[Dossier 2/6] Malnutrition à Diourbel : L’abandon des traitements encore préoccupant
"I had already started treatment for my son CAB Diouf at the pediatrics department of the Diourbel Health Center, but unfortunately I had to interrupt it due to a lack of sufficient resources to continue the care," confessed Ndèye Awa, mother of CAB Diouf. Like many other families, she acknowledges that her child was "lost from sight" in the care system.
According to public health specialist and nutritionist Dr. Ibrahima Fall, who is also the nutrition focal point for the Diourbel district, many malnourished children in this area are unable to complete their treatment due to a lack of financial resources.
To reverse this trend, a new strategy has been in place since 2020. It involves treating children with uncomplicated moderate acute malnutrition (MAM) directly at the community level. "The goal is to bring services closer to the population and reduce the dropout rate," said the nutrition assistant from the NGO Helen Keller International (HKI), whom we met at the Diourbel Regional Health Directorate (DRS). Fatma Wade added: "We have evaluated this strategy and are currently in the scaling-up phase as part of the Multisectoral Strategic Nutrition Plan (PSMN)."
She emphasizes that in the fight against malnutrition, managing abandonment remains a challenge. "When it comes to children under two months old, we proceed with a readmission. But beyond that, it becomes more complicated. And, we either talk about readmission after abandonment, or a new admission. This makes the care more cumbersome," she explains.
Commentaires (8)
CHERCHEZ L'ERREUR!
Malnutrition dans un pays devenu producteur de pétrole et gaz, cela vous semble normal?
Je parie que cet article va peiner à intéresser la dizaine de lecteurs.
La cause principale est identifiée dans la première phrase de l'article: le manque de moyens financiers. Pas d'accord avec "une stratégie mise en place depuis 2020 qui consiste à soigner les enfants atteints de malnutrition aiguë modérée (MAM) sans complication directement au niveau communautaire". Bah non, il s'agit d'expliquer aux populations qu'un enfant, ça a un coût. Et qu'elles feraient bien de réfléchir, de faire des calculs financiers pour mesurer leurs revenus avant d'en concevoir un. Ça s'appelle la responsabilité.
Pour lutter contre ce fléau il faut impérativement scolariser la population , faire moins d enfants, espacer les naissances, apprendre être propre. Et veiller à votre alimentation et celle des enfants. Aussi de donner pas toute votre argent aux autres. Après dieux la famille vient en première position toi ta femme et tes enfants puis les parents
Un jour j ai fait un commentaire pareil sur notre groupe Whats up d ancien du college xxx et j ai remarqué que quelque de mes anciens camarades de classe mouride ont aussitôt quitté le groupe. Après une médiation de quelques un ils revenus dans le groupe. Je me suis excusé et en même temps leurs faire comprendre que c est avec les critiques que l on peut améliorer apprendre et résoudre des problèmes.
Diourbel est une région arriérée les campagnes se sont dépeuplée au profit de Touba ceux sont restés dans les villages sont les plus pauvres
Pas beaucoup de commentaires?????. Donc cel topic n intéresse pas les sénégalais
Le mal de notre Ndiaréme est qu'il n'y a pas malheureusement pas d'activités économiques susceptibles de conférer à nos parents un minimum de vie décent.
Sa jeunesse est hors du pays pour soutenir leurs familles et Touba l'a carrément phagocyté. Les femmes restées dans le patelin sont assez vulnérables et pas assez conscientes que leur situation ne leur permet pas d'entretenir correctement leurs enfants. Il faut aller dans le sens de leur donner l'opportunité d'avoir de petites activités génératrices de revenus pour tenir.
Même le petit Khombole a pris le dessus sur diourbel. Je me rappelle il y’a 40 ans mes cousins à Khombole aller à diourbel pour faire l école là-bas
Donc la faim dans le pays
Participer à la Discussion