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Thursday 20 November, 2025
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The "political paella": from euphoria to crisis

Auteur: Adama NDIAYE

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Le « paella politique », de l'euphorie à la crise

The triumphant election of Bassirou Diomaye Faye as head of Senegal, carried by a wave of change, quickly raised doubts about the sustainability of his coalition. From the very first hours, this alliance, which could be described as a "political paella" due to its heterogeneity, dangerously resembled the one that had brought Abdoulaye Wade to power in 2000. The ideological heterogeneity was glaring.

We wondered at the time: “After Sunday’s landslide victory, what will be the direction of this motley movement, which encompasses practically every political persuasion?” From the self-proclaimed Islamist Sheikh Oumar Diagne “Maba” to former Prime Minister Aminata Touré, and including the academic Babacar Diop, the spectrum was overwhelming. Antagonistic figures like the “local Zemmour,” Tahirou Sarr, and the moderate Abdourahmane Diouf coexisted. The core, loyal members of PASTEF rubbed shoulders with a few opportunists and defectors from the old regime. To put it bluntly: “The most deplorable aspects of the anti-establishment movement are intertwined with the most pathetic and caricatured aspects of the system.”

Read also

https://www.seneweb.com/fr/news/Politique/quelle-ligne-pour-le-president-faye-et-s_n_437071.html

This alliance between idealists, radicals, and a handful of opportunists was inherently volatile. The honeymoon lasted barely a year. Recent events seem to confirm this predicted fragility. The divorce isn't yet formally official, but the Senegalese are watching, appalled, one of those tragicomic domestic disputes played out through press releases and social media posts.

At the heart of this instability lies PASTEF, a party which, by its very nature, resists the idea of a disparate coalition. Born on innovative themes and bold communication, the movement has, over the years, drifted towards a cult of personality.

The two weeks of "Sonkonirism" that followed the party's last major rally bear witness to this. The abundant "literature" produced by his zealots uses strong terms: Guide, Light, even Messiah, often written in capital letters. This phraseology denotes a connection that far exceeds the political sphere. A party that elevates submission to its leader, Ousmane Sonko, as its sole political compass cannot tolerate the contradictions inherent in the life of a democratic coalition. Especially when that coalition includes some highly questionable figures who have left a less than positive impression on the Senegalese people.

While the clash between PASTEF and the other leaders of the coalition was predictable, it was less easy to imagine that these differences would poison the relationship within the executive couple itself.

Until now, no major ideological dissonance had been detected between Mr. Sonko and Mr. Faye, the latter having long seemed to be the former's doppelganger—albeit a softened one. Now, the Prime Minister's repeated public pronouncements, and the smear campaigns disseminated in the press by certain leaders of the "Diomaye" coalition, tend to confirm this: the two men are no longer on the same page. They no longer share the same vision of the direction the promised "revolution" should take.

To summarize the divide: Mr. Sonko seems to want to reconnect with the radical DNA of his party, advocating a clean slate, while the President of the Republic displays a more moderate and reformist vision, seeing the status quo.

However, this ideological divergence could be merely a pose. The real issue, as evidenced by the recent statement from Mr. Fadilou Keita, a close associate of Mr. Sonko, is nothing other than power and, ultimately, the 2029 presidential election.

Adama Ndiaye

Auteur: Adama NDIAYE
Publié le: Jeudi 20 Novembre 2025

Commentaires (28)

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    hakim il y a 5 heures

    Nit kou bakh meunoul boke Pastef. Toujours dans la vengeance, toujours dans la délation, toujours dans les médisances, toujours dans les calomnies. Sen khol you bone yi, sen kholou goudron yi, sen kholou kaani yi, sen kholou garga mbossé yi, sen kholou acide yi, sen kholou gaz butane yi, sen kholou volcan yi.

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    boy capsi il y a 5 heures

    TIGUI !

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    sella il y a 5 heures

    massa un soumis haineux demeurera haineux...la caravane passe mécréants que vous êtes

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    kocc il y a 2 heures

    Actuellement le sénégal est dirigé par une grande bambinerie.

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    kocc il y a 2 heures

    Actuellement le sénégal est dirigé par une grande bambinerie.

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    kocc il y a 2 heures

    Actuellement le sénégal est dirigé par une grande bambinerie.

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    touba mbacke il y a 5 heures

    le pastef a fait perdre le senegal 10 ans que des mensonges

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    sarsar il y a 5 heures

    bara ndiaye fait honte a pastef j ai honte pour ce pays

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    TIERNO il y a 5 heures

    Abdou DARA TOUSS DIOUF et Mini TOURE ne sont que des transhumants, des khoussmaniappes téléguidés par DIOMAYE pour tenter d’éliminer en vain l insubmersible SONKO
    Diomaye, un petit persidan par accident suite à un complot de Maquis SALE,le summum de la trahison, a trahi et le projet et SONKO qui l a désigné president de la republique parmi 20 millions de senegalais
    Sonko a dit non à maquis sale qui voulait reporter les elections pour que sonko soit candidat
    Sonko a cédé le parti à Diomaye quand karim wade et khalifa sall ont refusé de trouver un autre candidat pour leur parti respectif
    Diomaye , un petit persidqan par défaut nommé par SONKO éliminé sonko éliminé par maquis sale
    Diomaye avec zéro charisme, incolore, inodore et sans saveur
    Je détestais maquis sale que je ne voulais meme pas voir en phot. Désormais entre maquis sale l assassin de plus de 80 jeunes, un chien et Diomaye, je voterai pour le chien ou pour maquis sale le criminel
    Diomaye a oublié 2 chose de l’adage wolof :
    __Kouleu abal beutt moolay wakh fooy khaar, diomaye doit obeir à SONKO au doigt et à l œil
    __kou fatté djoubb wala fall , booy follékou dalay bétt, Sonko moo fal Diomaye
    Le petit président désigné insulte SONKO son bienfaiteur
    SAISON 2 du mortal combat
    Chassons Diomaye comme on a chassé Maquis SALE
    Suprême trahison du héros national Sonko qui l a désigné Président de la république parmi 18 millions de senegalais
    Si SONKO se plaint, c’est parce que le projet est dévoyé
    Maquis SALE coupable de nous mettre dans cette situation en éliminant SONKO
    Le palais et sa galaxie doivent être vidés de tous les collaborateurs de maquis sale l’assassin
    Diomaye battu dans son Ndiaganiao natal
    Diomaye n a aucun mérite sinon sauf d avoir eu la chance de croiser SONKO dans sa vie
    Diomaye doit obeir au doigt et à l œil SONKO qui lui a tout donné
    Diomaye doit se plier aux injonctions de Sonko et éviter sa colère
    N importe quel quidam que Sonko désigne serait Président de la republique
    Sonko , le seul grand électeur du Sénégal, a élu maires, députés et président de la république
    Sonko en libérateur national, fut le seul à affronter Maquis le tueur avec le peuple sénégalais qui ne respire que par SONKO

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    Modou il y a 4 heures

    L’époux de Yacine Fall a été épinglé par le rapport de la francophonie ! Marie Tew a été épinglé par le rapport de la gestion du ministère de l’enseignement supérieur Aida Mbodj a été épinglée et sera épinglée au niveau de la DER ONASGATE ASERGATE PORTGATE CDCGATE PRIMATUREGATE SANTEGATE TRANSPORTSGATE

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    Mbé mbé il y a 4 heures

    ................Assemblée: « Pastef n’a déposé aucune initiative parlementaire, reçoit 10 millions par mois », dénonce Guy Marius Sagna 30 Oct 2025

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    Lami il y a 4 heures

    Après Macky sall le prochain méchant que c est à cause de lui que l extraordinaire ousmane sonko, le plus grand génie du Sénégal et elu de Dieu ne peut pas réussir ce sera diomaye faye avec son complot avec Macky sall et la France. Voilà prochainement sur vos ecrans et avec les fachos decerebres que constituent la jeunesse sénégalaise, il y a de grandes chances que yolom soit elu en 2029, bon après c'est aes, cailloux, dictature etc, fin du bal.

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    Vincent il y a 4 heures

    Diomaye a le droit faire un 2ème mandat seulement il avait dit s'être battu 10 ans pour que ousmane soit élu président de la république s'il se dément qu'il empêche pas ousmane d'être candidat face à lui ou quelqu'un d'autre. Sa coalition diomaye est composée de membres d'apr. Il ny a aucun conflit entre les deux leaders ousmane et diomaye ils savent bien pourquoi ils ont été élus parcontre 2029 est loin personne ne sait s'il sera vivant ou pas faut arrêter confronté le bon dieu qui connaît bien le qui va arriver.

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    Var il y a 4 heures

    Ndékétéyo el mentiroso vagabondé sexuel de sweet beauty est un tigre aux pieds d'argile, carton mouillé. Il a capitulé et c'est pas encore fini.

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    tchipri il y a 4 heures

    le riz au lait chaud, avec du lait de qualité, légèrement sucré dans un bocal, aie...........

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    Herrou rails il y a 4 heures

    Fadilou,
    Il y a des moments où le silence aurait davantage servi ta crédibilité que ces sorties précipitées qui ressemblent plus à une crise d’adolescence politique qu’à une prise de position responsable.

    Ta volonté de jouer au procureur improvisé ferait sourire si elle n’était pas si maladroite : tu t’ériges en gardien de la morale alors que tu n’as ni le mandat, ni l’envergure institutionnelle, ni même l’expérience pour prétendre distribuer des jugements.

    Mais rassure-toi : la colombe ne se retourne jamais pour répondre au crapaud — elle plane. Toi, tu croasses encore au pied de l’arbre en espérant qu’on te remarque.

    S’attaquer à une femme qui a servi l’État avant même ta majorité politique n’est pas du courage : c’est de l’ingratitude, voire un manque de respect qui n’honore même pas celle qui t’a élevé. Avant de prétendre évaluer les autres, commence par apprendre la retenue, la modestie, et la gravité qui sied aux responsabilités que tu sembles tant convoiter.

    La République ne se gouverne pas avec des petites phrases ni des caprices d’humeur. Quand tu auras fini de t’agiter, les adultes continueront le travail.

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    CITOYEN il y a 4 heures

    Quelle déception, mais vraiment quelle désillusion !!!! Diomaye a trahi.
    Mais qu'est-ce qu'il croit ? Diomaye pense t'il qu'il peut survivre à Sonko ? Est ce que celui qui nous sert de président en ce moment, et n'a jamais gagné à Niaganiao pense qu'il représente quoique ce soit aux yeux des sénégalais notamment le peuple des 54% . Je crois rêver

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    Sénégalais il y a 4 heures

    Comme d'habitude toujours dans les details. Toutes ces manifestations, les biens détruits, les morts pour toujours continuer à vous chamailler. Apparemment y'a qu'une personne qui compte sur plus de 18 millions.
    C'était une parenthèse, ON N'ATTEND LA RÉDUCTION DE L'ESSENCE ET DE L'ÉLECTRICITÉ AVEC IMPATIENCE.
    La réduction des taxes sur tous les produits et services pour les senegalais avec 1 revenu faible, le recrutement, les enseignants, les élèves, la santé, la diplomatie, une solution avec FMI etc etc y'a tellement de points qu'on n'a pas le temps de gérer des caprices

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    lu il y a 3 heures

    LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT BASSIROU DIOMAYE FAYE

    Monsieur le Président,

    Il est temps de vous dire certaines vérités que beaucoup murmurent mais que personne n’ose vous adresser frontalement.
    Car le peuple sénégalais n’a pas donné un chèque en blanc : il a donné une mission. Une mission que vous semblez aujourd’hui trahir à mesure que vous avancez.

    Vous avez été porté au pouvoir par une confiance que vous n’honorez plus

    Vous le savez mieux que quiconque : sans Ousmane Sonko, sans la mobilisation historique de la jeunesse, sans la résistance populaire qui a défié les injustices du régime Sall, vous ne seriez pas là où vous êtes aujourd’hui.
    Votre élection n’est pas le fruit d’une carrière politique personnelle, ni d’une implantation populaire.
    Elle est le résultat d’un combat mené par un homme injustement écarté et par un peuple souffrant.

    Aujourd’hui, au lieu d’honorer ce sacrifice, vous semblez vous en détacher, comme si le pouvoir vous avait déjà fait oublier d’où vous venez.

    Votre ouverture aux figures compromises de l’ancien système est une faute grave

    Comment pouvez-vous parler de rupture tout en collaborant avec ceux dont les noms apparaissent dans des rapports publics, dont les pratiques ont été dénoncées par le peuple, et qui incarnent exactement ce que les Sénégalais ont rejeté le 24 mars 2024 ?

    Cette réhabilitation soudaine, injustifiée, incompréhensible, ressemble clairement à une tentative de consolider un réseau personnel au détriment du projet pour lequel vous avez été élu.

    Votre opposition aux recommandations du Président Ousmane Sonko interroge vos véritables intentions.

    Lorsque votre Premier ministre, garant de la cohérence du mouvement, exprime la nécessité de se séparer de personnalités contestées comme Dr Abdourahmane Diouf ou Aminata Touré, vous vous y opposez avec une détermination surprenante.

    Pis encore : vous osez affirmer que les rapports qui mettent en cause Aminata Touré auraient été « commandités » par l’ancien président pour la salir.
    Monsieur le Président, tout le monde sait que cet argument ne tient pas.
    Ce n’est pas une défense : c’est une justification politique commode.

    Les signes d’une ambition personnelle apparaissent déjà

    Votre empressement à structurer une stratégie qui ressemble à des préparatifs de deuxième mandat est évident.
    Vous n’avez même pas encore consolidé la rupture tant promise, mais vous semblez déjà penser à sécuriser votre avenir politique.

    Cette attitude crée le climat de suspicion que vous semblez vouloir attribuer aux autres.

    Le peuple n’a pas voté pour un homme : il a voté pour une ligne, un combat, un symbole.

    Et ce symbole, c’est le PATRIARCHE de la RÉVOLUTION le Président Ousmane Sonko.

    C’est lui qui incarne la constance, la loyauté et l’intégrité.
    C’est lui que la jeunesse suit.
    C’est lui qui reste fidèle aux principes et refuse les compromissions.

    Pendant que vous multipliez les ambiguïtés, lui rappelle la direction, la cohérence, et le sens même de notre engagement collectif.

    Monsieur le Président, il est encore temps.

    Mais la vérité est simple :
    Vous êtes en train de perdre la confiance de ceux qui vous ont porté au pouvoir.

    Et si cette rupture avec les valeurs fondamentales du projet se confirme, vous porterez seul la responsabilité d’avoir transformé une victoire historique en déception politique.

    Le Sénégal n’a pas sacrifié tant de vies, tant d’années, tant d’espoirs, pour revivre les mêmes travers, sous d’autres noms.

    Vous devez choisir : la loyauté au projet ou la dérive personnelle.

    L’HISTOIRE RETIENDRA VOTRE CHOIX.

    Le peuple observe.
    Et il n’oublie jamais.

    Le Patriote Mr Seydi.

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    Mags Maguette il y a 3 heures

    " Si l'affrontement entre PASTEF et les autres leaders de la coalition était prévisible, il était moins aisé d'imaginer que ces divergences empoisonneraient la relation au sein même du couple exécutif. "
    C'est très just Adama !
    Pour moi, le désaveu de Diomaye Sonko passerait mieux s'il avait pour cause des dissensions sur des dossiers de l'état, ou, à la limite, sur la ligne même du parti.
    C'est quand même gros d'avoir démenti si violemment son premier minisftre et non moins ami pour des aliés dont le poids politique est négligeable.
    D'autre part on peut bien reprocher à Sonko d'avoir cherché à " vilipender " le président en s'opposant publiquement à ses décisions dont lui, ent tant que chef de PASTEF étaient certainement le premier à être informé.
    En tant que président, Diomaye est forcément soumis à de très fortes pressions inhérentes à sa fonction et sera sûrement obligé parfois à prendre des décisions pas toujours conformes au souhait du parti.
    Je pense que la seule voie de salut de PASTEF, c'est l'acceptation de la situation et la patience de Sonko et ses partisans.

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    Yahya il y a 3 heures

    Leur seul désaccord qui existe entre Diomaye et Sonko, c'est au sujet du rejet de son rabat d'arrêt qui le disqualifie définitivement de la présidentielle de 2029 alors qu'il était sensé être le candidat légitime de Pasteef.
    Comme toujours, il a été mal conseillé ou têtu pour rouvrir cette affaire du Prodac. Il voulait faire un forcing pour montrer son intégrité et laver son honneur en se basant sur de faux documents qu'il a brandis comme preuves. Il faut préciser que c'est le rejet de son rabat d'arrêt qui le condamne à rater la prochaine présidentielle mais pas sa première condamnation. Ce que beaucoup de moutons de Pasteef ignorent. Leur désaccord quand Sonko a voulu que Diomaye intervienne dans ce dossier judiciaire pour le sauver. En d'autres termes, il veut que Diomaye exerce des pratiques qu'ils (Pasteef) dénonçaient du temps de Macky Sall. Il veut que Diomaye transgresse la loi, agisse comme un dictateur ( sa idéologie de la gestion du pouvoir) et fasse pression sur les juges pour le blanchir et lui tracer la route du palais. Diomaye étant un homme sincère et intègre qui croit en la séparation des pouvoirs lui a aussitôt montré son refus catégorique. C'est le Jub jubal jubanti qui a été servi à Sonko. Mais dans la tête des gens de Pasteef Sonko est un messie, un gourou, il est au-dessus des lois. Diomaye est plus sincère par rapport aux idéaux du parti que tous ces gens qui l'ont transformé en un culte de la personne. Ces histoires de coalitions ne sont qu'une suite logique de la condamnation ( rejet du rabat d'arrêt). Puisqu'il est clair que Sonko ne sera pas candidat en 2029, c'est normal que Diomaye dépoussière la coalition qui l'a porté au pouvoir aux moments où Sonko et le Pasteef le l'accusent de traître. Que voulez-vous? Retenez ceci! Sonko est plus populaire mais Diomaye est plus sincère et plus intègre que Sonko. Il ne triche pas. Diomaye n'a pas les défauts de Sonko. Ce qui manque à Sonko ce sont les qualités de Diomaye. Diomaye mooy Sonko sauf sur la vérité.
    Sonko, il se crée tout seul des problèmes mais il veut toujours que les autres se sacrifient pour le sauver.
    Ba kagn!!! Moy kane!

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    Dani il y a 3 heures

    Mais est ce que vous ça va ? Nous vous donnons un pays pour que nos souffrances soient abregées, vous nous tympanisez tous les jours avec des sujets qui n'ont aucun impact immédiat sur notre quotidien. Ayez pitié du peuple. Si vous n'êtes pas dans le besoin, sachez qu'il y a des sénégalais qui n'ont pas quoi manger. La vie était trop dure déjà sous Macky mais vous n'avez encore rien fait pour l'améliorer. S'il vous plaît, taisez ces querelles inutiles et mobilisez le génie du peuple pour régler les problèmes. Je vous jure que le peuple souffre.

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    Deug il y a 3 heures

    Diomaye a fait le résultat le plus catastrophique qu’un candidat choisi par Sonko pouvait fairre,il est noir laid et sans éloquence.Même Azoura Fall pouvait faire au minimum 60% au premier tour. s’il était soutenu par Sonko.Ce guignol et homme de cro magnon Diomaye ose parler de mérite..S’il fallait choisir par ordre de mérite le président un arriviste comme lui ne ferait même pas partie du million de sénégalais vrai ancien va nu pieds

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    Assume il y a 3 heures

    Il faut que Sonko assume ses responsabilités. C'est lui qui a désigné Diomaye et nous avons voté pour Diomaye. Aujourd'hui j'ai l'impression d'être trahi.
    Ce n'est pas pour çà que j'ai voté pour Diomaye. J'ai voté pour Diomaye pour la justice et la rédition des comptes j'ai l'impression d'être trahi.

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    AGORA il y a 3 heures

    Nous départir absolument de tout relent de rancune, de haine pour travailler et avancer ensemble Espérons vivement que l’élan d’espoir ne tourne au désespoir et au cauchemar. « Quand on réunit dans le même moule la passion, la hâte et l’orgueil, on pétrit un pain de haine » La tenue du Meeting Tera et les motifs qui y ont mené, était une énorme erreur d’égo. Ce qu’il faut, c’est de la profondeur et non de l’ampleur en galvanisant des esprits vaporeux partisans mal préparés à la joute politique saine et constructive. Il faut, par-dessus tout, cultiver et parvenir à la cohérence, la solidarité, la considération mutuelle et à la discipline d’ensemble

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    Xeme il y a 2 heures

    Rappel de la genèse de ce que nous vivons au Sénégal actuellement.
    - 2012 Macky Sall arrive au pouvoir. Contrairement à tous les discours de campagne, il se trouve être celui par qui la France va expérimenter au Sénégal un pouvoir par et pour le mensonge pure, pour retrouver, étendre et conserver ses intérêts au Sénégal. Et les intérêts de la France ne sont plus certainement protégés que par le maintien d'un Macky Sall au pouvoir. La solution retenue a été de mettre hors d'état d'être candidat aux élections présidentielles tout opposant que l'on trouverait menaçant le pouvoir de Macky. La première cible a été Karim Wade. Tout un montage mensonger pour arriver à la fameuse "autorité de la chose jugée " chère à Macky Sall. Malgré toutes précautions prises: corruption des médias, sélections des magistrats de service,la majorité du peuple comprend le modus operandi. C'est ce qui continue de se passer dans tous les pays sous contrôle français, Tchad, Cameroun, Côte d'Ivoire, Bénin, Togo. Un opposant doit être pro intérêts français ou il sera éliminé par accusations de terrorisme, de complot contre l'état, de détournement, de viol, de djihadisme, d'islamisme, voir de complot avec la Russie ou la Chine.
    La 2e cible a été Khalifa Sall. Pour avoir vécu le cas Karim, le peuple avait déjà vu venir le cas Khalifa Sall, dès que les services de l'état et les médias ont commencé à être instrumentalisés contre lui. Le peuple avait encore bien lu le modus operandi de Macky Sall. L'objectif était de mettre Khalifa Sall hors d'état d'être candidat.
    Et lorsque, après Khalifa Sall, est apparu un Ousmane Sonko, et que Macky Sall l'a encore pris pour cible pour le mettre hors d'état d'être candidat, c'est tous ceux qui ont compris que se sont levés pour s'interposer, en disant: "non, ça suffit ", à Macky Sall. C'est donc une vague de sénégalais qui a dit à Macky Sall que ce sera ici le dernier exemple de tes méthodes. Il s'est trouvé que c'était Sonko et son Pastef. Tant mieux pour eux. Tant mieux tant qu'ils comprendront la vague qui les porte, qu'ils comprendront que cela n'a absolument rien à voir avec leurs personnes, rien à voir avec leurs quelconques qualités. La vague ne déviera pas. Elle doit atteindre la fin absolue de tout ce qui symbolise le système Macky Sall, le système de la France en Afrique. Cela n'est pas propre au Sénégal. C'est désormais toute l'Afrique. La France et ses pions africains ne réussiront qu'à retarder par-ci, par-là, mais jamais arrêter. Ce n'est pas pour rien que la France parle de sentiment anti français.
    La faiblesse de ce système français en Afrique, justement son besoin de sûreté. La France veut s'assurer de la loyauté de ses pions. Elle ne peut s'en assurer qu'en les tenant par au moins un point de chantage. C'est ce qui fait que la France ne voudra jamais d'un africain propre, un patriote, parce qu'elle ne le tiendra nul part pour le faire chanter. Pour se l'assurer, la France sera obliger de le salir et garder le secret. Cette salissure pourra servir au cas où. C'est ce principe là pourtant que Farba Ngom exposait publiquement, sûrement en toute ignorance, à cause de son attitude boute au feu et sa protection assurée. A ceux qui osaient quitter l'APR, il disait toujours: "Tu as été avec nous, tu as quitté, tu es libre de t'opposer, mais tu n'as pas le droit de le faire sur le thème de la propreté ou de la justesse. Tu as été avec nous, tu es aussi sale que nous, tu ne peux donc pas prétendre que tu es propre, que tu es juste. J'ai eu à faire des choses sales avec toi, j'ai fait des injustices avec toi. Si tu oses nier, je vais tout étaler devant le public ". C'est parce que une fois, que tu es avec eux, on commence par te salir. Et une fois que tu es sale, tu es obligé de rester sage. Sali, tu n'es plus libre. C'est le principe de la France en Afrique pour faire porter ses intérêts à des africains. C'est aussi ce que Farba Ngom a exposé comme principe de l'APR.
    Maintenant, ce sont toutes ces choses là qu'une grande partie des africains a compris. Ce réveil est irréversible. Il y a deux idioties qu'un politicien africain peut avoir: c'est de penser avoir une intelligence pour dévier ou arrêter ce réveil, ou de penser que c'est à cause de sa propre personne qu'il y a ce réveil.

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    Dëgg la vérité il y a 2 heures

    Lors de l'élection présidentielle qui a porté Macky Sall au pouvoir , tous n'avaient qu'un seul objectif:le départ de Wade.
    C'est pourquoi les partis en compétition faisaient fi des idéologies.
    Ce besoin de changement était plus urgent quand le dictateur Macky déraillait en détournant mais surtout en tuant.
    De la même manière que Wade avait mené le combat contre la répression de Diouf,Sonko s'est dressé courageusement contre l'ostracisme de Macky Sall, empreint d'une méchanceté jamais vue.
    Sonko a porté la révolution pour libérer son peuple des tyrans insatiables et de leurs complices : qu'on le veuille ou non,le Sénégal est sur la voie de la souveraineté grâce à son abnégation.
    Oui ! L ' objet des tiraillements à travers les réseaux sociaux est l'élection de 2029 : un gentleman ne doit pas briser le pacte qui est de respecter les promesses faites au peuple et à ses compagnons de lutte,surtout quand sa nouvelle trajectoire lui est dictée par des voix qui étaient loin d'être les plus puissantes quand le Sénégal en avait besoin.

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    Deug il y a 2 heures

    Diom aye s' est fait avoir par son homonyme qui lui a conseillé MIMI, qu' il connaissait au nation unie. Sans savoir que MIMI est la personne la plus clivante du Sénégal, les leaders des deux plus grands partis de l'opposition PDS et APR Macky et Karim sont ses ennemis jurés. En plus le lobbies Sérréres qu'ils essayent de mettre en place au tour de lui ne marchera pas.
    PRESIDENT DIOM AYE TU ES CUIT..

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    Nit il y a 2 heures

    Les propos et les comportements des plus violents qu'il m'a été donné de constater en politique au Sénégal sont associés à ce parti et ses hommes, si bien que je regarde avec une certaine méfiance toute personne qui témoigne un minimum de sympathie à ce parti, à plus forte raison son chef. Je ne sais pas ce qui nous est arrivé en tant que peuple et nation de tolérer ce niveau de violence, de défiance à nos institutions et de manipulation de nos intelligences par ce parti et son chef mais, il est temps que ça arrête.

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    Tara il y a 2 heures

    Tu veux trouver une femme pour une nuit? Viens sur - Hot21.fun

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    Mbé mbé il y a 59 minutes

    ...Air Sénégal d'hier aucun passager n'a eu sa/ses valises

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    Oustaz Jacuzzi il y a 42 minutes

    votre gourou : cet homme dont le corps n’aurait « pas une seule cellule de décence »

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    DSK ami du Sahel il y a 41 minutes

    qui avale une noix de coco fait confiance a son anus...
    chonko vous offre la graisse de boa…

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