BRESCIA : ITALIE Un émigré surpris par sa logeuse alors qu’il tentait de violer sa fillette de 7 ans

P.F, un émigré de plus de 50 ans, marié à trois femmes (toutes au Sénégal) a été surpris par sa logeuse alors qu’il tentait de violer sa fillette de 7 ans. Joint au téléphone, il déclare avoir obtenu le pardon de la mère de la fillette, raison pour laquelle il n’a pas été arrêté.

Si sa logeuse n’était pas intervenue à temps, P.F, un émigré sénégalais âgé de plus de 50 ans, allait violer une fillette de 7 ans. La logeuse est aussi la maman de l’enfant. Une affaire qui a surpris tous les Sénégalais, habitant dans le même coin que P.F à Brescia. Car il semblait tellement sérieux et témoignait beaucoup d’affection à l’endroit des enfants. L’homme avait l’habitude, chaque fois que sa logeuse part au travail, d’appeler la fillette de celle-ci dans sa chambre pour l’envoyer. Un lundi matin, pendant les vacances scolaires en Italie, le mis en cause a quitté très tôt le marché où il évolue comme marchand ambulant pour regagner son domicile. Arrivé sur les lieux, il n’a trouvé que l’enfant dans le salon. Il l’appelle dans sa chambre et lorsque petite est venue répondre, elle a trouvé P.F nu comme un ver. L’enfant, hésitant à faire un pas de plus, l’homme, pourtant marié à trois femmes restées au Sénégal, tente de piéger l’innocente avec une pièce de monnaie. Mais l’enfant refuse. Loin de se décourager, il revient à la charge en se mettant à amadouer sa cible dans le dessein de l’amener à partager sa couche. Mais, l’enfant tient bon. Heureusement pour la fillette, sa maman descend de son travail et sonne à la porte. La petite s’empresse de sortir de la chambre de P.F pour aller ouvrir la porte à sa mère. Ayant retrouvé sa fille seule en compagnie de son locataire dans l’appartement, la jeune maman commence à avoir des doutes. Elle pose des questions à son enfant qui reste, cependant, bouche bée. Loin d’être rassurée, la dame tente une autre parade, munie d’un double de la clé de l’appartement, ressort laissant P.F seul avec la fillette. Une manière de piéger celui-ci. Croyant que la femme est repartie, P.F rappelle la fillette. Mais il bute sur le refus catégorique de cette dernière qui menace, en outre, de tout raconter à sa mère si l’homme ne la laisse pas tranquille. De retour juste à ce moment, la dame interroge à nouveau sa fille avec insistance. Cette fois-ci, la petite lui raconte tout, du début à la fin. La maman se retourne alors vers son locataire qu’elle abreuve d’injures en menaçant même de déposer une plainte. Sachant que si les policiers s’en mêlaient, il serait dans de sales draps, P.F ameute ses compatriotes sénégalais qui vivent dans les parages pour qu’ils intercèdent en sa faveur auprès de la dame. Une réunion a été immédiatement organisée pour laver le linge sale en famille. Réunion au cours de laquelle P.F a reconnu les faits. «Je reconnais que j’ai eu tort. Je ne sais même pas ce qui m’y a poussé… Je vous présente toutes mes excuses», a dit le malintentionné. Finalement, la dame a accordé son pardon à P.F avant de lui demander de débarrasser le plancher dans les 48 heures. Les autres enfants qui fréquentaient P.F ont été amenées en consultation médicale par leurs mamans, prises de peur qu’il ne leur soit pas arrivé quelque chose d’irréparable.