La leçon du Pr. Ibrahima Thioub à la classe politique : « L'ouragan souffle à la porte de notre case » face au péril malien
The former rector of Cheikh Anta Diop University (UCAD), Professor Ibrahima Thioub, has launched a vibrant and severe appeal to the West African political class, with Senegal at the forefront, to cease internal disputes and focus on the urgency of the situation in Mali.
Professor Thioub warns of the existential danger posed by the advance of the jihadist group JNIM (Group for the Support of Islam and Muslims) and cautions against political blindness.
Professor Thioub uses a historical analogy to denounce current political disputes, whether it be the debates of "Mega, Niakhtou or Téra politics": "If the lessons of the past serve any purpose, we should remember that at the time when Waalo was falling in 1854 before the colonial troops, the elites of Kajoor and Bawol continued to squabble over who would be Farba this or Farba that."
He warns that if JNIM seizes power, these debates will become irrelevant. The collapse of Sundiata's Mali would bring down with it the Senegambia of Njaajaan Njaay and Alburi Njaay.
The academic emphasizes the gravity of the situation in Mali, stating that "the hurricane is blowing at our doorstep." He warns that JNIM is "on the verge of cutting Bamako off from the world."
For Professor Thioub, the question is no longer about choosing allies, but about acting in the face of the emergency: "When Birama's house is burning down, he has no other alternative than to accept the offer of help from his neighbors, even if they had fallen out in a past life."
He believes that if Macron's France does not intervene as in the past, the AES (Alliance of Sahel States) does not have the solution either.
The regional institution, ECOWAS, must act quickly, "forgetting without resentment the conduct of the colonels now trapped in their own snare."
Professor Thioub warns against the mistake of considering the Malian problem solely from a territorial or military perspective: "The biggest mistake would be to approach the problem with Westphalian, or perhaps worse, post-Berlin Congress, eyes."
According to him, the goal is not to save Mali, but rather to address the "collective destiny of an entire region." The solution must be broad, mobilizing resources beyond the military high command, because the issue "is not exclusively military."
He concluded with a historical warning: "If we waste time on our traditional squabbles, we will pay a higher price than Samba Lawbe in Tivaouane in 1886 and Alburi Njaay in Dosso in 1901!"
Commentaires (16)
il est vrai que si le JNIM prend le mali c'est a dire le sud et le FLAau nord comme cela pourrait se passer le se,negal et la mauritanie seront en danger. ça c'est clair.
cemla ne veuit pas pour autant dire qu'on doit agir maintenant d'ailleurs comment?
le probleme du mali a sa salution dans une reunion entre mauritanie, senegal algerie et france. ce qui n'aura pas lieu.^pour le moment. donc attendons le moment favorable
Monsieur Thioub ! KG ET COMPAGNIE ! NOSTALGIE C'EST POUR TOUJOURS ! ON VOUS CONNAIS ! YALLA LENE EUPEU DOLEY , SEENI PEKHE DINA NAKHSAY ! INCHALLAH !
QU'EST QU'IL FAIT AI TOGO LUI LÀ ? 🤔🤔🤔
Je ne suis pas francophile mais trouve votre raisonnement médiocre et sans fondement...et tu veux faire des contributions...
En faune stratégie à été concocté en France pour déclenché à Bamako une panique qui devait conduire à la révolte des populations cree par une pénurie de carburant qui devait déboucher sur un changement de régime malheureusement le plan n'a pas abouti parceque les populations de Bamako et des villes secondaires n'ont pas paniqué au contraire elles se sont soudés autour des colonels. La riposte de l'armee malienne à été dévastatrice pour les groupe mercenaires terroristes qui. se trouvaient loin de leurs bases(frontières Mauritanie et Algérie) la. combinaison drones, aviation hélicoptères et blindés au sol à permit d'eliminer d'eminents chefs terroristes.
Logiquement ces mercenaires terroristes qui n'ont pas les moyens de reprendre Kidal à 1500 kilomètres de Bamako, Kidal une ville adossé à la frontière du pays qui leur sert de principal base arrière, ces terroristes qui ne peuvent faire tomber Kayes ils ont essayé quelques mois en arrière et ont échoué avec d'enormes perte en vies humaines et en matériel ne peuvent aucunement se lever un jour et couper Bamako du reste du monde comme veut nous le faire croire monsieur thioub qui n'a aucun respect pour nos inlelligences
Le grand Mali baaaase et les colonels patriotes à sa tête ont encore fait échoué les plans de l'imperialisme occidentale soutenus dans les médias par des prostituées intellectuelle africains ou intelectraitres africains chargés de propagande et qui sont récompensés par des miettes et pacotilles comme les vendeurs d'esclaves africains du 19 ème siècles
Aujourd'hui, des insolents partout, des violences partout, des rébellions qui ne finissent pas, des gatsa gatsa, des milliards détournés ( ce mot,milliard, n'existait pas)
Aujourd'hui on parle, parle de tout et de rien, surtout de rien, on a chassé tous les exemples de gens bien..
Se ressaisir avant la catastrophe sonkiste !!!
Si c est pas les arabes qui viennent nous emmerder,c est les Toubabs.
Tchimmm
Honte aux Negres,toujours dominés chez eux par des prédateurs
La DGSE et la CIA sont à l ouvre,comme quand ils déstabilisant la Lybie,l Irak etc etc.
Seules les armes peuvent arrêter ces Toubabs de merde,ces colons prédateurs génocidaires sionistes crapuleux cyniques et zbjectes
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