Le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé, a peut-être failli vivre le même sort que Papis Mballo de Gelongal, victime d’un accident mortel sur l’autoroute à péage samedi dernier. «Moi-même, j’ai été victime d’un accident quasi mortel sur cette autoroute», a confié Abdoulaye Baldé dimanche dernier, en marge du lancement d’une coalition en vue de la présidentielle de 2019.
Le président de l’Union des centristes du Sénégal (Ucs) avait tiré la sonnette d’alarme à ce moment-là. Mais il n’avait pas été entendu.
«Les problèmes sécuritaires sont des problèmes fondamentaux. Ce sont des problèmes qui engagent la vie des Sénégalais, des problèmes sur lesquels on ne doit pas badiner, a martelé Baldé. Ce qui passe sur l’autoroute à péage, c’est quelque chose d’inacceptable.»
31 Commentaires
Topstock Fierte Senegalaise
En Mai, 2018 (07:32 AM)Merci
Securite
En Mai, 2018 (07:52 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (07:53 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (07:53 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (07:53 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (08:06 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (08:21 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (08:21 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (08:41 AM)Securis
En Mai, 2018 (09:22 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (09:23 AM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobbaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye !vagabondage politique ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anifane
En Mai, 2018 (09:24 AM)Après que nous ayons fini d'amener EIFFAGE et l'état à prendre toutes les précautions idoines, regardons - nous nous mêmes devant le miroir de la manière dont nous conduisons
Annonyme
En Mai, 2018 (09:37 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (09:50 AM)Contrat Sgné Par Wade Et Son F
En Mai, 2018 (09:51 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (10:02 AM)En effet une autoroute offre 4 a 5voies a lignes droites mais pas des multitudes de virages non proteges .
Anonyme
En Mai, 2018 (10:48 AM)Cependant, le travail d'information et de sensibilisation n'a pas été fait, il faudrait des spots publicitaires pour informer les automobilistes sur l'utilisation de cette voie
Sortir de l'age de pierre pour aller vers le modernité n'est pas chose aisée pour tous
Anonyme
En Mai, 2018 (11:08 AM)Ngary
En Mai, 2018 (12:10 PM)Comment imaginer une mer d'eau de pluie sur une autoroute ?
En attendant que l'autoroute soit détropicalisée,nous devons conduire comme si nous étions sur les routes nationales.
Anonyme
En Mai, 2018 (13:32 PM)Mauvaise Urbanisme
En Mai, 2018 (14:44 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (14:47 PM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Les polluants politiques persistants et vrais faux opposants se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces, impunités garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobbaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye !vagabondage politique ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique dans le maquis avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du Sunugal, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Jimi Free
En Mai, 2018 (14:48 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (16:44 PM)Du temps de Robert ziguinchor zig netait pas aussi sale
Momo
En Mai, 2018 (18:28 PM)Le député-maire de Ziguinchor a échappé à la mort, cela suite à un accident grave dont il a été victime dans la nuit du dimanche dernier sur l’autoroute. Dans son compte facebook, le président de l’Union centriste du Sénégal (Ucs), Abdoulaye Baldé raconte cette tragédie. «Rendons grâce à Dieu et prions sur son prophète Mouhamed (PSL), disons merci et amine à toutes les bénédictions reçues de mes parents, des saints hommes et de toutes et tous mes ami(e)s et proches. Grâce à Dieu j'ai échappé à un des accidents les plus spectaculaires et graves que je n'ai jamais connus de toute mon existence... En effet dimanche dernier en provenance de Mbour à l'entrée de l'autoroute à 5 km du premier péage, j'ai tenté de doubler un camion lourdement chargé ». « Il a tangué vers moi au moment de le doubler me propulsant vers les trottoirs qui m’ont à leur tour renvoyé vers le camion qui faucha ma roue arrière droite, ce qui a causé le renversement de ma voiture et fait plusieurs tonneaux sur la chaussée avant qu’elle ne se stabilise 100m plus loin les quatre roues en l’air et le camion affalé du côté droit de l’autoroute », raconte Baldé. « Grâce à nos ceintures, nous avons eu la vie sauve, moi qui étais au volant et mon ami Pape Sima comme unique passager, même si coincés à l’intérieur du véhicule, après l’accident, nous avons eu à nous démener pour sortir avant l’arrivée des secours, avec courage et sérénité. Je tiens donc à remercier les gendarmes pour la célérité avec laquelle, ils sont intervenus », poursuit le président de l'Ucs. Il a aussi salué « les îlotiers de l’autoroute pour leur perspicacité, les sapeurs-pompiers qui ont fait preuve de professionnalisme pour sortir au bout d’une heure et demi d’efforts, le chauffeur du camion. Au personnel de l’hôpital de Thiaroye qui nous ont apporté les premiers soins et radios (et qui ne cessent de prendre de même que les pompiers et gendarmes quotidiennement de mes nouvelles), et à tous mes amis et parents militants et sympathisants au Sénégal et dans le monde qui m’ont apporté leur soutien pendant ces moments pénibles. Merci à tous. Grâce à vos prières, je me porte très bien et que Dieu vous protège tous du mal…» raconte Abdoulaye Baldé, président de l’Ucs.
Anonyme
En Mai, 2018 (18:49 PM)Mg
En Mai, 2018 (19:22 PM)Mg
En Mai, 2018 (19:22 PM)Mg
En Mai, 2018 (19:22 PM)Mg
En Mai, 2018 (19:23 PM)Mg
En Mai, 2018 (19:23 PM)Participer à la Discussion