Le Collectif Niakhtou National maintient Son Rassemblement Pacifique à Sacré-Cœur 3
The NIAKHTOU NATIONAL Collective has confirmed, via a press release, that its peaceful gathering, scheduled for Saturday, November 8, 2025, from 5:00 PM to 9:00 PM, will proceed as planned at the Sacré-Cœur 3 grounds, along the VDN highway. This decision follows a letter from the Prefect of Dakar dated November 6, suggesting that the event be relocated.
In its statement, the Collective reiterates that this demonstration is fully within the legal framework, in accordance with constitutional rights guaranteeing freedom of assembly and expression. It also emphasizes that the chosen location is a public space that has already hosted several gatherings without incident.
"The desire to relocate this demonstration is perceived as an unjustified provocation and an obstacle to the fundamental right of democratic expression of the Senegalese people," the statement denounces.
Faced with this attempt to restrict the demonstration, the Collective affirms its determination to maintain the mobilization at the originally planned location, date, and time. It calls for peaceful citizen resistance and the mobilization of all democratic, political, union, and civic forces, in strict compliance with the law.
The Collective reaffirms its commitment to peace, national stability, but also to freedom of expression on crucial issues such as the high cost of living, social justice and governance.
Finally, he urges the administrative authorities to demonstrate republican neutrality and to support this gathering instead of seeking to obstruct it.
"The sovereign people will not back down. The NATIONAL NIAKHTOU will indeed take place at the Sacré-Cœur 3 grounds," the statement concludes.
Commentaires (9)
Beaucoup de provocations des gars de Barthelemy Diaz. Ces gars ne rêvent que d'un mars 2021
Prefet laisse ces guignols faire leur marche, ils vont s'humilier tt seul
S'ils sont prêts à mourir tant mieux, on va nettoyer un peu le pays comme ça, il y a trop d'ordures
Lol vous n'êtes plus républicains ou quoi, c'est le moment de copieusement leur casser la gueule, une occasion en or, kulunaa momme comme kagniaa rekk, gnioo yemme
s ils defient l autorite , faut les chicoter ces haineux , poltrons .
Geum sa bopp dit ne pas avoir déposé une demande. N’importe quoi
Après dix-sept jours d’âpres négociations à Dakar, l’Etat le plus endetté d’Afrique, proche du défaut de paiement, n’est pas parvenu, jeudi 6 novembre, à conclure un accord avec le Fonds monétaire international (FMI). Il y a pourtant urgence. Etranglé par une crise de la dette, le Sénégal voit son économie tourner au ralenti depuis que l’institution monétaire a suspendu, en mai 2024, un prêt d’1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros).
Cette décision avait suivi la révélation d’une dette cachée de près 7 milliards de dollars, imputée par les nouvelles autorités, au pouvoir depuis avril 2024, au régime précédent de Macky Sall (2012-2024). Eventée d’abord par le premier ministre, Ousmane Sonko, puis confirmée, en octobre 2024, par l’Inspection générale des finances, l’affaire a pris de l’ampleur quand la Cour des comptes a estimé, en février, que les chiffres de la comptabilité publique étaient faux.
Le déficit budgétaire avait été largement sous-évalué. Fin 2023, il avait été chiffré à 4,9 % du produit intérieur brut (PIB) par l’ancien gouvernement. D’après le calcul de la Cour des comptes, il s’agissait pourtant de 12,3 % du PIB – le déficit s’est aggravé à 14 % du PIB en 2024. Depuis la mise au jour de ces « déclarations erronées », selon la terminologie du FMI, la dette du Sénégal ne cesse d’être réévaluée à la hausse : de 99,65 % fin 2023, elle est désormais estimée à 132 %,
Le ton est donné , quand on a dirigé un pays de 2012 à 2024 à ne pas respecter les principes et les régles républicaine en pillant l'argent du contribuable à tout va , ce n'est pas dans l'opposition qu'ils vont montrer des valeurs aux enfants et aux jeunes générations .
Quand le père dit non c'est non . Quand la loi dit non c'est non . A vous de choisir les politiques et la mentalité que vous inculquez aux jeunes générations .
Cela montre que ces gens qui défient l'autorité et la loi sont au stade du développement de la petite enfance . Tant que l'enfant n'intériose pas le non , il n' a pas grandi . Le sénégal de ces gens sont au stade de la petite enfance .
Paroles ordurieres sortant de bouches ordurieres et traitant des gens "d'ordures à nettoyer" juste parcequ'ils ne sont pas d'accord avec vous. Quelle ordure !
j'espère que apr n'a pas utilisé toutes les lacrymogènes. les liifs sont là et les prisons peuvent encaisser encore
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