Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le procès-verbal de l’élection du 2 août 2025 pour la présidence de la Fédération sénégalaise de football (FSF) reste inédit.
La publication du dernier rapport de la Cour des comptes soulève de nombreuses questions sur l’indépendance de la justice et la séparation des pouvoirs.
Directeur de cabinet du maire de Dakar Barthélemy Dias et chargé des affaires politiques de Khalifa Sall, Moussa Taye a dénoncé la présence policière à la mairie de la ville de Dakar.
Les élections législatives du 17 novembre 2024 revêtent un cachet particulier car elles vont fortement déterminer l’avenir de notre pays.
Membre de la plateforme Idy Président lors de la Présidentielle, Souleymane Ciss, coordonnateur de l'ADEJE, a donné sa position pour les élections législatives du 17 novembre prochain.
Jointe par téléphone, l’honorable députée Adji Mbergane Kanouté se désole du fait que le président de la République Bassirou Diomaye Faye ne s’est pas exprimé sur les deux tragédies de Mbour et de Ndangalma, lors de son adresse à la Nation.
Ab tenebris, ad lumina, loin des ténèbres, vers la lumière Amadou Ba veut franchir le pas. Il sera sous le feu des projecteurs politiques ce lundi.
Taxawu Sénégal se prononce sur le bras de fer entre le Premier ministre Ousmane Sonko et les députés de Benno Bokk Yakaar (BBY) sur la Déclaration de politique générale (DPG)
La polémique autour de la Déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko occupe le devant de l’actualité. Il y a un “clair-obscur dans le débat” sur ladite déclaration. Selon le président de l’Alliance démocratique/Pencoo, “ceux qui nous dirigent n'ont pas le droit de faire comme ceux qu'ils ont remplacés”.
Théodore Chérif Monteil est «très inquiet pour le Sénégal» à cause de la crise institutionnelle découlant de la polémique sur la Déclaration de politique générale (DPG).
S'achemine-t-on tout droit vers une crise institutionnelle ?
L’ancien Premier ministre Amadou Ba a invité l’actuel chef du gouvernement Ousmane Sonko à faire sa Déclaration de Politique Générale (DPG)...
Va-t-on vers une crise institutionnelle entre l'exécutif et le législatif ?
Le contenu des rapports des corps de contrôle publiés, ces derniers jours, a fait des victimes au sein de l'Alliance pour la République (APR). En effet, Ismaila Guissé préfère quitter le navire, à la suite de la publication des conclusions de ces rapports révélant des litiges fonciers, des détournements de deniers publics, entre autres scandales. Dans une note parvenue à Seneweb, ce membre fondateur de l’APR/Canada explique les motifs de sa démission de la formation de l'ancien président Macky Sall, pointant du doigt ses alliés.
Lors de la cérémonie d'investiture de Bassirou Diomaye Faye, Mamadou Badio Camara, président du Conseil constitutionnel, est revenu sur l'épisode du report de la présidentielle et les accusations de corruption portées contre le Conseil constitutionnel, formulées notamment par le le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), après l'invalidation de la candidature de Karim Wade.
L'Union africaine, l'Union européenne et les Etats-Unis ont salué l'organisation de l'élection présidentielle au Sénégal le 24 mars, après plusieurs semaines d'une crise politique provoquée par le report de dernière minute du scrutin.
UNE VALSE EN DEUX (2) TEMPS ENTRE LE PRESIDENT MACKY SALL ET LES « SEPT SAGES » DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL.
Un régime constitutionnel, quel qu’il soit, n’a de valeur que par rapport à son adéquation aux réalités locales et à sa capacité à améliorer la qualité de vie de la population qu’il est censé servir. C’est sous cette lumière qu’il nous faut évaluer en permanence le système républicain que nous nous sommes choisi dès le début de notre indépendance.
Il l'avait déjà dit le soir du 3 février, il l'a confirmé lors de sa déclaration...
Les gorges profondes des fossoyeurs de la République inondent depuis quarante huit heures les plateaux de télévision et les stations radios pour déconstruire les arguments du Chef de l'Etat qui, pendant quatre vingt dix minutes, s'est adressé à son peuple pour clarifier ses options :