En quittant son village, Fatim Sy Diack espérait trouvait meilleure prise en charge médicale à l’hôpital régional de Saint-Louis. Mais la parturiente, sujette à des complications post accouchement, fut amputée des mains et des jambes, le 9 avril dernier.
De son village - qui n’a hélas pas le même plateau technique que l’hôpital de brousse de Ninefesha dans le Kédougou -, Fatim Sy Diack fut traînée de l’hôpital de Ndioum à celui de Saint-Louis où elle a été amputée des mains et des jambes.
Son sort alerta l’opinion de la vieille ville et déclencha les sentiments de compassion. C’est ainsi que, il y a peu, une émission lui a été consacrée à la radio privée de Saint-Louis, FM Teranga. Des ministres ont même promis d’être au chevet de Fatim Sy Diack - en réanimation à l’hôpital régional de Saint-Louis - d’autant plus que sa famille, démunie, ne peut assurer son suivi médical coûteux. Elle sollicite l’aide des bonnes volontés.
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