Sortie de Sonko sur la restructuration de la dette : Ce qu’en dit Julie Kozack, Directrice de la communication du Fmi
Last Saturday, during his rally, Ousmane Sonko revealed a portion of their discussions with the International Monetary Fund (IMF). Addressing his supporters, he informed them that a debt restructuring was being proposed. This option is strongly opposed to him, as he believes the country would be considered bankrupt and deprived of access to international financial markets. This Friday, Julie Kozack, the IMF's Director of Communications, held a press conference to address the issue.
“During the recent visit, which concluded a few days ago, the IMF teams and the authorities discussed the significant vulnerabilities related to Senegal’s debt. They also examined options for addressing the challenges posed by this debt. This is precisely, in a sense, the role of the IMF: to provide expert analysis and strategic advice to the authorities. That being said, it goes without saying that the choice and modalities of debt management, as well as the decision to undertake or not a restructuring, fall within the sovereignty of the Senegalese authorities,” she clarified.
Although their discussions with the country's authorities dragged on, Julie Kozack maintains they were very productive. "They allowed us to establish a solid foundation for the next steps," she says. What the IMF wants to do, explains its Director of Communications, is to assess the debt dynamics, evaluate the viability of the authorities' financing strategy, and the measures they can take "to restore their credibility and reduce debt-related vulnerabilities."
Among the measures the IMF is suggesting to the World Bank, some, explains Ms. Kozack, involve centralizing debt management operations, improving transparency, and strengthening overall budgetary controls. She reveals that the IMF and the World Bank are also working together to finalize an updated debt sustainability analysis that would reflect, among other things, developments in the current situation and new directions in debt management.
Commentaires (17)
Le Sénégal est tombé bien bas! On nous respectait pour notre mesure et notre intelligence. Aujourd'hui une frange importante de notre jeunesse passe son temps sur les réseaux sociaux à insulter et à menacer. C'est souvent la moins instruite et la moins la qualifiée.
Qu'Allah sauve notre pays.
Tant que la dette est remboursable et permet de réaliser des gros investissements qui coûteraient plus moins que s'il faudrait attendre des années plus tard pour les lancer comme le TER, le BRT, les hôpitaux et universités, etc. je ne vois pas où se trouve le problème.
Le taux d'endettement est un faux débat pour un pays émergent et qui dispose de réserves naturelles en début d’exploitation comme le pétrole et le gaz.
En 2024, le taux d'endettement des États-Unis par rapport à leur Produit Intérieur Brut (PIB) a atteint environ 123 % à 124 %. Pourquoi alors nous interdire de nous endetter, nous priver de ces leviers de développement, sachant que les bailleurs ne prêtent pas sans connaître la situation actuelle et les perspectives positives du débiteur.
En tout cas, s'il y a linge salle, je pense qu’elle doit se laver en famille et ne pas l’exposer au grand bonheur des futurs créanciers qui se feront le malin plaisir d’augmenter leur prime de risque.
Oubien???🤭🤭🤭
Mais toi tu vis pas au Sénégal où quoi??
Participer à la Discussion
Règles de la communauté :
💡 Astuce : Utilisez des emojis depuis votre téléphone ou le module emoji ci-dessous. Cliquez sur GIF pour ajouter un GIF animé. Collez un lien X/Twitter ou TikTok pour l'afficher automatiquement.