Public and private educational establishments: ANAQ-Sup warn...

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Public and private educational establishments: ANAQ-Sup warns against unrecognized diplomas

Auteur: Cheikh CAMARA et Abdoulaye SEYE (Correspondants à Thiès)

il y a 3 mois 7695 Lectures 3 Commentaires | Français

Etablissements d'enseignement publics et privés : L’ANAQ-Sup met en garde contre les diplômes non reconnus

In the Thiès region, only three of the four public higher education establishments and nine of the 32 private establishments listed have obtained accreditation from the National Authority for Quality Assurance in Higher Education, Research and Innovation (ANAQ-Sup), which warns against the risks of unrecognized diplomas.

These revelations were made during a meeting of the Regional Development Committee (CRD) for the popularization of the national policy of quality assurance of higher education, research and innovation with the actors of the national education ecosystem of Thiès.

The Executive Secretary of ANAQ-Sup, Prof. Massamba Diouf, recalled that 30 programs from the three authorized public institutions have been accredited, while nine authorized private institutions have around fifteen accredited programs.

He warned of the risks associated with unrecognized diplomas, which can hinder student mobility, limit their access to national competitions and prevent their recruitment into the civil service.

Professor Diouf emphasized that the current context is marked by the knowledge economy and the massification of enrollment, leading to an increase in the number of private higher education institutions. He emphasized that the role of ANAQ-Sup is to support institutions by providing them with the information necessary to improve their quality level, while ensuring their evaluation.

A process which, he says, leads to a report intended for institutions, the supervisory authority and the community.

Auteur: Cheikh CAMARA et Abdoulaye SEYE (Correspondants à Thiès)
Publié le: Jeudi 28 Août 2025

Commentaires (3)

SORONTOME il y a 3 mois

L'Etat détenant la puissance publique doit fermer les établissements non agréés ainsi que les formations non accréditées pour protéger les étudiants et leurs parents. Mais s'il faut faire le constat non suivi de de fait c'est faire croire que l'Etat ne peut rien contre l'illégalité. Aussi simple que ça.
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mass il y a 3 mois

ce pays va vraiment très mal où tout est faux.mais comment un gouvernement responsable peut fermer les yeux sur des questions qui engagent l'avenir de ce pays.
Répondre à mass
Assane il y a 3 mois

L'Etat a mis en place un site web : anaqsup.sn. Donc l'Etat est transparent. C'est aux étudiants d'aller dans ce site et de vérifier si le diplôme est habilité ou accrédité avant de s'y engager. Les étudiants aussi sont parfois responsables d'une part. Sinon dans le site de l'anaqsup, tout y est, même les rapports d'accréditation ou de non accréditation. Seulement l'État peut continuer à redoubler de vigilance.
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