Saint-louis, 21 mai (APS) - Le directeur de l’insertion et des relations (DIRE) avec les entreprises de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis Mamadou Youry a annoncé que l’objectif visé par les autorités de l’établissement est de permettre à 50 pour cent de leurs maîtrisards d’avoir peu avant leur sortie une première expérience professionnelle en vue de s’insérer plus facilement dans le marché du travail.
M. Sall s’exprimait jeudi au cours d’une conférence de presse en prélude à l’organisation de la deuxième édition du Forum d’insertion et d’échange avec les entreprises et de la quatrième session du Conseil d’orientation et des relations avec les milieux économiques, prévus les 28 et 29 mai prochains.
’’L’année dernière nos étudiants qui sont sortis ont reçu beaucoup d’offres de stages, environ une cinquantaine’’, a précisé M. Sall qui ambitionne cette année d’arriver à placer en position de stages 150 sur les 300 maîtrisards sortants et d’atteindre ainsi les 50 pour cent.
’’Ce résultat est réconfortant si l’on sait que certains préfèrent continuer les études et n’ont pas besoin de stages’’, a souligné le responsable de la DIRE, une initiative née du rectorat de Mary Teuw Niane dans un souci de faciliter l’entrée des étudiants dans le milieu de l’emploi.
Selon lui, le forum de l’année dernière, a permis à l’UGB de mieux se faire apprécier dans le milieu des entreprises qui seront fortement représentées à la deuxième édition à laquelle est attendue le ministre d’état, ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
Le premier jour du forum sera marqué par une conférence sur le financement de l’enseignement supérieur introduite par Almamy Konté, directeur de la recherche technologique et Adama Diaw, directeur de l’Unité de formation et de recherches en Sciences économiques et gestion (UFR-SEG).
Au programme du forum, entre autres, il y a une conférence sur le théme ’’Financement de l’enseignement supérieur au Sénégal : enjeux et perspectives’’ qui sera introduite par le professeur Adama Diaw, directeur de l’UFR-SEG et Baydallah Kane, directeur de l’UFR Lettres Sciences humaines (LSH).
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