Le CPCP appelle à un réexamen de la taxation du mobile money
Following the announcement of new tax measures on mobile money, the Permanent Framework for Consultation of Money Transfer Providers (CPCP) is sounding the alarm. In a press release, the organization expressed its serious concerns and called on the Senegalese government to reconsider this tax, which it believes could disrupt an already fragile ecosystem.
Senegal is recognized as a model of financial inclusion in West Africa, thanks to more than ten years of sustained work that has enabled millions of citizens to access financial services. According to the CPCP, these advances are now threatened by excessive taxation that could discourage users and weaken local stakeholders. To protect the sector and ensure continuity of services, the CPCP advocates an inclusive and concerted approach, involving the State, service providers, operators, and consumer representatives.
The organization calls for the urgent opening of a framework for dialogue to define balanced and sustainable solutions that benefit all stakeholders. The objective is to avoid disastrous consequences for the digital and social economy and to preserve the national interest. The CPCP emphasizes the need for a spirit of shared responsibility, emphasizing that only consultation can allow Senegal to continue to serve as an example in terms of financial inclusion.
Commentaires (4)
Allez travailler au lieu de mobiliser des médias
Un papier nul
Le problème est que l’état pour assurer une concurrence loyale au bénéfice du public doit pousser à la sortie de ce secteur des finances du numérique FINTECH les OPÉRATEURS de TÉLÉCOMMUNICATIONS je ne veux pas les citer ils sont trois et leurs confiner dans leurs rôles originels de fournisseurs d’accès POINT FINALE, pour qu’ils assurent environnement saint de concurrence où tout le monde sera à équidistance avec les mêmes avantages avec la bonne gestion du réseau et sa NEUTRALITÉ NUMÉRIQUE entre les autres acteurs du secteur. On ne peut pas être à la fois acteurs comme concurrent, propriétaires des infrastructures et fournisseurs de services de ses concurrents dont le traitement de leurs données et la fluidité et disponibilité de leurs activités dependent de vous
décidemnt, comment peut-on faire autant de transaction pendant autant d'année dans le noir totale.
au contraire l'état à pris trop de temps pour le faire et l'appliquer
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