SINGULIER 24 DÉCEMBRE À SALY : Le réveillon de 24 homosexuels sénégalais et français se termine à la police

Après Mbao, qui avait défrayé la chronique l'année dernière avec un marriage et une soirée de partouze, une autre bande d'homosexuels, amenée par B.N. D dit Néné, fait parler d'elle à Mbour. Précisément à la station balnéaire de Saly Portudal où vingt-quatre (24) homosexuels sénégalais et français, ont été pris, avant-hier, animant une soirée de réveillon.

Le 24 décembre dernier, au moment où des millions de Sénégalais célébraient le jour de la naissance du Christ, B.N D dit Néné dans le milieu pédéraste, décidait de réveillonner à sa manière, en bande. En passe de devenir la nou­velle coqueluche des homosexuels sénégalais, après l'exil forcé aux États-Unis de Pape Mbaye dit Stéphanie, Néné louait une luxueuse villa à Saly Niakh Niakhal, pour y accueillir, vingt-trois (23) de ses semblables : vingt et un (21) homo­sexuels sénégalais, venus de Dakar, Mbour, Rufisque, et deux Français. Une fois réunie dans la villa, la bande des vingt-quatre (24) se mit à réveillonner sans retenue. Malheureusement pour Néné & Cie, l'organisation de cette soirée peu commune était parvenue aux oreilles d'indicateurs de la police de Mbour. Et décision fut prise par cette dernière d'infiltrer la bande. Une fois parmi les homosexuels et après avoir réuni suffisamment d'indices, les taupes alertèrent le poste de police de Diamaguène, à Mbour. Alors que la soirée battait son plein, des éléments de la Brigade de Recherches dudit poste de police ont cerné la villa louée par Néné, avant de pénétrer à l'intérieur, pour met­tre un terme à la fête. La perquisition faite, les policiers ont mis la main sur tout un arsenal pour le moins ahurissant préservatifs, lubrifi­ants pour sodomie, perruques, ongles artifi­ciels, produits cosmétiques et dessous affriolants prisés par les femmes. Ces objets sai­sis, ont été mis sous scellés et acheminés à la police avec «Nèné» et vingt-trois (23) acolytes. Auditionnés, tous ont reconnu leur homosexu­alité, avant d'être placés en garde à vue.

Abdoulaye Diedhiou
Source Le Populaire