Le Sénégal dans le miroir du déclin (par Adama Ndiaye)
Is Senegal sinking into irreversible mediocrity?
The question is worth asking, given the accumulating signs of a multifaceted decline—economic, political, cultural. Our neighbors, once lagging behind, now surpass us in dynamism, creativity, and vision. During a recent trip to Cotonou, I overheard a conversation between members of the Senegalese presidential majority, whose names I will not mention. They themselves agreed that in terms of quality of life, civic-mindedness, and the upkeep of public squares and monuments, the Beninese capital had lessons to teach Dakar. Between sighs, one of them said, half-admiring, half-bitter: "Their presidential avenue is much better maintained than ours." In Cotonou, despite imperfections, political will and a certain rigor give the impression of a city moving forward. In Dakar, on the other hand, the Prime Minister himself admits that things are going from bad to worse. The dilapidated public squares, the lack of civic-mindedness and the neglected maintenance of monuments bear witness to this.
Economically, the picture is hardly brighter. There was a time when, taking advantage of the Ivorian crisis, Senegal dreamed of becoming the West African powerhouse. This dream has turned into a pipe dream. Côte d'Ivoire is far ahead of us, with a GDP of USD 78.8 billion in 2024 (according to the IMF), compared to USD 31.1 billion for Senegal. Worse still, Guinea, with a GDP of USD 32.3 billion, has temporarily overtaken us, according to 2024 projections. A setback that some economists describe as temporary, but which is nonetheless humiliating for a country that saw itself as a regional leader.
Even in the culinary sphere, our national pride is wavering. Our age-old superiority over thiébou dieune, a symbol of our identity, is now being challenged by Nigerian jollof rice. In 2023, a Nigerian chef, Hilda Baci, even set the Guinness World Record for the longest cooking marathon, preparing jollof rice for 93 hours. A gastronomic provocation that, although symbolic, adds to our sense of demotion.
But the most alarming decline - which began since the First Alternation - is that of our political personnel. Senegal once shone with its intellectual and moral figures: Léopold Sédar Senghor, Cheikh Anta Diop, Cheikh Hamidou Kane, Amadou Makhtar Mbow, Abdoulaye Bathily... It seems that the production of this breed of men has dried up.
These giants seem to belong to a bygone era. Today, Abass Fall, Barthélémy Dias, Farba Senghor, Farba Ngom, Amath Suzanne Camara, Bilal Diatta, Massata Samb, and Mamadou Niang dominate the scene.
When Bilal Diatta attacks a camera with a bling-bling thug attitude, the journalist in me is outraged, but it's the citizen who bleeds. How did we end up entrusting the reins of the country to individuals whose style and actions border on caricature? A little restraint, for goodness' sake!
By tolerating mediocrity, we are jeopardizing the very future of Senegal. Our neighbors are moving forward, and what are we doing? We gaze bitterly at our reflection in the mirror of decline.
Commentaires (88)
Affichage des 50 commentaires les plus récents.
Monsieur Ndiaye,
Votre chronique soulève des vérités amères, mais elle pèche par excès de généralisation. Oui, le Sénégal connaît des difficultés : incivisme, dette, dégradation urbaine. Mais réduire notre trajectoire à un déclin irréversible, c’est ignorer les efforts de réforme, les initiatives citoyennes et les transformations en cours dans les secteurs clés.
Comparer les PIB sans analyser les dynamiques internes ou les investissements stratégiques donne une lecture incomplète. Et sur le plan culturel, le thiébou dieune n’a pas besoin de records pour rester un symbole vivant — la diversité culinaire ouest-africaine est une richesse, pas une compétition.
Enfin, si le personnel politique actuel suscite des critiques, il ne faut pas oublier que le renouveau passe aussi par l’engagement de nouvelles générations, plus connectées aux enjeux contemporains.
Le miroir que vous tendez est utile, mais il mérite d’être élargi. Le Sénégal n’est pas figé dans le déclin — il est à un carrefour. À nous de choisir la voie du sursaut.
Respectueusement,
(falang@duck.com)
Pourquoi mon poste a été supprimé ?
Monsieur Ndiaye,
Votre plume incisive et votre regard sans complaisance sur l’état du Sénégal ont le mérite de réveiller les consciences. Toutefois, si le miroir que vous tendez reflète des vérités douloureuses, il mérite aussi d’être nettoyé des généralisations qui risquent de masquer les dynamiques de transformation en cours.
Oui, notre pays traverse une phase critique. Le recul du civisme, la dégradation du cadre urbain, l’endettement structurel et la perte de repères dans le personnel politique sont des symptômes visibles. Mais ce tableau, aussi sombre soit-il, ne saurait occulter les efforts de milliers de Sénégalais qui, dans l’ombre, œuvrent à redresser les lignes : enseignants, ingénieurs, entrepreneurs, agents publics, développeurs, artisans, et même certains élus locaux.
Sur le plan économique, comparer le PIB brut du Sénégal à celui de la Côte d’Ivoire ou de la Guinée sans intégrer les dynamiques sectorielles, les réformes fiscales, les investissements en infrastructures ou les transitions énergétiques en cours, revient à juger un patient sur sa température sans analyser ses constantes vitales. Le Sénégal n’est pas en coma économique, il est en convalescence stratégique.
Quant au déclin culturel, il serait injuste de réduire notre patrimoine à une compétition de riz. Le thiébou dieune n’est pas un trophée, c’est une mémoire vivante. Et si le jollof rice nigérian séduit, tant mieux : la diversité culinaire ouest-africaine est une richesse, pas une menace.
Enfin, sur le personnel politique, votre nostalgie des figures tutélaires est légitime. Mais elle ne doit pas nous enfermer dans le passé. Le Sénégal a besoin d’une nouvelle génération de leaders, certes plus sobres, mais aussi plus connectés aux réalités locales, aux enjeux technologiques et aux impératifs de gouvernance. La critique est utile, mais la construction l’est davantage.
En somme, votre chronique est un électrochoc. Mais pour qu’il soit salutaire, il doit s’accompagner d’un appel à l’engagement, à la réforme, à l’innovation. Le déclin n’est pas une fatalité. Il est un signal. À nous de le transformer en levier.
Respectueusement,
(Falang)
le sénégalais fait semblant alors que les autres croient. Aussi l’inerte personnel a pris la place de l’intérêt général. Les événements de 2021 à 2023 ont montré que le peuple n'est ni uni ni solidaire. Avec nos dirigeants politiques, FALA RAIL BA TENE
Nous sommes pires que nos dirigeants actuels. C'est malheureux. tu as raison.
TOUT CET ARTICLE POUR DIRE UNE CHOSE: LE SENEGAL SOUS MACKY SALL ETAIT DEVENU UNE REPUBLIQUE BANANIERE: LUI , SES PROCHES ET SES OUAILLES FAISAIENT CE QU'ILS VOULAIENT CAR ILS PENSAIENT ACCAPARER LE POUVOIR ET CACHER AINSI LEURS MEFAITS. FILS GRIOTS JOURNALISTES TOUS DEVENUS MILLIARDAIRES...
Mais quel est le rapport de l'enseignment de l'anglais avec le propos de cet article?? Il ne faut pas tout mélanger
jene parle pas du contenu mais osez méme mettre senghor face a cet homme est une insulte pour nous les lecteurs.
Le journaliste qui a écrit ce torchon est un nafekh et n'est mieux lotis que bilal diatta et les autres qu'il essaie de dénigrer. Comment peut-on citer senghor , abdou diouf, makhtar mbow et même bathily en ignorant totalement Abdoulaye wade. C'est cette méchanceté à l'égard de wade que je ne comprends pas, alors que quoi puisse lui reprocher, il est meilleur que ces gens. En plus ce qui me révulse dans ce pays, c'est senghor et le parti socialiste qu'une certaine presse ignorante et hypocrite veulent ériger en modèle de gouvernance alors que ce sont eux qui ont détruit ce pays en ratant les fondamentaux du développement avec une gouvernance basée sur le laxisme la corruption le copinage et le clientélisme. Tout ce que nous sommes en train de vivre actuellement avec une administration lente et corrompue, c'est un héritage socialiste qui perpétue de régime en régime. La question maintenant qu'on doit se poser, c'est comment faire, dans un consensus total de la classe politique, pour régler ces problèmes définitivement au lieu de chercher à jeter la responsabilité sur qui que ce soit.
Et vous les journalistes, quel est votre part de responsabilité dans tout cela ? Présentement, n'importe qui peut se lever et se proclamer journaliste. La plus grande médiocrité se trouve dans cette corporation, on n'a qu'à suivre la presse quotidienne pour en avoir la preuve. Rare ce sont les journalistes qui peuvent tenir une émission en français de 30 mn. En plus, la plupart de ces hommes politique que vous qualifiez de médiocres, ce sont les journalistes qui les créent. Je peux citer l'exemple de barth diaz du tps de wade, actuellement les bougane, pape d fall, et tant d'autres.
Encore, ce phénomène de médiocrité dans la classe politique n'est pas le propre du Sénégal seulement, c'est dans le monde entier. Allez-y en France, aux États-Unis, et dans plusieurs pays soient, c'est des sportifs de réputation qu'on promeut, ou des gens riches, ou des artistes qui n'ont aucun niveau intellectuel.
Wade avait amorcé le changement et le développement dans ce pays avec l'éveil des consciences, la souveraineté économique, le développement des infrastructures, etc. Mais il a été combattu hypocritement et lâchement par des journalistes à la solde des occidentaux.
Bof il y'a si longtemps que je le dis , les illettrés ont pris en otage notre pays , et la concurrence entre médias donne la parole à des cancres modernes qui doivent leur salut aux réseaux sociaux, personne ne parle plus français , les plateaux télé qui sont les miroirs de là société sont squattes par des nullards incultes du coup ce pays a fait un bond de trente ans en arrière.
Vous le presse vous y êtes pour beaucoup dans ce processus de déclin. Vous avez sacrifié la rigueur, la déontologie au profit de la médiocrité et de 'argent. Vous avez laissé les populistes désinformer la masse, érigé des chroniqueurs-menteurs au rang d'érudits. Que dire de plus à part bon gémissement!
Un gourou profiteur de gamine misereuse ne peut être que le dirigeant d'une horde d'ânes incultes et niais....ce zoo ne se respecte pas et finira au fond des chiottes !!....vos nanas sont quand même des guenons et vous avez validé !!
Le declin est encore plus profond que les noms qu'il cite. Les bas fonds, c'est quand des Coura Macky, Gadiaga, Abdou Nger, Kader Dia, Azura etc... font la une des journeaux. Et quand on invite des Karim Xrum Khak et des Serigne Bara a parler d'eurobond
Nous avons confié notre destin à deux incultes, beaux parleurs et nullards. Tappalé katt ak violeur
pourquoi suspendre des projets comme le programme spécial de désenclavement les ponts avec matière et beaucoup d'autres projets
cela explique notre régression alors qu'au même moment là guinée met en œuvre de grands projets comme simandou c'est pourquoi ils ont dépassé le senegal
il faut qu'on travaille et cesser de stigmatiser les guineens
c
même la guinée nous a dépassé parce que tout simplement on ne travaille pas on discute de politique politicienne à longueur de journée et d'année
tout est à l'arrêt dans le pays tous les projets et programmes sont suspendus on régresse terriblement
on a mal on a honte il est temps pour un sursaut d'orgueil
il faut se ressaisir rt travailler
C'est maintenant que cela a commencé " ton déclin du Sénégal " Adama ? Quelle malhonnêté ! Depuis 1965, le Sénégal a été toujours derrière la Côte d'Ivoire. Alors que Senghor faisait de la poésie, Houpheit Boigny faisait de l'économie et construisait des Ponts et échangeurs. Même plus prêt, en 2000 après quelques années perdues suite à cette imbécillité de guerre civile causée par des hommes politiques, l'éléphant d'Afrique s'est relevé grâce à ADO le grand économiste, ancien FMI, ancien Boss de la BCEAO à...Dakar. Wade et Macky Sall faisaient de la Mal Gouvernance eux jusqu'en... 2024.
Ngoor, pour dégringoler il faute avoir été au sommet ou au moins en haut. Ha ha ha !
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Il fallait ecrire: a force de tolérer la médiocrité des journalistes comme Adama Ndiaye c’est l’avenir même du Sénégal que nous compromettons.
Permettez à un analphabète de donner son avis . D'emblée , je précise que je ne suis pas sénégalais , mais que je visite régulièrement ce pays depuis 1980 pour moults raisons . A mon humble l'apparition des télés privées et récemment le smart phone ,combinée à l'utilisation presqu'exclusive de la langue wolof dans les médias, dans les meetings, dans des débats politiques a entrainé une politisation excessive de la jeunesse qui de surcroit est victime des déboires du système éducatif . Aujourd'hui le sénégalais ne maitrise plus aucune langue internationale et ne s'informe que sur les "télébidons" dont le seul programme est la politique ( avec petit p ) . La preuve , les seuls commentaires lisibles sur ce sujet de la décadence du pays émanent des personnes âgées seules capables d'avoir un langage construit et une réflexion sur des sujets de société et des sujets politiques . Quant à la "jeunesse " , elle vit sur les réseaux sociaux avec des bribes de connaissance qui font d'elle une proie facile pour les politiciens qui les manipulent à coup de rhétorique et de slogans mensongers . En conséquence , ce pays ne vit plus dans la réflexion , mais dans l'émotion , l'injure , l'insulte , la haine de l'autre et la suffisance vis à vis du reste du monde.
Les citadins commencent à s'installer dans le monde rural, à y acheter des terres et à les exploiter avec l'aide d'ouvriers agricoles étrangers, pendant que les fils de ces terroirs sont à Dakar. à encombrer les rues et mettre le bordel (charrettes, motos, friperie, ...). Réveillons-nous, ce ne sont pas les étrangers qui bâtiront ce pays !
@Momo2....................La tâche sera ardue pour nos jeunes dirigeants....................avoir comme référence un gus qui pisse sur els règles de son bled (couvre feu) puis avec ses cfa profite de la misère d'une gamine avant de la traiter de guenon.......faut vraiment avoir les neurones usés par les ans pour espérer une quelconque qualité de cette paire de raclures !!.un paillasson et une pourriture ....
content de voir comme ce bled crève la gueule ouverte et finit dans les égouts de la haine, du racisme, manque l'ultime étape confrérie et ça finira dans le sang !!
C'est maintenant que cela a commencé " ton déclin du Sénégal " Adama ? Quelle malhonnêté ! Depuis 1965, le Sénégal a été toujours derrière la Côte d'Ivoire. Alors que Senghor faisait de la poésie, Houpheit Boigny faisait de l'économie et construisait des Ponts et échangeurs. Même plus prêt, en 2000 après quelques années perdues suite à cette imbécillité de guerre civile causée par des hommes politiques, l'éléphant d'Afrique s'est relevé grâce à ADO le grand économiste, ancien FMI, ancien Boss de la BCEAO à...Dakar. Wade et Macky Sall faisaient de la Mal Gouvernance eux jusqu'en... 2024.
De Senghor chantre de la négritude, grand intellectuel avec ses contemporains dont Cheikh Anta, nous sommes passés à Gatsa Gatsa, triste réalité
aucun signe de déclins de la nation Sénégalaise. L'auteur de cet article parle de lui même il serait en déclin.
Le Sénégal envoie des satellites
Le Sénégal gagne la coupe d'Afrique des nations
Le Sénégal brille dans des domaines ( scientifiques, artistiques, innovation, universitaires, finances) etc ect
citer la propreté d'une avenue même pas un boulevard dans un pays voisin conclure c'est un déclin par rapport à DAKAR , PIB, c'est contre vérité
DAKAR à besoin d'espaces verts, des plages propres, une voirie avec maintenance périodique.
Mettre Abbas FALL dans le même lot relève de l’ignorance ou de la subjectivité, renseignez-vous sur son cursus et son parcours.
Par ailleurs même du temps de ceux que vous listez comme les meilleurs à votre avis, des gens avaient occupé de hautes fonctions, dans les conseils d’administrations, à l’hémicycle, au sénat, au conseil économique, etc., alors qu’ils étaient des analphabètes, et même des bouffons et des ignares. Ils ne devaient leurs postes que par proximité avec les dirigeants, par lien de sang royal, par parenté ou parrainage de groupes de pression religieux ou autres, ou par leur influence sur une clientèle politique. Seulement la différence avec les temps actuels, c’est qu’ils avaient moins de visibilité, ils restaient dans l’anonymat ou même soigneusement cachés, vu le monopole d’Etat sur les rares sources d’information. Il n’y avait ni télé ni radio, le téléphone n’en parlons pas. Contrairement l’époque actuelle marquée par la connectivité, les réseaux sociaux, l’Internet, le téléphone portable, la pluralité des médias.
Sinon on peut faire la même comparaison baissière avec la presse, le journaliste n’a qu’à comparer ses collègues actuels avec les Sokhna Dieng, Elisabeth Ndiaye, Malaye Diop, Iba Gueye, Malick Gueye, Diadji Touré, Oumar Seck, Lamine Touré, Khalil Touré, Ndèye Rokhaya Mbodj, Makhtar Sylla, Doudou Diene, et tant d’autres grands noms. Quel plaisir ce fut, à chaque fois, d’entendre Elisabeth prononcer « Lindor Mbaye Loum »! Pensez-vous que les « journalistes » qui étaient chez Bilal sont de la trempe de ces sommités-là ? Que cette camerawomen qui vociférait devant le maire à vraiment de la classe ?
Passons, mais dites-moi sérieusement, quel est l’héritage des grands hommes politiques que vous citez au début ? Ils nous ont légué un pays pauvre très endetté, un monde rural laissé à l’abandon, exploité, marginalisé, poussé à l’exode vers la seule vraie ville rendue hideuse, exiguë et surpeuplée par l’exode.
Abdou Diouf nous avait traité de jeunesse malsaine, nous qui étions nés du temps de Senghor (j’ai 62 ans).
Aujourd’hui tous ceux qui sont âgés entre 25 et 35 ans sont les enfants des libéraux, en effet soit ils sont nés en 2000 et après, soit ils n’avaient pas encore l’âge d’aller au CI en 2000. Donc tout ce qu’on peut reprocher à notre jeunesse actuelle, dans cette tranche essentielle pour son devenir est imputable à Wade et Macky. Ces deux nous ont fait beaucoup de mal, à notre économie, nos ressources naturelles, notre éducation, notre foncier, notre jeunesse, nos meurs, notre religion. TOUT!
La tâche sera ardue pour nos jeunes dirigeants : redresser et conscientiser les jeunes actuels, anticiper et former la jeunesse future. Ils seront un trait d’union, un tremplin, une tête de pont vers la génération du développement. Le chemin sera si long …
Toutes les personnes intelligentes, réfléchies, ayant une compétence avérée sur beaucoup de domaine ne parlent plus, ils ont même désertés l'espace public.
Par ce que tout simplement on assiste à l'apparition de certains médiocres, incultes qui occupent les médias par leurs incuries et qui étalent des bêtises.
Chaque jour a son bêtisier.
Ce pays va droit au mûre.
C'est du n'importe quoi.
On agresse la presse, on insulte une communauté, on insulte les citoyens.....
Et on laisse faire.
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Tout à fait ! C'est maintenant que cela a commencé Adama ? Quelle malhonnêté ! Depuis 1965, le Sénégal a été toujours derrière la Côte d'Ivoire. Alors que Senghor faisait de la poésie, Houpheit Boigny faisait de l'économie et construisait des Ponts et échangeurs. Même plus prêt, en 2000 après quelques années perdues suite à cette imbécillité de guerre civile causée par des hommes politiques, l'éléphant d'Afrique s'est relevé grâce à ADO le grand économiste, ancien FMI, ancien Boss de la BCEAO à...Dakar. Wade et Macky Sall faisaient de la Mal Gouvernance eux jusqu'en... 2024.
L’héritage inaccessible !
Je ne suis pas de Dakar et je ne revendique pas le statut de citadin.Mais mon constat me laisse croire que nos villes se sont délabrées à cause de l'exode rural.En effet,il y a une ruralisation de la capitale au vu de la circulation des charrettes,l'élevage domestique des bovins et caprins,faire caca ("dem ginnaw ker") dans la rue.Ces pratiques sont la manifestation d'une culture rurale qui ne doivent pas s'opérer dans un espace urbain.
Dans un autre registre,la qualité défaillante de notre école a accéléré l'inculture.Autrement dit ,il y a une victoire des masses peu éduquées sur ceux qui devraient représenter l'élite.Je précise que l'élite ne doit pas signifier les privilégiés. . ..........
..... tu as le NOBEL....
....Mais le déclin le plus alarmant - amorcé depuis la Première Alternance- est celui de notre personnel politique. Jadis, le Sénégal brillait par ses figures intellectuelles et morales : Léopold Sédar Senghor, Cheikh Anta Diop, Cheikh Hamidou Kane, Amadou Makhtar Mbow, Abdoulaye Bathily… Il semble que la production de cette race d'hommes s'est tarie.
Ces géants semblent appartenir à une époque révolue. Aujourd’hui, les Abass Fall, Barthélémy Dias, Farba Senghor, Farba Ngom, Amath Suzanne Camara, Bilal Diatta, Massata Samb ou Mamadou Niang dominent la scène.
Nul vraiment!
parallèlement mettre le nom de abass fall dans lautre groupe.
M. Ndiaye balayez devant votre porte ! Qu'est devenue la presse depuis 2000 ? Un bras armé. Nous attendons impatiemment votre article. Aussi, vous avez dû constater qu'aucun secteur n'est épargné. Le capital humain de ce pays doit être formaté parce que nous avons perdu nos repères (depuis 2000 nak). Tabakhat rek !
SONKO était le 1er à appeler à inciter à la destruction des édifices publics dont les tribunaux et autres. Don il n'a rien à dire! Le Sénégal des ratés et des petits types...nous y voilà! "Dette cachée!" Ah Ah!
Battre quelqu’un qui n’était pas candidat? Les dés étaient déjà jetés avec le protocole de Cap Manuel. Les 54% ont faim. Allez diminuer le coût de la vie avant que votre mandat ne vire au naufrage
Ne nous emmerdez pas avec votre culte de l’ANGLAIS
Ça ne veut rien dire de chercher à rabaisser le français ou d’autres langues
Trump et Netanyahu parlent bien ANGLAIS
A l'heure de l'introspection, tâchons d'élever le débat à des fins utiles. Plus une fonction est élevée plus elle exige de l’impeccabilité. Chacun d’entre nous doit s’imposer de l’auto-discipline. Si nous ne voulons pas nous délivrer du mal, la nuit éternelle sera notre lot. Puisons en nous une ardeur nouvelle. Il faut de la cohérence et de la solidarité. Sans harmonie, l’action se divise et l’homme opposé à lui-même, se combat et se dévore. Former un esprit de corps est un genre particulier. L’obéissance ne doit pas être seulement une soumission mais une adhésion. Que chacun d’entre nous surmonte les tares inhérentes à la nature humaine afin de parvenir à la responsabilité, à la solidarité et à la fraternité. C’est la Volonté éclairée inébranlable qui incline vers la Providence et le Destin. L’échec est l’autre face de la réussite et vice-versa. La discipline est la première des vertus. Que notre unité s’accomplisse sans abolir la multiplicité et la diversité. C’est dans la communion que s’accomplit le Chef D’Œuvre de Bâtir et de Créer Il faut une inflexible volonté.
les charretiers et autres compatriotes vendeurs de toutes sortes de choses seront à DK tant que l'intérieur du pays sera démuni
sans doute; ce n'est pas de gaieté de coeur que ces compatriotes évoluent entre inondations, pollutions, précarité, etc
une grande usine pourvoyeuse d'emplois au coeur du baol ou au sud ou au nord à matam et environs, ce serait un pole d'attraction pour désengorger DK. Vivement !!
c'est depuis la première alternance qu'on entend parler de fonctionnaires milliardaires et aussi d'énergumènes qui autrement n'auraient jamais eu l'audace de faire de la politique ! ce sont ces gens appelés libéraux qui devaient faire le pays qui ont joué avec le pays, avec les deniers, les lois (3è mandat, ni oui ni non) les valeurs (Wade avec wakh wakhèt, et M. Macky qui dit soo nguèn ma niaané si njèkk, ensuite je renonce à me présenter mais attention y a une crise très très grave (que j'ai moi meme inventée) pour pouvoir décaler les élections et rester encore indéfiniment, etc), les ressources, bref avec tout !
avez vous remarqué: CESE et HCCT n'existent plus et nul n'en plaint! C'est l'une des meilleures mesures prises par ce régime !
il n'est pas encore trop tard !
Jai pas lu le texte comment pouvez vous mettre la photo de lex president Leopold Sedar Senghor avec lautre photo
je suis tres decu des intellectuels actuel
Montrer a la jeunesse du senegal des references sil vous lait
Merci. Bien résumé. Nous sommes à peu près de la même génération. Et vos arguments profonds simples et presque sans fautes prouvent à quel point les choses ont chuté. Dégringolé! Aujourd'hui, même des "cadres" ont du mal à faire de telles contributions
C'est imprimé et conservé. Hélas . Merci Adama.
De Sonko, je n'en ai rien à cirer mais toi, franchement tu n'apportes aucune valeur ajoutée sur ce forum.
Le Sénégal est sur le point d'appartenir au sénégalais fini ce chichi francophone légui geum sounou bope dob sounou rew ak lignou ame nos propres ressources. vous etes un compléxé.
Pour apprécier le bonhomme, il faut avoir vécu sous son magistère ou l'avoir lu pour ce qui est de la littérature. Le problème
le théorème fondateur : masseuse wayayoye egale kinesitherapeute...../ gamine miséreuse est une guenon dont on peut défoncer le fondement pour quelques cfa...ce chien est votre lumière CHOISIE !!
assumez d'être un zoo de moutons.....
De Sonko, je n'en ai rien à cirer mais toi, franchement tu n'apportes aucune valeur ajoutée sur ce forum.
Et qui ne s'est pas enrichit illicitement avec l'argent public. Qui a fait un prêt pour construire sa villa. Qui s'est retiré élégamment. La dégringolade a commencé avec Wade. Qui a détruit ce Pays comme jamais . Ça sera difficile de s'en sortir!
c'est dommage que ces jeunes populistes n'ont jamais lu une oeuvre littéraire ou un essai politique de senghor.
Senghor était toujours bien habillé et prêt pour le travail. Mais ces populistes, hommes comme femmes, s'habillent comme s'ils allaient en boite de nuit ou assister a un quelconque mariage.
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