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Algeria: Under house arrest, former intelligence chief flees, Algiers in turmoil

Auteur: Bernardin PATINVOH

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Algérie : Assigné à résidence, l’ex-chef du renseignement prend la fuite, Alger en ébullition

In Algeria, the former director of the General Directorate of Internal Security (DGSI), Abdelkader Haddad, alias Nasser El-Djinn, has been missing for several days. According to concordant sources, the man, who was under house arrest after his dismissal last May, managed to outdo his guards and escape.

Military and police checkpoints everywhere

To find him, an unprecedented security operation was deployed on September 18 and 19, 2025, in Algiers and its surrounding areas. Military and police checkpoints were set up everywhere. Roads were blocked. Men in fatigues searched vehicles. Helicopters were even deployed for aerial overflights.

"It looked like a hunt for a fugitive," commented the newspaper "Le Monde".

Abdelkader Haddad was close to Algerian President Abdelmadjid Tebboune.

High Security Council meeting convened

Before being placed under house arrest, he had spent time in military prisons in Blida and Béchar. It is unclear what he is accused of. On Thursday, September 18, shortly after his escape, the Algerian president chaired a meeting of the High Security Council, a body that plays a central role in managing major security issues in the country.

Auteur: Bernardin PATINVOH
Publié le: Samedi 20 Septembre 2025

Commentaires (11)

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    L' Algerie mérite mieux il y a 8 heures

    Un ex chef des renseignements est toujours rempli de connexions relationnelles et il connaît bien son Pays.

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    Sénégalais il y a 8 heures

    Lou si sounou yone.

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    RIO il y a 8 heures

    PAYS OÙ RÉGNE LA DICTATURE.

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    Djinné Nasser il y a 8 heures

    "alias Nasser El-Djinn.;" il mérite bien son surnom de djinn 🤣🤣

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    Boy Medina il y a 6 heures

    Gnoune amenagnou boy djinn

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    Karoza il y a 7 heures

    L'algerie et la. mauritanie deux soutiens et sponsors du terrorisme issue de l'otan dans le sahel que deux les maudissent avec leur mentor l'ignoble france

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    Gorsi il y a 7 heures

    Qu il aille au Mali

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    Borom hamham il y a 7 heures

    Chef des renseignements! On devine aisément ce qu'on lui reproche.Sourtout qu'il a fuit.

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    Monsieur plus il y a 6 heures

    El djinn ! Il a prouve ses talents

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    Observateur il y a 6 heures

    Un chef du renseignement on ne l'assigne pas en résidence on le met au fond d'une cellule dans une prison de haute sécurité. Et ils croyaient bêtement que le patron des espions allait les attendre bien sagement. Faut être con pour assigner à résidence un espion.

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    Bebert il y a 6 heures

    @Karoza......un imbécile inculte 5 étoiles, le primitif sur sa branche qui brasse du vent/cherche Algerie-URSS ....pauvre mouton !!

    .............le général-major Abdelkader Haddad, alias Nasser El-Djinn, ex-patron de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) de juillet 2024 à mai. Son éviction brutale avait d’autant plus surpris qu’il était réputé proche du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dont il avait accompagné la réélection à un deuxième mandat en septembre 2024.

    Ainsi vont les règlements de comptes au sein du régime algérien, qui n’en finit pas d’être déchiré par de féroces luttes de factions. Arrêté très rapidement après son limogeage, Nasser El-Djinn avait été placé en détention à la prison militaire de Blida puis à Béchar, dans l’ouest du pays, avant d’être assigné à résidence dans une villa du quartier de Dely-Ibrahim, sur les hauteurs d’Alger. Or il a échappé à la surveillance de ses gardiens, selon une source autorisée à Alger, en milieu de semaine, provoquant une onde de choc au sommet de l’appareil dirigeant.

    La convocation en urgence, jeudi, du Haut conseil de sécurité (HCS) – l’agence officielle de presse Algérie Presse Service mentionne la réunion mais sans fournir de détails – ainsi que les opérations intensives de recherches dans le Grand Alger étaient les signes les plus visibles d’une nervosité officielle à la mesure du revers essuyé. La disparition de Nasser El-Djinn n’a pu, à l’évidence, se produire que grâce à des complicités au sein des organes sécuritaires. Une défaillance qui en dit long sur les fractures au sein du régime, au-delà de la propagande lénifiante sur l’« Algérie nouvelle »

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    Lojn il y a 4 heures

    Il a "disparu".. où on l'a fait disparaitre...

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