Les opérations de mise à disposition des formulaires de recueil de signatures pour les candidats à la prochaine présidentielle, se poursuivent.
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Les opérations de mise à disposition des formulaires de recueil de signatures pour les candidats à la prochaine présidentielle, se poursuivent.
A Thiaroye-Sur-Mer, de nombreuses maisons sont construites sur le pipeline de la Société Africaine de Raffinage (SAR)
Depuis 20 ans à 30 ans, ce sont toujours les mêmes qui défilent au palais à l’occasion du 1er mai, fête du Travail.
A Thiaroye-Sur-Mer, de nombreuses maisons sont construites sur le pipeline de la Société Africaine de Raffinage (SAR)
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Aux candidats à l'immigration : Le Québec est un jeu d’échecs !!!Le Québec est un jeu d’échecs, si t’es un fou de chèque, tu risques l’échecLe Québec est un jeu d’échecs, si tu ne chasses que les chèques, tu te casses le becTe voilà arrivé, les yeux rivés sur la rive sud
Cheikh et Marie Amar ont fait le grand écart hier en acceptant de venir partager un moment avec les enfants démunis et vulnérables des quartiers populaires après avoir été distingué (pour Cheikh) par la crème mondiale au Palais des Nations –Unies de Genève il ya quelques jours. Le couple Amar a passé l’après midi du 16 juin, journée de l’enfant africain, au Centre culturel Blaise Senghor lors de la sixième édition de la journée de l’association des journalistes et communicateurs de l’enfance (AJCE).
L’Association des journalistes et communicateurs pour l’enfance (AJCE) a primé huit personnes, dont cinq journalistes, ‘’pour leur travail en faveur des enfants’’, a constaté l’APS, jeudi à Dakar.
De quoi a peur notre Gorgui national pour subitement flancher à la plus petite pression ? La question se pose, vu les cafouillages monstres auxquels on a assisté hier. Alors qu’on croyait le gouvernement définitivement ficelé, voilà que Gorgui nous sert un dessert sur le plat. Oussou Bébé qu’on croyait enterré, après son limogeage du gouvernement intervenu au moment où il négociait des tracteurs en Inde, revient par la grande porte. Pour reprendre son poste de ministre des Mines.
Ancienne capitale de l’Afrique Occidentale Françaises (Aof) et du Sénégal, la ville de Saint-Louis a perdu une partie de ce qui faisait son attrait légendaire. Ce qui fût l'une des 4 communes françaises où résidaient des gouverneurs colons a rompu d’avec le légendaire «takussanu ndar». La vie n'est plus ou très peu de flâneries d'hommes bien sapés et des femmes royalement habillées. Le traditionnelle «thiébou djeune penda mbaye» (le plat local) a perdu de sa saveur à l'épreuve de la conjoncture actuelle… Entre autres charmes délaissés.
Qui n'a jamais donné un petit nom cajoleur à sa douce moitié ? Qu'il soit des plus saugrenus ou simplement classiques, pratiquement tous les amoureux ont un langage qui traduit leur intimité. Mais à chacun ses surnoms affectueux. Pour les passionnés, ce sont des «bébés », «sama xol» (mon cœur), «sama liti liti», «chéri boy», mon soleil, ma biche, ma puce, mon biquet, mon canard, mon chou, mon amour… à tout rompre. Les prudes quant à eux se contentent des «Serigne bi», «sokhna si», «jekk» et «soppé». Pour dire que tout le monde s’embarrasse de ses patronymes lourds de sens et que chacun y va de son imagination.
Dans les griffes de la nuit, Dakar devient un univers parallèle. Le monde nocturne avec ses règles, ses codes, ses principes et sa loi. Certains taximen qui font la ronde des noctambules participent au deal souterrain où, la loi de la jungle, la drogue, la prostitution, le proxénétisme et l’argent ont droit de cité. De boîtes de nuit en hôtels, des quartiers somptueux aux villas opulentes, les taxis font la ronde de nuit et jouent le relais. « Dakar by night » se transforme en un monde de fée. Seuls les plus osés s’en sortent. La nuit, les cabarets, les dancings, les boîtes, la prostitution, les homosexuels et les clients interlopes prennent la rue, la chaussée, le trottoir et le pouvoir. Pour pouvoir circuler librement, il faut avoir un body guard roulant. Un ange gardien jaune et noir, un « taximen » qui te conduit et qui te protège « comme la prunelle de ses yeux ». La nuit quand tous les chats sont gris, il est difficile de distinguer le chat sauvage, le chat de salon et le chat de gouttière. Mais même s’il y a trop de risques, les chauffeurs de taxi n’y trouvent que du bonheur.
La crise perdure. Un véritable calvaire pour les Sénégalais à l’approche du mois de ramadan. Les populations vont encore subir l’augmentation des prix des denrées alimentaires de première nécessité comme le pain, le sucre et le gaz… Une augmentation qui va certainement perturber davantage la vie de plusieurs familles. Comme si cela ne suffisait pas de vivre dans la pauvreté. Il faudra encore que les couches les plus défavorisés continuent de toujours payer les pots cassés. À peine fini de parler de la hausse du prix de l’électricité, c’est maintenant au tour des denrées alimentaires de première nécessité. À l’approche du mois de ramadan, c’est l’angoisse qui s’empare de nombreux Sénégalais.