ces termes les raisons den> battre une monnaie. « Nous savons qu’on ne peut être indépendantn> économiquement si on ne bat pas sa propre monnaie. Si on n’a pas lan> maîtrise totale de la politique de crédit. Cette monnaie sera garantien> par nos moyens nationaux malgré la sécheresse qui nous a accabléen> pendant trois années consécutives ». Les pays de l’Afrique noiren> française ont préféré évolué dans le giron français. Le renforcementn> du soutien de l’Etat français pour garantir la convertibilité du f cfan> au niveau international a été même sollicité. Les quelques reformesn> recommandées n’ont pas été du goût des autorités françaises qui yn> voyaient des velléités d’autonomie. Les pays de l’UMOA vont néanmoinsn> forcer la main de la France et obtenir une gestion partagée de lan> banque centrale sous un accord de coopération signée par les deuxn> parties.n>n> Les pays de l’UMOA vont obtenir l’africanisation de la banquen> centrale. Cela inclut une autonomie surveillée de gestion, len> transfert de siège de la BCEAO sur le continent africain et len> remplacement des français par des cadres africains au sein de lan> banque. Dakar fut choisi pour abriter le siège de la banque. C’estn> d’ailleurs dans cette ville que furent implantées les premièresn> banques coloniales. L’esprit colonial demeure toutefois dans cetten> nouvelle gestion et ce partenariat négocié sous des conditions. Lan> France maintient sa présence avec deux représentants dans le conseiln> d’administration de la banque centrale et participe à toutes lesn> deliberationsn>n> Par Abdoul Razac Naponn>n> -----------------------------------------n>n> Les comptes d’opérationn>n> Il y a actuellement environ 8000 milliards de francs CFA venant de lan> BCEAO et la BEAC stockés au Trésor public, soit plus de 12 milliardsn> d’euros. C’est autant d’argent qui est amputé du budget des États den> la zone franc. La France rémunère les banques centrales africaines enn> intérêts, tout en se servant au passage grâce à des placements privésn> (des sommes dégagées au profit de la France qui se comptent enn> centaines de millions d’euros). Pire, la part d’intérêts versée auxn> banques centrales est comptabilisée dans l’Aide Publique aun> Développement !n>n> Lorsque le rapport entre les avoirs extérieurs nets et les engagementsn> à vue de chacune des Banques centrales est demeuré, au cours de troisn> mois consécutifs inférieur à 20 %, le Conseil d’administration de lan> Banque centrale concernée se réunit en vue d’adopter les mesuresn> appropriées : relèvement des taux directeurs, réduction des montantsn> de refinancement. Les statuts de la BCEAO précisent que lorsque lesn> disponibilités en compte d’opérations présentent une « évolution quin> laissera prévoir leur insuffisance pour faire face aux règlements àn> exécuter, elle devra alimenter le compte d’opérations par prélèvementn> sur les disponibilités qu’elle aura pu se constituer en devisesn> étrangères autres que le franc, demander la cession à son profit,n> contre francs CFA, des devises détenues par les organismes publics oun> privés des pays membres (pratique dite du » ratissage "), et inviteran> les Etats membres à exercer leurs droits de tirage sur le Fondsn> monétaire international.n>nn
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (12:59 PM)
    vous êtes des corrompus !!!!!n
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    Auteur

    Anonymefama

    En Avril, 2015 (13:06 PM)
    Macky et Wade, c'est le jour et la nuit.. C'est comme qui dirait le miel et le crachat.
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (13:26 PM)
     :looney: 
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    Auteur

    Boy Camberene

    En Avril, 2015 (13:28 PM)
    y'en a marre est une aberration avec des gens sans scrupule. tchimmm. thiambayy :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2:  :jumpy2: 
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    Auteur

    Katakyni

    En Avril, 2015 (13:35 PM)
    noooon boy bi toukhekatou boone léye niroo quoi
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    Auteur

    Leuz

    En Avril, 2015 (13:47 PM)
    C'EST LORSQUE J'AI VU MOUHAMED THIAM REJOINDRE LA FONDATION DE MME FAYE SALL GASSSAMA THIMBO QUE J'AVAIS VOULU M'IMMOLER " NDAKH GATHIé ".
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    Auteur

    Bik

    En Avril, 2015 (13:47 PM)
    J'approuve bien Fadel et je défends les mêmes causes que les siennes et donc de "Y en a marre". Par contre t as fait une faute que t'as répétée 2 fois (138 000 000 000 / 13 000 000 = 10615fcfa ) et pas 9millions. J'espère que tu sauras etre juste sur tes chiffres la fois prochaine.nnDiadieuf quand même.
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (13:52 PM)
    Triste je suis...depuis ke je sais que vous etes financer par l occident vous nous degoutez
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (14:10 PM)
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (14:39 PM)
     :frustre: 
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    Auteur

    Djiban

    En Avril, 2015 (15:10 PM)
    Fadel Barro remercie le bon Dieu d'être né au Sénégal vos bêtises vous pouvez les faire au Sénégal mais pas dans un autre pays vous avez frôlé la mort.
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (15:59 PM)
    fadel vous etes des corompus vous etes des traites
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    Auteur

    Onditout

    En Avril, 2015 (16:19 PM)
    Certains cherchent par la musique l'art le dessin le sport pour passer à la TL vous vous avez choisi le créneau des critiques (peu constructives) avec un déguisement on dit que c'est la branche la plus facile ! Mais sinon qu'avez fait de construitif de concret d'exemple à faire valoir à la jeunesse ! ??????nAh oui il faut attendre des innondations !nAllez voir avec vos idées et vos critiques du pouvoir TONTON YAYA tout prés et tâchez de faire applaudir votre show !nil y a des moments où on n'a MARRE des Y EN MARRE car vous ne nous faites plus rire !
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (17:09 PM)
    Affaire de ethnicité mofii wara diekh les Fadel baro vous vous foutez des gens. Sénégal léalpoular yii momou gnou KO . Vous vous défendez mutuelle présiden ak aye bokam. Xam nagnou foo le ne diem
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2015 (18:26 PM)
    Vraiment, Fadel Barro vous avez une tête pleine et j'encourage sincèrement le mouvement citoyen Y'en a Marre à continuer à œuvrer pour le bon devenir du Sénégal et pour la changement positif des comportements au Sénégal. :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
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    Auteur

    Vhhbb

    En Avril, 2015 (20:38 PM)
     :sunugaal: 
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