Visite de chantiers : Mansour Faye reprend ses fonctions et adresse un message à l'Etat
Barely released from prison, the mayor of Saint-Louis, Mansour Faye, returned to work with a field visit to several construction sites in the municipality. Accompanied by his colleagues, he announced the continuation of ongoing projects and called for the completion of those initiated by the state.
"This is a normal return to normal after a four-month absence. The municipality has continued to operate, and several projects have progressed well," he said. The mayor notably visited the recently rebuilt Fandiéry Koné school, as well as other schools rehabilitated as part of the PACASON program.
Mansour Faye also visited the Maradouane stadium, where the municipality is investing more than 350 million CFA francs to renovate the pitch.
He also inspected the works of Place Baya Ndar, Avenue Jean Mermoz and the craft village, financed to the tune of 2.5 billion CFA francs as part of tourism development.
Finally, the mayor urged the State to finalize several structuring projects, including the sanitation of Pikine, the Promoville program and the construction of the Alioune Badara Cissé hospital, in order to improve the living conditions of the inhabitants of the three-hundred-year-old city.
Commentaires (40)
Champ de 2 hectares a Diogo après mboro en 1er position de la route nationale zone agricole très fertile, prix : prix 2 8nationale00 000 FCFA par hectares
Infos et vidéo : 7 7 3 7 7 8 1 4 5
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En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
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Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Il continue de considérer les senegalais comme des ignares dont la compréhension est tributaire des medias
Monsieur Le Maire Mansour Faye, yalla na sa jamm yagg
Heureusement que les juges ne sont pas tombés dans le piège de Sonko.
Mansour Faye est plus compétent et plus intègre que Sonko le menteur, violeur et manipulateur.
Qu'est ce que Sonko a foutu à Ziguinchor en tant que maire ?
Rien, touss nada à part apprendre aux jeunes à se battre. Le seul héritage de Sonko c'est les agressions et les cambriolages à Ziguinchor.
Par contre, vous et votre beau frère, vous avez signé les heures funestes du Senegal.
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