Après sa visite à Rebeuss : Papa Djibril Fall dénonce la "séquestration" de Badara Gadiaga et d'Abdou Nguer
Papa Djibril Fall, MP and leader of the Les Serviteurs movement, visited his "brother" Badara Gadiaga at Rebeuss prison. This visit, which took place in a tense political context, was an opportunity for the parliamentarian to meet other prisoners whom he describes as "political."
On this occasion, Papa Djibril Fall spoke with several detainees about their conditions of detention, he said. According to him, they are going through this ordeal "with great dignity and honor."
The MP wanted to reaffirm his unwavering support and his determination to continue what he presents as "a fight for freedoms and the rule of law."
Serious accusations against the power in place
In a particularly virulent statement, Papa Djibril Fall pointed to the regime he calls "Sonko-Diomaye".
According to him, the cases of Badara Gadiaga and Abdou Nguer perfectly illustrate "the clear desire of Ousmane Sonko and his clan to stifle all discordant voices daring to expose their notorious incompetence."
The Servants' MP accuses the government of being unable to provide solutions to the "countless challenges and difficulties of the Senegalese people," suggesting that the imprisonment of these figures is aimed at silencing the opposition.
A call for popular mobilization
Papa Djibril Fall has also made himself the spokesperson for what he presents as a popular demand. He states that "the Senegalese, who love peace and justice, once again demand the unconditional release of all political hostages."
Commentaires (13)
1. Un soutien aveugle à des figures controversées
Papa Djibril Fall se rend à Rebeuss pour soutenir Badara Gadiaga et Abdou Nguer, qu’il qualifie de "détenus politiques". Pourtant, ces individus sont connus pour leurs propos violents, insultants et parfois mensongers. En les défendant sans jamais citer leurs paroles exactes, il se protège juridiquement tout en leur offrant une caution morale. C’est une hypocrisie manifeste.
2. Une posture de martyr du droit
Il prétend mener un "combat pour les libertés et l’État de droit", alors qu’il soutient des personnes incarcérées pour des faits graves. Il détourne le débat en parlant de "séquestration", un terme juridiquement inexact et émotionnellement chargé, pour manipuler l’opinion.
3. Une attaque gratuite contre le régime Sonko-Diomaye
Il accuse le pouvoir en place d’étouffer les voix discordantes" sans apporter de preuves solides. Ce type de déclaration, virulente et creuse, relève plus de la stratégie politicienne que d’une analyse sérieuse. Il tente de faire passer des délinquants pour des héros de la démocratie.
4. Une démagogie populiste
En affirmant que "les Sénégalais exigent la libération sans condition de tous les otages politiques", il parle au nom du peuple sans mandat ni sondage. C’est une technique classique de démagogue : s’ériger en porte-parole d’un peuple fictif pour justifier ses propres intérêts.
5. Un silence complice sur les dérives de ses alliés
Papa Djibril Fall ne condamne jamais les propos haineux ou les actes répréhensibles de ceux qu’il soutient. Ce silence est révélateur : il préfère préserver ses alliances plutôt que défendre des principes. Il se montre ainsi plus loyal envers des individus qu’envers la vérité.
Conclusion : Un Tartuffe politique
Papa Djibril Fall incarne une figure de duplicité :
• Il parle de justice mais soutient l’injustice.
• Il se dit courageux mais évite les vérités qui dérangent.
• Il prétend défendre le peuple mais ne sert que ses calculs politiques.
Ce comportement mérite d’être dénoncé, non pas par haine, mais par exigence de cohérence et de responsabilité dans le débat public.
Thiey Pap djezzner!
J'espere que Gadiaga revise bien pour la session d'octobre du Bfem. L' autre mome est sans cerveau
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