À Thiès, une déficiente mentale a tué son enfant en l'étranglant. Ansoumana Dione, président de l'Association sénégalaise pour le suivi et l'assistance aux malades mentaux (Assamm), réagit.
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4 Commentaires
Volai414
En Mars, 2019 (21:00 PM)S’il m’appartenait de rédiger cet article de fait divers, j’aurais usé d’un autre titre : « Ne prenant pas nos responsabilités,nous avons laissé une femme déficiente mentale tuer son enfant ».
Oui, une personne ne jouissant pas de ses facultés mentales ne saurait être responsable de ses actes.
Il y a bien longtemps qu’un service social aurait dû s’occuper du sort de cette fille plutôt que de la laisser à la maman. Encore faut-il que ce service social soit existant !
J’ai grandi avec une fille dont j’ai été amoureux et que j’ai perdue de vue depuis presque 50 ans. Ce n’est que récemment que j’ai appris son histoire. Elle pouvait être cette petite fille morte mais sa chance a été qu’une femme responsable et très humaine l’a « arrachée » assez tôt des bras de sa génitrice déficiente mentale qui dormait dehors. Tout le restant de sa vie, elle a eu une vraie Maman comme tout le monde et nous les enfants nous ne voyions pas de différence entre elle et nous. Les adultes non plus ne faisaient pas de différence tout en étant au courant.
Il faut croire que notre société a bien changé et pas forcément en mieux.
Est ce que le ministère a arrêté sa subvention qu'il lui donne annuellement.
Cette subvention doit aller vers les vrais associations qui aident les malades avec leurs moyens propres.
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