INTERDICTION DU "NIAKHTOU NATIONAL" AU TERRAIN SACRÉ-CŒUR : Bougane Guèye crache sur la rupture tant chantée par le régime
The leader of Geum Sa Bopp/Jambars is furious. Following the ban on the "Niakhtou national" by the Prefect of Dakar, Bougane Guèye wrote a statement expressing his anger. "The Prefect of Dakar is demanding that the 'Niakhtou national' be relocated because the other event has to go via the VDN (Voie de Dégagement Nord). That's what they call a break. Shame on you!" Mr. Bougane fumed.
As a reminder, the Prefect of Dakar, Cherif Mouhamadou Blondin Ndiaye, rejected the declaration of assembly filed by the "Niakhtou National" collective. This political event was scheduled for Saturday, November 8, from 5 p.m. to 9 p.m., on the grounds of Sacré-Cœur 3, opposite the VDN.
The prefect mentioned risks of public disorder and major traffic disruptions in this strategic area.
Commentaires (30)
Jamais la gestion de ce pays n a été aussi médiocre. D ailleurs comment dans un pays ou les gens souffrent de pauvreté, on voit le 1er ministre se permettre un show pour d avantages de promesses de mensonges que ses urinaires de suiveurs vont savourer comme ils restent les pires bêtes que ce pays a eu.
Ce meeting terre a terre ne changera rien et il faut laisser ces gougnafiers dans leur monde.
C'est un droit fondamental garanti par la Constitution sénégalaise
Tous les leaders de l'opposition doivent répondre présent au rendez-vous vous du Samedi 8 Novembre 2025
Je ne sais pas si le préfet a lu le conte de HAMPATHE BA : LE PRETEXTE ...
Tous les Blondin ne ressemblent pas !
C'est un droit fondamental garanti par la Constitution sénégalaise
Tous les leaders de l'opposition doivent répondre présent au rendez-vous vous du Samedi 8 Novembre 2025
Ce monsieur n’a pas d’initiative, * Tibb Tank Rekk**
Cette décision avait suivi la révélation d’une dette cachée de près 7 milliards de dollars, imputée par les nouvelles autorités, au pouvoir depuis avril 2024, au régime précédent de Macky Sall (2012-2024). Eventée d’abord par le premier ministre, Ousmane Sonko, puis confirmée, en octobre 2024, par l’Inspection générale des finances, l’affaire a pris de l’ampleur quand la Cour des comptes a estimé, en février, que les chiffres de la comptabilité publique étaient faux.
Le déficit budgétaire avait été largement sous-évalué. Fin 2023, il avait été chiffré à 4,9 % du produit intérieur brut (PIB) par l’ancien gouvernement. D’après le calcul de la Cour des comptes, il s’agissait pourtant de 12,3 % du PIB – le déficit s’est aggravé à 14 % du PIB en 2024. Depuis la mise au jour de ces « déclarations erronées », selon la terminologie du FMI, la dette du Sénégal ne cesse d’être réévaluée à la hausse : de 99,65 % fin 2023, elle est désormais estimée à 132 %,
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