Dans le cadre du projet d’amélioration du dispositif légal pour la réduction des pratiques néfastes, l’association des femmes juristes sénégalaises (Ajs) et la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), ont organisé ce mardi 09 février 2016, un atelier de partage et d’élaboration des propositions d’amendement de la société civile sur le projet de loi portant sur le statut des daaras.
La rencontre a vu la présence de l’Imam Mbaye Niang, députe à l’Assemblée nationale, de la représentante adjoint de l’Unicef, partenaire stratégique de ce projet, et du représentant du ministre délégué en charge de l’enfance.
Cet atelier de deux jours sera un moyen pour ces acteurs de revenir sur l’application du décret portant sur la modernisation des daaras, qui peine à être concrétisée. Pour donner une meilleure image des daaras, l’Ajr, la Raddho et l’Unicef ont noué un partenariat pour débattre sur le sujet qui est l’application effective de la modernisation des daaras. Pour ce faire, ils ont tenu à inviter l’ensemble des acteurs concernés ainsi que la société civile, afin de trouver des solutions.
L’Unicef compte accompagner et soutenir financièrement la Raddho et l’Ajs pour que l’Etat du Sénégal adopte un projet de loi portant statut des Daaras. Imam Mbaye Niang, va porter la voix au niveau de l’Assemblée nationale, pour que cette loi soit votée et appliquée. Parce que, dit-il, «la Banque Islamique du Sénégal est prête à apporter une subvention de 10 milliards de FCfa pour la construction de 64 daaras modernes. Mais cela ne peut être fait sans l’application de cette loi. Nous allons faire de notre mieux pour que les statuts des daaras soient améliorés», a t-il affirmé. Le Sénégal a ratifié la quasi-totalité des instruments juridiques nationaux et internationaux qui consacrent les droits fondamentaux de l’enfant.
« Depuis lors, plusieurs stratégies et programmes ont été développés pour la mise en application des dispositions juridiques contenues dans les conventions, chartes, lois nationales et autres relatives aux droits de l’enfant. Mais, nous continuons toujours d’observer plusieurs formes de violation des droits de l’enfant les plus élémentaires. Par exemple, les études les plus récentes réalisées sur la lancinante question de la mendicité des enfants, telles que celles de Human Rights Watch et la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes (Cnltp), ont montré la précarité des conditions de vie des enfants dans les daaras et l'exploitation à caractère économique de la mendicité des enfants talibés», à déclaré le secrétaire général de la Raddho, Aboubacar Mbodji.
C’est pour cette raison que l’Ajs et la Raddho ont décidé de saisir l’opportunité offerte par le partenariat établi avec l’Unicef, pour inviter les organisations de la société civile à formuler des propositions d’amendement sur le projet de loi portant statut des Daaras.
Cet atelier de deux jours sera un moyen pour ces acteurs de revenir sur l’application du décret portant sur la modernisation des daaras, qui peine à être concrétisée. Pour donner une meilleure image des daaras, l’Ajr, la Raddho et l’Unicef ont noué un partenariat pour débattre sur le sujet qui est l’application effective de la modernisation des daaras. Pour ce faire, ils ont tenu à inviter l’ensemble des acteurs concernés ainsi que la société civile, afin de trouver des solutions.
L’Unicef compte accompagner et soutenir financièrement la Raddho et l’Ajs pour que l’Etat du Sénégal adopte un projet de loi portant statut des Daaras. Imam Mbaye Niang, va porter la voix au niveau de l’Assemblée nationale, pour que cette loi soit votée et appliquée. Parce que, dit-il, «la Banque Islamique du Sénégal est prête à apporter une subvention de 10 milliards de FCfa pour la construction de 64 daaras modernes. Mais cela ne peut être fait sans l’application de cette loi. Nous allons faire de notre mieux pour que les statuts des daaras soient améliorés», a t-il affirmé. Le Sénégal a ratifié la quasi-totalité des instruments juridiques nationaux et internationaux qui consacrent les droits fondamentaux de l’enfant.
« Depuis lors, plusieurs stratégies et programmes ont été développés pour la mise en application des dispositions juridiques contenues dans les conventions, chartes, lois nationales et autres relatives aux droits de l’enfant. Mais, nous continuons toujours d’observer plusieurs formes de violation des droits de l’enfant les plus élémentaires. Par exemple, les études les plus récentes réalisées sur la lancinante question de la mendicité des enfants, telles que celles de Human Rights Watch et la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes (Cnltp), ont montré la précarité des conditions de vie des enfants dans les daaras et l'exploitation à caractère économique de la mendicité des enfants talibés», à déclaré le secrétaire général de la Raddho, Aboubacar Mbodji.
C’est pour cette raison que l’Ajs et la Raddho ont décidé de saisir l’opportunité offerte par le partenariat établi avec l’Unicef, pour inviter les organisations de la société civile à formuler des propositions d’amendement sur le projet de loi portant statut des Daaras.
12 Commentaires
Serigne
En Février, 2016 (08:59 AM)Déllol sa xéll té nga xam né yalla limu wa ci al khourane du sopi dagne moukk.
Anonyme
En Février, 2016 (09:01 AM)Voilà Imam la vraie question et la seule valable à traiter : il faut appliquer cette loi et mettre fin à cette HONTE NATIONALE qui n'a que trop duré. Tout le reste n'est que verbiage sans saveur, comment peut-on accepter de voir ces pauvres enfants en guenilles couverts de crasse alors que soi-même on roule en Toyota Fortuner climatisée aux frais du contribuable. Drôle de pays
Anonyme
En Février, 2016 (09:16 AM)Anonyme
En Février, 2016 (09:24 AM)Atypico
En Février, 2016 (10:01 AM)Anonyme
En Février, 2016 (10:18 AM)Anonyme
En Février, 2016 (10:42 AM)DES FRUSTRES,DE FUTURS TERRORISTES.OU PIRE DES PRECHEURS.
WAKH REK WAKH REK REW MI YEUP BEUGUA DOUNDEES WAKH.
Ndongo
En Février, 2016 (10:53 AM)Anonyme
En Février, 2016 (11:15 AM).. IL FAUT EDUQUER LES ENFANTS EN PARTANT DE LA MAISON- LA FAMILLE.... TOUT LE RESTE C DU FAUX....
... OU IL FAUT OUVERTEMENT DECLARER L'ECHEC DE LA FAMILLE....
Anonyme
En Février, 2016 (11:33 AM)Anonyme
En Février, 2016 (13:16 PM)Anonyme
En Février, 2016 (14:54 PM)Participer à la Discussion