« Nous n’allons pas reculer d’un iota » (étudiant)
At UCAD, the announcement by the supervising minister, Professor Daouda Ngom, regarding the start of scholarship payments has reignited tensions. "We want to clarify that these payments concern the 2025-2026 academic year. However, we are demanding payment of the back payments for the 2024-2025 academic year…," replies Pierre Babacar Thiaw, president of the FST's Social Commission and member of the student associations' collective.
As reported by L'Observateur, the student accuses the ministry of sowing confusion, denouncing an "attempt to manipulate public opinion." He reiterates that "scholarships are not a luxury, but a vital right for thousands of students."
Despite the authorization given to the Rector of UCAD to call upon law enforcement, the group remains steadfast. Faced with the Academic Council's decision, they warn: "We will stand firm" and "we will not back down an inch."
Commentaires (14)
Faye bourse par force wala gatsa gatsa rek
il faut supprimer cette bouse l’état n'a pas les moyens d’entretenir ces nullards
La bourse au plus méritant.
Les fds les attendent
ne soyez pas presser les véridiques DIEU est patient et juste tout arrive a l'heure.
toute personne ou organisme qui a fermé les yeux sur les mensonges de sonko jusqu'a le mettre au pouvoir aura son tour chez le coiffeur bilaye vous allez le payer cher avec ce mec.
Naniouléne faye dé... ils ont de l'argent que le pm dépense en jet privé pour se promener!!!
Le conseil d’administration a, en réalité, sacrifié l’ancien recteur de l’UCAD. On peut dès lors se demander pourquoi les recteurs des universités du Sénégal, en particulier celui de Dakar, ne prennent jamais pleinement leurs responsabilités. Les textes auxquels ils se réfèrent constamment peuvent parfois être dépassés par les réalités du terrain. Il ne s’agit pas de les remettre en cause ni de les violer, mais chercher à les appliquer à la lettre pour servir des intérêts crypto-personnels, au détriment de l’intérêt général, est inacceptable.
Les recteurs ne sont pas nommés pour plaire à leurs pairs, mais pour servir l’intérêt de la nation tout entière. Le problème des étudiants n’est pas, en premier lieu, un problème de bourses, mais un problème de système. L’enseignement supérieur est très mal organisé, et les ministres qui se succèdent semblent accorder plus de considération à leurs pairs qu’au Président de la République.
À mon sens, il faudrait soit privatiser les universités, soit revoir en profondeur leur régime d’autonomie. Un master qui dure trois ans et demi n’existe nulle part ailleurs dans le monde. Cher étudiants vous vous tromperez de cicle.
t es un esprit obtus! certainement un pastefien avec votre rhétorique à la con genre "systeme"
Double négation bi tamit
Il faut arrêter ce gaspillage. Plus de bourse. Problème réglé
L'état doit rester ferme. On ne paye les bourses que quand c'est dû et pour des étudiants
Tant qu'on ne réforme pas le système d'attribution des bourses , on ne réglera pas le problème. Une bourse pour tous les étudiants c'est intenable en 2025 .
Le pm doit faire une conférence de presse pour dire qu’il n’y avait de dette cachée. Ceci fait, on verra des améliorations économiques et les capacités financières plus robustes . A défaut la souffrance va perdurer.
Il doit y avoir un peu de manipulations politiques derrière ces manifestations d'étudiants. Après la date cachée, la manipulation cachée des étudiants.
L'ancien Président Wade avait décidé, lui pourtant un économiste, d'octroyer la bourse à...tous les étudiants du Sénégal, oubliant que les effectifs vont croître chaque année. Même dans les Pays dits communistes Chine, Russie, une telle situation est inexistante. Ici, même les étudiants fils de riches milliardaires sont boursiers. Comment un Pays pauvre du Tiers Monde peut soutenir une telle charge financière. Surtout aujourd'hui en pleine crise économique et financière, avec un FMI qui n'est pas Caritas.
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