RDC: le M23 s'empare de la ville d'Uvira, des cadavres dans les rues
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RDC: le M23 s'empare de la ville d'Uvira, des cadavres dans les rues
Le Burundi retire des troupes de l'Est de la RDC face à l'avancée du M23
Deux explosions lors d'un meeting du M23 jeudi à Bukavu, grande ville de l'est de la RDC récemment tombée sous le contrôle du groupe armé, ont fait au moins 11 morts et une soixantaine de blessés, le président Félix Tshisekedi condamnant un "acte terroriste odieux".
Le président du Burundi Evariste Ndayishimiye, dont les troupes soutiennent l'armée congolaise face au M23 et son allié rwandais dans l'Est de la RDC, a mis une nouvelle fois Kigali en garde contre une attaque lors d'une visite mardi à leur frontière commune, a appris mercredi l'AFP.
Un ancien Premier ministre du Burundi, Alain-Guillaume Bunyoni, est recherché par la justice qui a mené plusieurs perquisitions sans le localiser, a annoncé mercredi le ministre de l'Intérieur, affirmant ignorer les raisons de ces opérations.
Communément appelé « le colonel Kadhafi », Mouammar Kadhafi est un militaire et homme d’État libyen qui a profondément marqué l'Histoire contemporaine de l'Afrique.
Incidents à la frontière entre soldats rwandais et burundais
Le dernier rapport du groupe d’experts de l’ONU mentionne des opérations menées par les forces armées rwandaises et burundaises dans l’est de la RDC...
La Cour suprême de justice du Burundi a condamné « in absentia » l’ancien président Pierre Buyoya ainsi que 18 autres accusés dans...
L'armée rwandaise annonce avoir repoussé une attaque d’hommes non identifiés venant du Burundi.
Sept candidats sont en lice mercredi pour la présidentielle au Burundi, dont le dauphin désigné du président Pierre Nkurunziza, le...
La lutte contre la pauvreté, « véritable enjeu des élections »
Les autorités burundaises ont confirmé mardi 19 novembre une attaque meurtrière contre un poste avancé de leur armée survenue dans la nuit de samedi à dimanche.
Les autorités burundaises ont confirmé mardi 19 novembre une attaque meurtrière contre un poste avancé de leur armée survenue dans la nuit de samedi à dimanche.
Dans plusieurs quartiers, les habitants ont accusé les forces de l’ordre d’avoir arrêté vendredi tous les jeunes qu’ils rencontraient et de les avoir exécutés délibérément, plusieurs heures après l’attaque à l’aube par des insurgés de trois camps militaires de la capitale burundaise.
Cinq assaillants et deux soldats auraient été tués au cours d’attaques à l’arme lourde sur des casernes de l’armée burundaise, vendredi à Bujumbura.
La médiation entamée par le chef de l'Etat ougandais Yoweri Museveni dans la crise burundaise semblait mal engagée mercredi. L'opposition, arc-boutée sur son refus d'un troisième mandat du président Pierre Nkurunziza, rejette l'idée avancée d'un gouvernement d'union nationale. Le président Museveni a entamé mardi après-midi de délicates négociations pour tenter de dénouer la crise émaillée de violences meurtrières qui secoue le petit pays d'Afrique des Grands Lacs depuis l'annonce, fin avril, de la candidature de M. Nkurunziza à la présidentielle, désormais prévue le 21 juillet.
Après l'infiltration et des affrontements entre un groupe armé et l'armée il y a trois jours dans le nord du Burundi, dans la province de Kayanza cette fois, une trentaine de militants d'opposition ont été arrêtés suite à la découverte d'une importante cache d'armes sur une colline de la province de Muyinga, dans le nord-est du pays. Et l'administration l'assure : tout cela est arrivé par hasard.
La capitale burundaise a connu de nouvelles tensions dans la nuit de samedi à dimanche, à la veille des élections législatives et communales controversées de lundi, qui seront boycottées par l’opposition. Au moins trois personnes ont été tuées dans des incidents séparés. Tristesse et colère, ce dimanche 28 juin, notamment devant le domicile de l’une de ces victimes dans le quartier de Jabe, l’un des quartiers périphériques de Bujumbura où RFI s’est rendue.
«Personnellement, je le reconnais, notre mouvement a échoué», a confié à RFI le numéro 2 du mouvement, le général Cyril Ndayirukiye. L'information a également été confirmée par d'autres sources chez les putschistes.