Initialement prévu ce dimanche matin au boulevard Ndoyène de la commune de Mbacké, le meeting d'ouverture de la campagne du Premier ministre, tête de liste nationale de la coalition Bennoo Bokk Yakaar pour les législatives, se tiendra finalement dans la soirée.
Arrivés à Touba dans la matinée, Mahammed Boun Abdallah Dionne et sa délégation ont passé toute la mi-journée à effectuer une tournée dans les différentes familles des dignitaires mourides dans la cité religieuse où les responsables et militants de Bennoo Bokk Yakaar et certains "Mbacké-Mbacké" ont bravé l'interdit du khalife.
En effet, animation folklorique et tintamarre ont rythmé Touba, la ville de Serigne Touba où le khalife Serigne Cheikh Sidy Mactar Mbacké, par le biais de son porte-parole Serigne Bass Abdou Khadre Mbacké, avait récemment renouvelé ses interdits, bannissant toutes formes d'activités politiques et mondanités dans la ville religieuse. Le tout dans une ambiance festive jusqu'au quartier Ndoyène de Mbacké.
21 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2017 (18:47 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (18:49 PM)Penser, Panser Autrement
En Juillet, 2017 (18:55 PM)Un peuple, dit Grotius, peut se donner à un roi. Selon Grotius, un peuple est donc un peuple avant de se donner à un roi. Ce don même est un acte civil; il suppose une délibération publique. Avant donc que d'examiner l'acte par lequel un peuple élit un roi, il serait bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple; car cet acte, étant nécessairement antérieur à l'autre, est le vrai fondement de la société.
En effet, s'il n'y avait point de convention antérieure, où serait, à moins que l'élection ne fût unanime, l'obligation pour le petit nombre de se soumettre au choix du grand? et d'où cent qui veulent un maître ont-ils le droit de voter pour dix qui n'en veulent point? La loi de la pluralité des suffrages est elle-même un, établissement de convention et suppose, au moins une fois, l'unanimité.
Je suppose les hommes parvenus à ce point où les obstacles qui nuisent à leur conservation dans l'état de nature l'emportent, par leur résistance, sur les forces que chaque individu peut employer pour se maintenir dans cet état. Alors cet état primitif ne peut plus subsister; et le genre humain périrait s'il ne changeait de manière d'être.
Or, comme les hommes ne peuvent engendrer de nouvelles forces, mais seulement unir et diriger celles qui existent, ils n'ont plus d'autre moyen, pour se conserver, que de former par agrégation une somme de forces qui puisse l'emporter sur la résistance, de les mettre en jeu par un seul mobile et de les faire agir de concert.
Cette somme de forces ne peut naître que du concours de plusieurs; mais la force et la libertéde chaque homme étant les premiers instruments de sa conservation, comment les engagera-t-il sans se nuire et sans négliger les soins qu'il se doit? Cette difficulté, ramenée à mon sujet, peut s'énoncer en ces termes:«Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant.» Tel est le problème fondamental dont le Contrat social donne la solution.Enfin, chacun se donnant à tous ne se donne à personne; et comme il n’y a pas un associé sur lequel on n'acquière le même droit qu'on lui cède sur soi, on gagne l'équivalent de tout ce qu'on perd, et plus de force pour conserver ce qu'on a.
Si donc on écarte du pacte social ce qui n'est pas de son essence, on trouvera qu'il se réduit aux termes suivants: «Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.»A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif, composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté. Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de cité (a), et prend maintenant celui de république ou de corps politique,, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, souverain quand il est actif, puissance en le comparant à ses semblables. À l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens, comme participant à l'autorité souveraine, et sujets, comme soumis aux lois de l'État. Mais ces termes se confondent souvent et se prennent l'un pour l'autre; il suffit de les savoir distinguer quand ils sont employés dans toute leur précision.
J J ROUSSEAU LE GRAND MARABOUT
" un peuple qui élit des corrompus, des menteurs, des voleurs des rénégats et des traitresn'est pas victime mais complice" G Orwell
Anonyme
En Juillet, 2017 (19:08 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (19:45 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (20:07 PM)Collez nous la paix
Anonyme
En Juillet, 2017 (20:07 PM)Collez nous la paix
Anonyme
En Juillet, 2017 (20:29 PM)Xeme
En Juillet, 2017 (22:02 PM)Diour
En Juillet, 2017 (22:07 PM)Diour
En Juillet, 2017 (22:07 PM)Bayfaux
En Juillet, 2017 (23:06 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (00:02 AM)Kouy bagne la deuk bi sokhla......................................
Googorlu RÈk...........................................................
Anonyme
En Juillet, 2017 (07:49 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (07:54 AM)Bamba
En Juillet, 2017 (07:59 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (09:31 AM)Papis
En Juillet, 2017 (10:42 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (11:04 AM)boy wotté dara dang koy meuteul. kilifa day moytu di wax numul dul doxe.
Anonyme
En Juillet, 2017 (13:33 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (17:00 PM)Participer à la Discussion