Fonctionnement des CRFPE : La grogne du Collectif des formateurs du moyen secondaire du Sénégal ( COFOMSS)
For several years now, the Collective of Secondary School Teacher Trainers in Senegal (COFOMSS) has been fighting to improve their working conditions. Open letters to the authorities, declarations, requests for meetings with the supervisory body, meetings with unions—nothing has been left to chance in their efforts to restore dignity to teacher trainers. But so far, the trainers have seen no significant progress.
So, on Wednesday, they decided to hold a press conference at the headquarters of the Autonomous Union of Secondary School Teachers of Senegal (SAEMS). They are demanding, firstly, the granting of a job and supervision allowance; secondly, the immediate payment of the distance learning supervision allowance; and finally, the presence of their representative on the trainer selection committee and the inclusion of PEAM (Professional Development and Support for Teachers) in the trainer recruitment process.
As a reminder, the trainers' mandate includes continuing education for teachers, initial training for student teachers, and diploma-granting training for primary and secondary school teachers.

Commentaires (6)
Tu veux trouver une femme pour une nuit? Viens sur - Hot21.fun
Pour un enseignement de qualité, le gouvernement doit prendre toutes les dispositions pour permettre aux formateurs de faire leur travail de formation continuée convenablement
Le problème du système éducatif sénégalais est profond. Il faut assainir d'abord le ministère de l'éducation national par un audit diagnostic pour booster le système. Le système est géré par des enseignants de l'élémentaire. La plupart des IA, des IEF, des directeurs de CRFPE sont des inspecteurs de l'élémentaire. Les directions, divisions et bureaux sont aussi contrôlés par les gens de l'élémentaire (IEE ou même instituteurs).
Le gouvernement doit prendre en compte dans sa politique éducative, la préoccupation des formateurs du moyen secondaire dans les CRFPE
La classe est trop exigeante. Les dispositions que l'enseignants doit avoir pour faire face à ces exigences sont énormes. La Fastef qui assure la formation initiale ne peut pas tout donner (Les formateurs y sont eux -mêmes très surchargés et le temps de la formation est court); par conséquent, les élèves professeurs sortent avec, encore , beaucoup de lacunes. C'est donc la formation continue qui devrait prendre le relai pour combler petit à petit ces lacunes. Or, puisque c'est en classe que ces lacunes se manifestent (allez demander aux élèves...), c'est donc en classe que les formateurs de la formation continue devraient trouver les enseignants pour des séances d'observation suivies de feed-back. Cela implique que les formateurs disposent de moyens de transport, des indemnités (c'est plus difficile que la classe). Ce que les formateurs demandent, c'est vraiment le minimum. iLes autorités doivent redynamiser la formation continue des enseignants.
Que ça soit le Paquet _Programme d'amélioration de la qualité, de l'équité et de la transparence_> tant que les acteurs concernés par la mise en œuvre ne sont pas valorisés, en l'occurrence les formateurs du moyen-secondaire. La moindre des choses c'est de reconnaître leur existence et de leur donner les émoluments liés à leur fonction. Ci-après, la vision du Ministre de l'Éducation nationale
2018-2030. Sénégal"
Ou la Nithé _Nouvelle Initiative pour la Transformation humaniste de l'Éducation_ ,
ces concepts resteront des <
"Faire évoluer notre système éducatif vers une société éducative inclusive et efficiente pour enfin former à l’horizon 2035, un citoyen bien adossé à son socle endogène de valeurs africaines et spirituelles"
C'est une belle vision, mais il faut en garantir la réalisation à travers des comportements adéquats.
Participer à la Discussion