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Thursday 14 August, 2025
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[Humorous Post] Theater, when the scene turns judicial

Auteur: Mass Massamba NDAO

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[Billet d'humour] Théâtre, quand la scène vire au judiciaire

On the small screen, Senegalese actors have mastered the art of drama, suspense, and twists. But now some have decided to experiment with a new concept: immersive theater, where the stage is no longer in the studio, but in the streets, offices... and sometimes even the police station.

They say life is a comedy, but in our country, it's also a tragedy in multiple acts. Act 1 introduces the setting—Dakar, its roads, its traffic jams, its police officers who know their lines by heart: “Your papers, please.” But the lead actor improvises and chooses to flee. The “improv” option may work on stage, but in real life, the director is called… the national police.

Act II, a change of scenery, well described by the press. An air-conditioned office, computers, a bank card, and an actor who perfectly plays the role of the model manager. Except that, behind the scenes, he's composing his own play, "Public Funds Are My Friends," with a staging worthy of the best vaudeville.

In the theater, we even applaud the bad guys if they've played well. But here, the audience is justice. And it doesn't hand out bouquets of flowers at the end, just summonses, handcuffs, and sometimes electronic bracelets, while we await the continuation of the investigation.

To say then that great roles are not measured by the ability to blur the line between fiction and reality, but by knowing when to leave the stage. Because in real life, if you miss your line... the curtain falls for good.

Auteur: Mass Massamba NDAO

Commentaires (12)

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    La voix il y a 19 heures

    Bonjour,
    Ce n’est pas le théâtre, c’est le cinéma ! Et le cinéma Kleenex. Des séries dont le scénario est basé sur les commentaires des public.

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    Jean-le-fou il y a 19 heures

    Sacré Massamba. De tels billets très bien écrits et inspirés, on en redemande. Celaxnous rappelle les succulents billets de Ndeye Taxawalu (RIP) et Amath. L'espoir est encore là au moment où le journalisme est en train de mourir de sa bonne mort à Jolof.

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    Kingz il y a 19 heures

    Trop nul...

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    Pilii pili il y a 18 heures

    Mane comprendrou ma sakh lima lire thi artical bi..
    Kom daal gnam gouniou taadj rèk daw!😳
    Dou saf, dou nèk h, tè Bari

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    Jean-le-fou il y a 18 heures

    Ce billets n'est pas destiné aux obtus. Il faut avoir un certain niveau et savoir lire entre les lignes. Ce qui n'est pas donné à un mouton.

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    Mo il y a 18 heures

    C'est quoi cette façon d'ecrire qui commence à s'instaler Si la forme prend le dessu sur le contenu , ce n'est plus du journalisme . Les lecteurs ici n'attendent pas des prouesses linguistiques ......Ecrivez des livres ( lèbone loupoʻne amonenafi ) ou allez à l'academie .
    On veux des informations justes et vraies .

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    Beut il y a 17 heures

    EST6CE QUE QULQU4UN A COMPRIS CET ARTICLE ?

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    Sow il y a 17 heures

    <>
    Pour certains qui n’ont pas compris le sens de billet. On est tellement habitué à des faits divers et des journalistes de très bas niveau qui nous a mené à cela....

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    zorro il y a 16 heures

    merci pour ce billet

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    Moko il y a 13 heures

    Nul à en pleurer!

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    JP il y a 13 heures

    Oui belle plume, article très bien écrit, plein de sens. ace journaliste fait honneur à son noble métier!

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    JP il y a 13 heures

    Oui belle plume, article très bien écrit, plein de sens. Ce journaliste fait honneur à son noble métier!

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    Sini Mbaye il y a 11 heures

    Billet de haute facture.
    Là il ne s'agit pas d'informer puisque la presse s'est déjà fait l'écho de ces faits divers intéressant deux figures bien connues de notre petit écran.
    Il s'y ajoute qu'il n'y a aucun lien entre les deux affaires.
    Mais le mérite de M.M.N c'est d'avoir réussi à faire un parallèle entre elles à travers un récit où la scène se déplace et où les protagonistes changent de figure.
    Il faut du talent pour se livrer à un tel exercice
    Pour apprécier ce billet il faut avoir le vernis littéraire.

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