Guy Marius «Le Sénégal, sous les patriotes, ne doit pas être une poubelle pour dictateur…»
The very brief visit to Senegal by the deposed President of Guinea-Bissau, Umaro Sissoco Embalo, continues to be a topic of discussion. Despite his departure for Brazzaville, the issue is still being raised in Senegal.
"Senegal under the patriots must not be a garbage dump or a hiding place for a dictator, for an autocrat or for a president who does not respect his people, who tramples on the constitution of his country," said Guy Marius Sagna.
He believes that if all countries do the same, West Africa will change for the better for its people. "ECOWAS and the State of Senegal must protect the rights of other candidates in the Guinea-Bissau elections," he says.
Commentaires (19)
les tribalistes du senegal ne sont pas contents parceque leur mentor tribaliste emballo est force de quitter notre pays , emballo est un despote , un tricheur , heureusement qu il a quitte notre pays , le senegal ne saurait acceuillir un putchiste .. vive sonko nen deplaise aux tribalistes haineux ..
Il doit être arrêté
Il travaille depuis longtemps à déstabiliser la Guinée et le Sénégal en complicité avec le client.
Il doit quitter le payer et s’installer à Abu Dabi
Vous voulez en faire une récupération politique. En parlant de dictature, le régime Pasteef fait partie des régimes dictatoriaux. Qu'est ce que Badara Gadiaga fait en prison ?
Guy Maruis Sagna est devenu indigne et profite des situations pour faire des sorties sans réfléchir. Quel con
Le siège du parti historique, le PAIGC, et celui du PRS, parti du candidat Fernando Dias, ont été visés. Les cadres du parti dénoncent le saccage des lieux et une tentative d’y introduire des armes pour fomenter de fausses accusations par la suite. Des militaires stationnent aux abords du siège du PAIGC.
Des militaires sont postés autour du siège du PAIGC. Quelques heures plus tôt, dans la matinée, ce sont des hommes lourdement armés qui ont fait irruption dans les locaux. Ils ont chassé le personnel et saccagé les lieux, selon un responsable du parti. Notons que le siège du PAIGC se trouve juste à côté du palais présidentiel où les militaires actuellement au pouvoir se sont installés.
Le porte-parole du PAIGC, Muniro Conté, affirme que les cadres du parti sont « sous pression ». Il dénonce un plan visant à introduire, dans leurs locaux, du matériel militaire afin de fabriquer de fausses preuves.
Un peu plus loin au nord de la ville, dans le quartier de Hafia, c’est le siège du PRS – le parti de l’opposant Fernando Dias - qui a été attaqué par des hommes armés. La Ligue des droits de l’homme le confirme, précisant que des gaz lacrymogènes ont été lancés. Tous ceux qui étaient dans le bâtiment ainsi que les passants ont pris la fuite.
Un troisième site a été visé. Il s’agit du siège de campagne de Fernando Dias, le candidat qui était soutenu par le PAIGC et qui revendique la victoire contre Embaló. L’opposant se cache toujours dans un lieu tenu secret, alors que son allié, l’ancien Premier ministre, Domingos Simões Pereira, est lui toujours détenu dans les locaux du ministère de l’Intérieur.
Le président de la Ligue des droits de l’homme, Bubacar Turé, rapporte par ailleurs qu’une dizaine de jeunes ayant tenté de manifester dans la capitale ont été arrêtés sans ménagement. On ne sait pas pour l’instant où ils ont été emmenés.
Entre-temps, la mission de la Cédéao qui devait arriver, ce samedi, à Bissau, a repoussé sa venue à lundi. Maître Saïd Larifou, avocat de Domingos Simões Pereira, appelle la Cédéao a obtenir sa libération.
"Nous estimons que la responsabilité de la communauté internationale et de la Cédéao est grande. En tout cas, cette organisation doit assumer pleinement ses responsabilités et exiger la libération de monsieur Domingos Simões Pereira et de Monsieur Octave Lopez sans condition. Nous avons du mal à comprendre ce deux poids, deux mesures. Le président sortant, qui a manigancé ce faux coup d'État électoral, a été exfiltré, a bénéficié des égards de l'attention de tous et les autres, notamment celui qui a remporté cette élection vit en cavale et ses soutiens sont poursuivis, arrêtés pour des motifs complètement bidons. La communauté internationale et la Cédéao a une chance extraordinaire de rétablir sa crédibilité. Nous estimons qu'il s'agit d'une agression extrêmement grave qui justifie l'intervention de la communauté internationale."
Est-ce que Ibrahim Traoré, Tiani et Assimi sont venus se cacher au Sénégal ???
Va boire de l'eau mec.T'es en plein délire???
Tant pis pour les tribalistes qui voulaient accueillir cette poubelle .Ce ne sera pas sous Les Patriotes.
Merci Monsieur Guy Marius Sagna d'avoir rappelé la cohérence Panafricaniste...
L'opposition et l'hostilité systématiques même contre le bon sens et les intérêts de son pays deviennent maladives.
Allez le rejoindrer au Congo si vous l'aimez tant.
On n'en a rien branler de ce clown ,ce pote des tricheurs et des comploteurs.Sa khatch !!
L'état français après avoir forcé une langue minoritair à devenir une langue majoritaire dans leurs pays.
Ce sont principalement les rois de France, notamment François Ier par l'ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539 Par la suite, d'autres monarques et régimes politiques ont consolidé cette primauté du français sur les langues régionales en France, ( La langue française était parlé par moins de 10 pour 100 en 1789).
Après leurs pays ils continuent la même politique avec leurs politiques de la francophonie dans leurs anciennes colonies pour franciser ou créoliser ses pays.
Elle ne doit plus être une langue officielle en Afrique avec le portugais plutôt des langues optionnelles comme les autres langues étrangères en LV2
L'unique langue européenne obligatoire en Afrique après nos langues doit être l'anglais parce que c'est devenu une langue universelle.
En Asie en règle générale quelque soit l'ancien pays colonisateur la langue officielle c'est la langue ou l'une des langues du pays s'il y'en a plusieurs ils choisissent la plus parlée comme langue officielle et les restes comme langues nationales.
Après l'anglais comme deuxième langue officielle ou première langue étrangère.
Après 3ème langue à choisir entre les 3 options
1- Ou soit une autre langue nationale du pays
2- Ou soit une autre langue de l'Asie ( une autre langue de leur continent)
3- Ou soit une autre langue non Asiatique (généralement européenne)
Mais en Afrique la langue officielle c'est toujours la langue de l'ancien pays colonisateur même si c'est une langue pourri comme le français ou le portugais.
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