Pétrole et gaz : Le Sénégal trace sa montée en puissance sans précipitation
Without fanfare or euphoria, Senegal is gradually making its mark on the West African energy landscape. The figures are now tangible. Nearly three million barrels of oil exported each month, with annual production expected to reach more than 30 million barrels by 2025. A controlled pace, far from the initial hype, but steady enough to mark a turning point.
Further offshore, the GTA project, conducted with Mauritania, is beginning to produce its first results. This cross-border partnership around liquefied natural gas offers Senegal a dual opportunity: to strengthen its technical credibility and accelerate its positioning as a strategic supplier for a West Africa still under energy pressure. LNG is not only a resource, but a geoeconomic projection tool.
This energy shift, however, is not happening by improvisation. Senegal's strategy, still cautious, avoids the pitfalls of dependence on extractive revenues while integrating the imperatives of sovereignty, security of supply, and local value creation. This is a difficult balance in a global economy where hydrocarbons remain both essential and suspect.
It remains to be seen whether this controlled ramp-up will be accompanied by rigorous governance mechanisms. Because production is not enough. It will be necessary to manage with transparency, redistribute equitably, and invest with vision. Oil and gas are not ends in themselves, but levers. Senegal seems to have understood this. It is up to it to transform this promise into sustainable transformation.
Commentaires (21)
*Seulement quatre pays ont plus ou moins atteint la barre du million de barils de pétrole produit quotidiennement: Nigeria, Libye, Angola et Algérie. Ces quatre producteurs majeurs du continent ont une production cumulée de 4,55 mb/j, soit 71,10% de la production totale du continent africain.
* 12 fois moins que le Nigeria, l'Algérie, l'Angola ...
Macky Sall a tout fait pour ce pays, tout ce que devez faire, c'est de continuer ses œuvres et vous taire surtout.
Déjà dans les années 60, un gisement de pétrole lourd avait été découvert en Casamance, mais il n’avait jamais été exploité.
Connaissant le potentiel du bassin sédimentaire sénégalo-mauritanien dans le golfe de Guinée, il a relancé les explorations, attiré les investissements étrangers et permis la découverte de gisements majeurs qui alimentent aujourd’hui la croissance du pays.
Des faits que ses détracteurs, comme Ousmane Sonko, évitent de mentionner.
Déjà dans les années 60, un gisement de pétrole lourd avait été découvert en Casamance, mais il n’avait jamais été exploité.
Connaissant le potentiel du bassin sédimentaire sénégalo-mauritanien dans le golfe de Guinée, il a relancé les explorations, attiré les investissements étrangers et permis la découverte de gisements majeurs qui alimentent aujourd’hui la croissance du pays.
Des faits que ses détracteurs, comme Ousmane Sonko, évitent de mentionner
Participer à la Discussion
Règles de la communauté :
💡 Astuce : Utilisez des emojis depuis votre téléphone ou le module emoji ci-dessous. Cliquez sur GIF pour ajouter un GIF animé. Collez un lien X/Twitter ou TikTok pour l'afficher automatiquement.