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Situation in Senegal: the invitation of the Governor of the BCEAO to the IMF

Auteur: youssouf Sane

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Situation du sénégal : l’invite du Gouverneur de la Bceao au Fmi

The Governor of the Central Bank of West African States (BCEAO) discussed Senegal's situation this Wednesday, which is facing unprecedented levels of debt, in connection with the "misreporting" affair. On the sidelines of the Monetary Policy Committee meeting, Jean Claude Kassi Brou initially welcomed the transparency approach adopted by the current regime.

"The Senegalese authorities have been transparent, and this allows us to have the information as it exists. And once this is finalized, we have a better understanding of the debt situation," the central bank authority said. Now, he said, it will be up to the Senegalese authorities to see what needs to be done.

"I believe that's what the authorities are doing. That is, taking measures to prevent us from falling back into a situation like that. It's important. I believe that a number of measures are being taken, so we must encourage the authorities to continue in this direction," he said.

And within the framework of the discussions between Senegal and the IMF, the measures already taken or to be taken, according to the Governor of the BCEAO, allow for progress in the negotiations between the IMF and Senegal. This, in order to be able to reconnect through a new program.

Jean-Claude Kassi Brou sent a message to the IMF on this subject: "So for us, at the Central Bank, it is to invite, to encourage the IMF to ensure that we can finalize these negotiations quickly so that Senegal can return to the program as desired by the authorities."

In his opinion, this will help support the country in its reform program, supporting the vision expressed by the country to catalyze growth and development. Moreover, the governor of the BCEAO points out that Senegal is already mobilizing a lot of resources on the regional financial market.

"The macroeconomic situation is favorable, banking liquidity is adequate and this is what allows different countries, including Senegal, to mobilize resources to finance their operations and that is extremely important," he said.

Auteur: youssouf Sane
Publié le: Mercredi 17 Septembre 2025

Commentaires (6)

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    il y a 20 heures

    "[...] Et dans le cadre des discussions entre le Sénégal et le FMI, les mesures déjà prises ou qui seront prises, permettent, selon le Gouverneur de la BCEAO, d’avancer dans les négociations entre le FMI et le Sénégal. Ce, pour pouvoir renouer à travers un nouveau programme]. Monsieur le gouverneur Kassi Brou, nos nouveaux dirigeants nous avaient promis de se départir du FMI. Donc, ils ne veulent pas d'un nouveau programme du FMI. Ils se passeront du FMI, comme promis.

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    a hé il y a 20 heures

    Ne vous en faites pas, on se débarrassera du FMI comme du CFA, mais à votre grand dame, pas à l'aveuglette, mais avec un agenda efficace et responsable. Promis.

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    Ndandane. il y a 18 heures

    Ce Monsieur, le FMI et les prédateurs de l ancien régime sont tous responsables de la situation catastrophique de l économie Senegalaise à l heure actuelle.
    Ils ont préféré regarder ailleurs pendant les singes détruisaient tout sur leur chemin dans la mesure où les ressources du pays étaient entre les mains des puissances étrangères impérialistes.
    La complicité entre ces 2 institutions et les voleurs criminels des regimes passés est la formule utilisée dans les pays moins avancés pour asseoir leur domination et exploitation.
    Ce mec de la bceao est un commis de l impérialisme qui gére une monnaie satellite.

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    Tall il y a 14 heures

    Toutes ces tergiversations du FMI ne sont en réalité que des manœuvres de la France qui est influente dans cet organisme. C’est peine perdue . Si la France pense pouvoir par ce genre de manœuvres maintenir le Sénégal sous son joug et son giron , elle se trompe lourdement . Ensuite ce que les autorités sénégalaises ont fait pour assainir les finances publiques est un exemple très rare en Afrique mais extrêmement dangereux pour la France dans les sens d’une indépendance et d’une souveraineté affirmée des pays africains , toutes choses que les occidentaux feront tout pour éviter . Ils veulent continuer à nous mettre sous leur influence pour mieux contrôler nos économies et nos ressources . Ca aussi c’est peine perdue . L’occident ferait mieux de s’adapter très vite à la nouvelle évolution du monde au lieu de chercher à maintenir sa domination. Cela n’est plus possible. Si l’occident ne participe pas à l’émancipation des pays africains il y perdra définitivement et son influence et ses intérêts économiques et financières . Le monde bascule et ce mouvement est irréversible. Parlant de la France je voudrais dire à ces autorités politiques et ses hommes d’affaire , qu’elles doivent mettre derrière elles les méthodes jusque là employée en Afrique pour la contrôler . Si elles continuent dans cette lancée elles perdront tout . Le monde bascule et la jeunesse africaine dans toute l’Afrique n’acceptera plus la perpétuation de l’ancien modèle neocolonial. Si la France principalement veut continuer à être partenaire honnête pour les africains il faut qu’elle se départisse de son inculture incroyable sur l’évolution des mentalités en Afrique . Il faut qu’elle participe sincèrement à un partenariat plus équitable plus honnête plus équitable et qu’elle cesse de regarder les africains comme avant , avec arrogance , paternalisme et condescendance. Ca les africains n’en veulent plus. Si la France n’arrête pas d’être cupide et vorace en Afrique elle y perdra et ses intérêts économiques et son influence politique. Le FMI doit être plus courageux et arrêter ses tergiversations et manœuvres et jouer un jeu plus honnête et moins insidieux. Maintenant rien ne peut être caché , personne n’est dupe et surtout tout sera au grand jour dénoncé avec fracas . Ce sera comme ça sinon les africains iront voir ailleurs.

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    Deug il y a 13 heures

    après le Sénégal, à qui le tour de découvrir sa dette cachée Abidjan preparez vous après le départ de Ouattara,les découvertes seront inquietantes

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    Io il y a 12 heures

    ..."À présent, dit-il, il s’agira pour les autorités sénégalaises, de voir ce qu’il y a à faire.

    «Je crois que c’est ce que les autorités sont en train de faire. C’est-à-dire prendre les mesures pour éviter qu’on retombe un peu dans une situation comme ça. C’est important. Je crois qu’il y a un certain nombre de mesures qui sont prises, donc il faut encourager les autorités à poursuivre dans ce sens», indique-t-il."... voir ce qu'il y a à faire, situation comme ça, poursuivre dans ce sens.. quel discours ! Tout reste flou

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    DSK ami du Sahel il y a 11 heures

    Prumitifs sont de grands enfants, ces chiens sont là depuis 2 ans, il y a pétrole et gaz...no baisses carburant ou senelec.....Mais bambouli ya kontent...comme quand leur gourou traitait de guenon une gamine

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