Embalò brise le silence sur le "putsch" polémique : «Si j’avais moi-même organisé tout cela…»
A "fake coup," a "scheme"! International opinion has reacted badly to what happened in Guinea-Bissau. While the presidential election results were awaited, President Umaro Sissoco Embaó announced that he had been the victim of a coup. Many accused him of having orchestrated the whole thing. The former Guinean president has broken his silence.
“If I had organized all of this myself, I would still be in power,” he told our colleagues at Jeune Afrique. The now former head of state of Guinea-Bissau thus dismisses as “fake news” comments suggesting that he himself co-orchestrated the coup with General Horta N'Tam. He also implicates senior officers in the coup, accusing them of being behind it.
Commentaires (16)
cet imbecile de Mballo
Fëkina Moram ba
Chiiiiim sale TRAITRES
Le crétinisme leurs caractéristiques principales
En rejoignant Macky Sall à Marrakech rebelotte dirai- je !
Car le même Embalo a bien reconnu être par le passé hébergé par l' ex PR du Sénégal à Mermoz
D' autre part le plus en vu des trois chefs d' état n' est autre que celui en exercice au Sénégal ....
J' espère pour Diomaye qu' il en a confié de trop au chef d' état Bissau-guinéen déchu .Auquel
cas , le risque d' être anéanti se fait ressentir depuis Paris Rabat et Dakar bien entendu
Et par leurs mensonges et le travail de leurs médias, nous restons enfermés dans deux types de débats: à savoir qu'ils sont préoccupés par le devenir de l'Afrique, et qu'ils sont libres de la France. Et cela nous empêche d'avancer vers plus de compréhension. Ainsi le sujet de comment la France arrive à les tenir à la laisse. Parce que ce que ces gens là font pour la France, et contre leurs propres pays, je jure qu'ils ne le font pas de gaieté de cœur, ils sont obligés. Ce serait mieux que les africains comprennent comment leurs dirigeants sont tenus par une laisse. Mais on nous empêche d'aller vers pareille curiosité.
Je rappelle un trait d'humour de Ouattara, un humour très très révélateur, qui avait pourtant eu lieu en direct et en public devant toute l'Afrique. C'était à l'occasion d'une rencontre de nos préfets de la France à Abidjan (Ouattara, Condé, Macky, etc ). Lors du discours de Condé, durant la rencontre, ce dernier fit de longues tirades sur la nécessité de coopérer entre états africains, sans y impliquer l'Occident, de prendre possession de nos ressources, etc. Évidemment tous les autres écoutaient comme tétanisés de peur. A la fin du discours de Condé, reprenant le micro, Ouattara lança une farce en déclarant: " J'avais oublié de préciser à mon frère Condé, que les liaisons de la salle vers l'extérieur ne sont pas coupées, donc nous somme écoutés ailleurs ". Rires dans la salle. Condé réclama le micro de nouveau, pour préciser: "J'assume tout ce que je viens de dire, et que cela soit entendu partout ".
L'humour de Ouattara révélait une chose: ils veulent bien parler, mais ils n'osent pas. Quand ils parlent du drame qu'ils vivent, ils doivent s'assurer d'abord qu'il n'y a pas des micros de la France collés aux murs.
20% contre 18%. Les autres wolof , ou diolas ne sont que des virgules.Ainsi Dieu a voulu.
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