Affaire Badara Gadiaga: Thierno Bocoum dénonce une justice sous influence politique
The president of the AGIR-Les leaders movement, Thierno Bocoum, in a statement sent to Seneweb, warned of what he calls an authoritarian drift in power. He denounces “the instrumentalization of justice for political ends,” asserting that certain judicial decisions are being influenced by the executive branch.
“The prosecutor’s office is composed of magistrates, including the Prime Minister himself, organizer of the national Kokeuli, who has publicly acknowledged that he can direct the action by going through the Minister of Justice to request that people be prosecuted,” he wrote.
For the former MP, such a statement “of rare institutional gravity” seriously calls into question “the independence of the public prosecutor’s office and the impartiality of certain prosecutions”.
Thierno Bocoum questions “the relentless pursuit of keeping Badara Gadiaga in detention, when the facts initially used to justify the investigation have proven to be devoid of any conclusive substance,” he denounced.
He didn't stop there. "How can we justify the relentless efforts to imprison Pape Malick Ndour by desperately trying to pin an offense on him?", he further criticized.
Mr. Bocoum also believes that these actions reflect “an authoritarian drift that nothing can justify.” He nevertheless affirms that he remains hopeful, praising “the magistrates who stand firm, aware that deprivation of liberty must remain the exception and not the rule.”
Commentaires (7)
Ce bocoum vit de quoi ???
C'est un chômeur de luxe. Il est temps de se pencher sur l'origine de ses financements.
Qui est derrière bocoum, qui le maintient sous perfusion ???
Comment peut-on supporter un faussaire mercenaire?
Vraiment, mon homonyme là est malhonnête.
Il devrait changer de job parce qu'il atteint son plafond et ne raconte que des bobards.
Il est de plus en plus malfaisant
Chaque jour tu dénonces verbalement sans résultats. Il faut agir en organisant un terameeting.
Nous avons une catégorie de politiciens qui ont fini par trouver une vie en symbiose avec la presse des 100. Les Bocoum, TAS, Bougane et le nouvel Talla Sylla sont en symbiose avec cette presse. Point commun aux deux: avenir sombre. La presse des 100 découvre la fosse dans laquelle Firaouna Sall l'a laissée, et peine à en sortir. Ces politiciens, eux, étaient partis pour être la relève des partis traditionnels, mais ayant complètement raté la gestion de leurs atouts. Un TAS contre la gâteau de notre pétrole offert à TOTAL. Une sortie de la secte que j'avais vu applaudi jusqu'en Égypte. Mais au rebond, quelle raté.
En fin de compte, un compromis entre eux et la presse. Elle a besoin d'eux pour avoir des titres et du contenu, ils ont besoin d'elle pour na pas tomber dans l'oubli. Mes parents pulaars auraient dit: "Hakkunde ngaari e ndiljaan deeno maayo ". Comm entre le heron garde bœuf et le bœuf. Le héron a besoin du bœuf parce qu'il est son grenier de nourriture, de tiques. Et le bœuf a besoin du héron parce qu'il est son insecticide, son déparasitant naturel.
Honte a Thierno Bocoum !!!
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