Faits-Divers
Adultère à Tambacounda: Le mari surprend sa femme et son cousin dans la cuisine, ferme la porte et ameute les voisins.
En se fiant à son cousin A. Ndiaye pour s'occuper de l’entretien de sa maison, L Ndiaye était loin de douter de ce qui se tramait dans la tête de ce dernier qui n’a trouvé rien de mieux que d’entretenir des relations coupables avec sa femme. L. Ndiaye, vivant au quartier Abattoirs avec sa femme originaire de la Guinée, était en parfaite harmonie avec elle depuis leur retour de Kédougou, où il fût affecté en 2002. Pendant son séjour à Kédougou, il fera la connaissance de Diouldé, au quartier Mosquée et pendant un an, c'était la belle vie et une parfaite harmonie entre la famille de Diouldé établie à Kédougou et L.Ndiaye. A la troisième année, le mariage fût célébré en grandes pompes. Devant toute la communauté guinéenne locale. C’est alors que Diouldé regagna le domicile de L Ndiaye. Après une année de vie commune à Kédougou, c'est le retour dans la capitale orientale. Pendant une année, c'était toujours l'entente parfaite entre les deux amoureux, au grand plaisir de la famille de L. N qui trouvait Diouldé très accueillante, ouverte et gentille envers eux. Trouvant la maison familiale étroite, il décida d’aller louer une maison à 30 000 frs cfa au quartier Abattoirs pour y vivre avec sa femme avec qui il n’a jamais eu d’enfant. C’est pour aider sa belle épouse, à la beauté d’ange, qu’il embaucha alors une bonne pour faire la cuisine et fait appel à son cousin A. N pour s’occuper de l’entretien de la maison. Pendant une année, ce fût une vie sans problème dans la maison, jusqu’au fameux jour de vendredi 18 mars dernier, alors que tous les chemins menaient vers Touba pour les besoins du Magal. Parti au travail avec son véhicule, L.N rentrera plus tôt, parce qu’atteint d’une fièvre. C’est ainsi qu’il empruntera un taxi, laissant son véhicule au bureau. Arrivé à hauteur de la maison et vu l’état de la dégradation de la route, le taximan refusa de continuer, craignant de s’enliser dans les crevasses. C’est alors que L N paya la course à 300 frs cfa et continua le reste du chemin à pied, loin de soupçonner le spectacle qui l’attendait chez lui, dans la cuisine. Une fois à l’intérieur de la maison, le silence de mort dans la cour et dans le salon l’intrigua. Aussitôt, il se dirigea vers sa chambre où il ne trouva âme qui vive. Alors lui vint l’idée d’aller voir dans la cuisine où sa femme avait l’habitude de s’asseoir pour assister la bonne, en compagnie de son cousin qui leur faisait le thé. Une fois devant la porte de la cuisine, il faillit s’évanouir devant la scène qui s’étalait sous ses yeux. Sa femme toute nue et le cousin dans la même tenue étaient en pleins ébats. Tétanisé, il cria de toutes ses forces, ramassa les habits des adeptes de l’adultère et referma à clé la porte de la cuisine. Avec son téléphone portable, il appela son grand frère et ses amis. Il les pria de venir le plus rapidement possible pour constater. Quelques minutes plus tard, nos deux amoureux sont libérés et c’était la honte qui se lisait sur leurs visages et devant un grand frère les larmes aux yeux. Sans attendre de midi à quatorze heures, L. N a aussitôt renvoyé Diouldé chez ses parents. Quant au cousin, il est resté introuvable. Cette rocambolesque histoire continue d’alimenter les différentes conversations des habitants de la capitale orientale.
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