Le rassemblement de «Aar Linu Bok» a eu lieu ce vendredi. Ayant enregistré une forte affluence, elle a été l’occasion pour les membres de ladite plateforme, de réclamer toute la lumière sur les révélations de Bbc et décliner leur plan de lutte.
ON EN PARLE
25 Commentaires
You
En Juin, 2019 (21:48 PM)Lemou
En Juin, 2019 (00:07 AM)La presse est tres corrompue dans mon pays, helas.
À ce discours j'ajoute ceci pour maintenir mon propos de dire que non seulement les manifestations doivent etre de partout mais qu'il est imperatif qu'elles soient mouvementèes afin d'instaurer la peur dans le camp des eternels gouvernants voyous pour l'acceptation aussi de la solution definitive et citoyenne devant aboutir à l'exigence des assisses nationales( mon reve et qui est Un moyen possible de changer de systeme à mon sens !! ) pour l'adoptation nationale d'un systeme de gouvernance à partir de 2024. Un systeme nouveau scrupuleusement contraignant à La bonne pratique de gouvernance dans la reduction du pouvoir presidentiel ( si evidement on adopte un systeme presidentiel) , dans l'independance effective des institutions , dans la premunition des deniers publics vers les priorites qui seront definies.
Encore que je precise que ces revendications nationales et citoyennes pour la mise en place du pays dans la bonne marche quelquel soit l'heritier politique, devraient citoyennement exiger l'evitement de toute couleur partisane pour l'affichement ferme de la primautè de l'interet collectif de changement veritable et durable.
Donc resumons : pression maximum envue de la renegociation des contrats puis des assises pour un systeme
de gouvernance à partir de 2024.
Sénégal First
En Juin, 2019 (08:26 AM)Ce dernier a par la suite cédé ses droits au géant British Petroleum (BP) contre une promesse de rémunération exorbitante. Selon la BBC, l’opération aurait été réalisée avec le blanc-seing du frère du président, Aliou Sall. Cette affaire est toutefois portée par des acteurs politiques et médiatiques qui ont tous un intérêt personnel à ce qu’elle fasse la Une et embarrasse le Président Macky Sall. Explications.
Si les accusations de corruption qui visent M Sall vont bon train, c’est peut-être parce que la liste des personnes ayant intérêt à faire tomber le président est longue.
D’abord, il y a Ousmane Sonko, un homme politique connu pour ses sorties très virulentes contre une classe politique qu’il juge «corrompue» et « vendue aux intérêts étrangers ». Ses prises de position souverainistes, «antisystème» et populistes lui ont même valu le surnom de « Trump africain ». Du fait de ses propos pro-islamique, « on lui prête volontiers une proximité avec l’idéologie salafiste », ce qui l’a affaibli politiquement dans un pays « qui pratique à plus de 90 % un islam soufi pacifique » soulignait récemment le Monde.
De même, les deux hommes politiques qui témoignent dans le reportage de la BBC ont de bonnes raisons de vouloir que le scandale éclate.
Ainsi, Mamadou Lamine Diallo qui aurait attribué des permis d’extraction d’or à son épouse, en 1997, lorsqu’il était conseiller du Premier ministre. Une affaire bien malvenue, qu’il souhaiterait faire oublier en faisant diversion et en fabriquant une autre affaire afin de ne pas faire lui-même la Une des journaux.
L’ex Premier ministre, Abdoul Mbaye a, lui aussi, tout intérêt à ce que l’affaire Timis devienne l’affaire Sall, ayant co-signé le décret d’attribution des concessions à Frank Timis lorsqu’il était Premier ministre. Ce même document est aujourd’hui remis en question pour l’exploitation du gaz sur sur ces sites.
Enfin, tous les concurrents de BP ont également intérêt à ce qu’une affaire éclate et entache la réputation de la société britannique. Disposant également d’une expertise dans le domaine, ils n’ont jamais vraiment accepté d’être coiffés au poteau par Franck Timis. Parmi eux, on peut citer Tullow Oil qui, selon de nombreux sites d’information sénégalais et ghanéen, aurait en partie financé la campagne présidentielle… d’Ousmane Sonko, et qui aurait décidé de faire payer au gouvernement le choix de ne pas lui confier les blocs. Rappelons au passage que Tullow Oil avait dû régler une pénalité de 3 millions de dollars américains pour inexécution d’engagements contractuels pris sur le bloc Saint-Louis, ce qui peut justifier les réserves du gouvernement sénégalais à son égard.
Difficile dans ce contexte trouble de savoir ce qui relève de la fraude ou de la manœuvre politique et d’une conspiration pour renverser le pouvoir établi. La justice sénégalaise devrait faire rapidement toute la lumière sur cette affaire.
Moor
En Juin, 2019 (07:04 AM)En somme j'ai simplement peur que nous subissions le même sort réservé aux pays qui se sont lancés dans cette révolte sans calculer les conséquences. Nous voilà dans un monde où on entame une action sans analyser la vraie résultante. Sénégal rek moo ma gnor.
Get ready Sonko we are coming for you, and for Lie Wadda, your days are already numbered you old Bastard.
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