La SEDIMA, société sénégalaise spécialisée dans l’aviculture, a la capacité de fournir au marché sénégalais entre 42 et 45 millions de poussins par an, affirmé son directeur technique, Youssouph Diémé.
"La SEDIMA est en mesure de fournir au marché sénégalais entre 42 et 45 millions de poussins par an. Ces ruptures de poussins, c’est fini. C’est du passé", a-t-il dit dans un entretien avec l’APS, en marge du Salon international des industries et techniques agroalimentaires (SIAGRO).
"Le marché sénégalais, très souvent, à l’approche des fêtes, est inondé de poulets et après’’ ces dernières, "il n’y en a pas’’, a-t-il observé, ajoutant que désormais, les consommateurs auront la possibilité de s’approvisonner "en permanence. Ça fait du développement".
La SEDIMA a par ailleurs pris l’option de "vacciner les poussins au couvoir dès la naissance, de manière à ce que l’éleveur n’intervienne pas’’ à ce niveau de la chaîne de production avicole.
"Nous avons des maladies comme la maladie de Newcastle, de Gumboro, la bronchite infectieuse’’, entre autres, "qui créent d’énormes pertes aux éleveurs", d’autant que ces derniers n’ont "pas les moyens de faire ces vaccinations", a-t-il indiqué
Selon son directeur technique, la SEDIMA a acquis "des machines de vaccination automatique’’ et recruté "une équipe de 10 jeunes pour vacciner tous les poussins".
La SEDIMA a par ailleurs "décidé de faire de l’intégration des éleveurs pour faciliter l’écoulement de leurs productions. Des éleveurs ont déjà signé des protocoles, en s’engageant à fournir 60.000 poulets par an", a fait savoir Youssouh Diémé, selon qui la société dispose également d’un abattoir d’une capacité de "4000 poulets par heure extensible à 6000 poulets"
8 Commentaires
Anonyme
En Mars, 2018 (19:54 PM)Anonyme
En Mars, 2018 (21:27 PM)Il faut diversifier l'offre avec du poulet local, qui a plus de goût.
Attention à l'excés de capitalisme et à la recherche de profit à tout va, cela méne vers des dérives.
Anonyme
En Mars, 2018 (23:55 PM)Cependant de gros efforts doivent être fournir dans les domaines agricoles et sur la recherche pour la réduction des coûts de l'aliment pour la volaille.
Car qu'on le veuille ou non,la consommation du poulet reste toujours festive au Sénégal.
Une réduction de l'aliment permettrait à tous de le consommer plus fréquemment.
Anonyme
En Mars, 2018 (23:55 PM)Cependant de gros efforts doivent être fournir dans les domaines agricoles et sur la recherche pour la réduction des coûts de l'aliment pour la volaille.
Car qu'on le veuille ou non,la consommation du poulet reste toujours festive au Sénégal.
Une réduction de l'aliment permettrait à tous de le consommer plus fréquemment.
Anonyme
En Mars, 2018 (23:55 PM)Cependant de gros efforts doivent être fournir dans les domaines agricoles et sur la recherche pour la réduction des coûts de l'aliment pour la volaille.
Car qu'on le veuille ou non,la consommation du poulet reste toujours festive au Sénégal.
Une réduction de l'aliment permettrait à tous de le consommer plus fréquemment.
Anonyme
En Mars, 2018 (23:55 PM)Cependant de gros efforts doivent être fournir dans les domaines agricoles et sur la recherche pour la réduction des coûts de l'aliment pour la volaille.
Car qu'on le veuille ou non,la consommation du poulet reste toujours festive au Sénégal.
Une réduction de l'aliment permettrait à tous de le consommer plus fréquemment.
Anonyme
En Mars, 2018 (23:55 PM)Cependant de gros efforts doivent être fournir dans les domaines agricoles et sur la recherche pour la réduction des coûts de l'aliment pour la volaille.
Car qu'on le veuille ou non,la consommation du poulet reste toujours festive au Sénégal.
Une réduction de l'aliment permettrait à tous de le consommer plus fréquemment.
Anovnyme
En Mars, 2018 (00:37 AM)Participer à la Discussion