L'observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf), qui a tenu, ce samedi, une rencontre de sensibilisation et de formation en éducation financière en faveur des associations consuméristes, a dévoilé les chiffres du marché financier sénégalais. "Si on regarde le système financier, le marché des assurances est à 140 milliards. Les banques ont distribué plus de 4000 milliards de crédit au 31 décembre 2016. Il y a 686 milliards de crédits de créances en souffrance", renseigne Habib Ndao, secrétaire exécutif de l'Oqsf.
Il informe que le rôle premier de la structure, est d'informer les populations, de rétablir la confiance des populations vis-à-vis de ce secteur financier, mais aussi, de "demander aux opérateurs financiers de faire des tarifications justes et de montrer tous les avantages qu'ils peuvent offrir aux populations". "Nous jouons un rôle d'épicentre et d'interface entre les opérateurs des services financiers et des usagers des services financiers. Nous sommes un régulateur de relations commerciales dans l'optique de clarifier la relation entre les partenaires. Nous essayons de montrer à la population la nécessité de travailler avec les banques et les compagnies d'assurances", explique le Directeur de l'Oqsf.
Ainsi, l'Observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf) veut doter les associations consuméristes de connaissances. Ce, pour mieux défendre les droits des usagers des services financiers et d'autres part, leur permettre d'éviter la désinformation en matière d'éducation financière en leur donnant les rudiments, les concepts de base dans le domaine financier leur permettant d'exercer leur activité en toute connaissance de cause.
8 Commentaires
Dieng
En Avril, 2018 (12:37 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (13:45 PM)Figure vous avant de vote la loi syr le parrainage les députés ont eu a voté un grand nombre de locaux touchent dss domaines aussi variés que le foncier les importations de véhicules et personne ne dit rien pad même c soir soit disant politicien qui prétendent défendre le peuple
Le Chèque Impayé
En Avril, 2018 (15:16 PM)D'autre part le système bancaire doit développer un système d'information qui puisse informer à temps réel tous ses membres qu'un tel est interdit de chèque.
Lorsque le client d'une banque est frappé d'une interdiction de chèques, celle-ci doit tout faire pour récupérer tous les moyens de paiement mis à sa disposition quitte à recourir à la justice et ses auxiliaires comme la gendarmerie et la police pour récupérer les moyens de paiement mis à la disposition de ce client car autrement il va continuer à escroquer en émettant des chèques.
Le Chèque Impayé
En Avril, 2018 (15:17 PM)D'autre part le système bancaire doit développer un système d'information qui puisse informer à temps réel tous ses membres qu'un tel est interdit de chèque.
Lorsque le client d'une banque est frappé d'une interdiction de chèques, celle-ci doit tout faire pour récupérer tous les moyens de paiement mis à sa disposition quitte à recourir à la justice et ses auxiliaires comme la gendarmerie et la police pour récupérer les moyens de paiement mis à la disposition de ce client car autrement il va continuer à escroquer en émettant des chèques.
Le Chèque Impayé
En Avril, 2018 (15:17 PM)D'autre part le système bancaire doit développer un système d'information qui puisse informer à temps réel tous ses membres qu'un tel est interdit de chèque.
Lorsque le client d'une banque est frappé d'une interdiction de chèques, celle-ci doit tout faire pour récupérer tous les moyens de paiement mis à sa disposition quitte à recourir à la justice et ses auxiliaires comme la gendarmerie et la police pour récupérer les moyens de paiement mis à la disposition de ce client car autrement il va continuer à escroquer en émettant des chèques.
Anonyme
En Avril, 2018 (15:21 PM)Avec tous les problèmes de développement et d'emplois que nous avons,cest un péché que d'avoir des crédits disponibles et non employés.
C'est con pourceux qui auraient pu faire fructifier leur capitaux en étant un peu moins gourmands.c'est con pour ceux qui auraient pu sortir de la pauvreté et du chômage en empruntant et en investissant judicieusement.
Anonyme
En Avril, 2018 (16:18 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (16:27 PM)Je répète encore: il n y a pas de banques au Sénégal mais des caisses d'épargne car celles qu'on appelle banques ne prêtent pas, ce qui explique leur surliquidité aujourd'hui.
Le paradoxe c'est que ces mêmes banques sont des sucursales Européennes qui comprennent parfaitement leur rôle de moteur économique et de développement. Cela veut dire que ces banques traitent les africains comme des clients de secondary zone. En Europe elles courent après les travailleurs pour leur prêter de l'argent mais chez nous elles demandent des garantis.
Les senegalais qui travaillent n'ont pas la possibilité de s'endetter pour acheter un appartement ou une voiture, ils ont que des crates de débit juste pour retirer de l'argent s'ils en ont dans leur comptes.
Ce qui explique que les jeunes vivent en location toute leur vie ou restent dans la maison familiale même étant salariés.
Il faut qu'on comprennent que c'est la micro économie qui fait marcher un pays sous tous les angles. Le besoin de construire crée celui de vouloir acheter des matériaux de construction qui fait travailler les menuisiers , les maçons, les vendeurs, bréf le petit commerce.
C'est pourquoi j'ai beaucoup de respect pour les baol baol, qui parviennent a acheter vendre et renouveler leur stock sans l'aide de ces soit disant institutions financières.
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