Tivaouane Peulh-Niague : Les habitants de Namora pris au piège des travaux de réhabilitation de la route
Residents of Namora, in the commune of Tivaouane Peulh-Niague, are living in a life of misery. During the rainy season, their neighborhood is virtually cut off from the rest of the commune due to unfinished road rehabilitation work.
This work, which came to an abrupt halt at the Tidiane hardware store stop, has had serious consequences for local residents. The section leading to the inner cities of Namora is now flooded with rainwater, transforming the streets into swamps and making all vehicle access impossible.
An isolated neighborhood deprived of basic infrastructure
Furthermore, "we lack everything. No elementary school, no pharmacy, no health center, no market. We have nothing in Namora. We had great hope for this road, unfortunately, you saw the state it is in. We can no longer go about our business. This is unacceptable," says Sokhna Maï Mboup, the "badiene gokh" (community representative) of Namora.
This situation is impacting the daily lives of families. Children attending school during the summer struggle to reach schools located outside the neighborhood, the sick have to travel long distances to access healthcare facilities, and businesses are seeing their businesses paralyzed.
Furthermore, residents denounce a glaring lack of communication from local authorities. "There is a communication deficit. In such a situation, they should have informed the population about the reasons that led to the abandonment of the construction site. We feel like we've been left behind," explains Ibrahima Cissokho, a resident of Nam
Faced with this disarray, the population is appealing to municipal and state authorities to resume work and address their basic infrastructure needs. For them, the Namora road is not just a matter of mobility, but of survival and dignity.
Commentaires (6)
J'espère que vous ne regrettez pas votre vote
C'était comme ça avant le vote Monsieur
Les communes ont partout failli à leur mission pourquoi?
- Manque de moyens, de personnels qualifiés,laxisme
- Défauts de contrôle sérieux de l'utilisation du budget qui a été voté.
Revoir le rôle du commandement territorial sur la marche des communes.Donner aux riverains un droit de saisir directement la cour des comptes.
Créer des associations de quartiers( copié le modéle ASP) dédiées uniquement â l'assaissinement, la sécurité, l'environnement,les nuisances sonores et autres occupations anarchiques des espaces publiques et la santé.
Revoir le rôle des délégués de quartiers et la durée de leur mandat.Miniaturiser certaines sociétés comme ONAS ,DEM DIKK c'est à dire en doter chaque grande commune comme PIKINE,GDIAWAYE,RUFS,G YOFF etc...etc..etc.. JJJ bon slogan devenu inaudible.
Vraiment war naniou dimbali de rompoint ma ndoumbé a niague ya pas une route goudronné c vraiment difficile de vivre ici
Nous n'avons pas de Maire inchallah n'a rien fait pour namora
Le problème ne réside pas dans le gouvernement actuel ou dans l'ancien régime, mais plutôt dans les autorités responsables de l'attribution des lotissements et les maires. Comment pouvons-nous attribuer des terres à des promoteurs pour les lotir sans un cahier des charges ? Ce cahier des charges devrait prévoir une canalisation pour chaque lotissement. Il est trop facile de morceler des terrains, de mettre du bitume sur les routes, de récolter des millions et de laisser les acquéreurs face à leurs problèmes, en espérant ensuite que l'État se charge de la réurbanisation. De nombreux problèmes auraient pu être réglés dès le départ, même si cela implique que les terrains coûtent un peu plus cher, à condition qu'ils offrent un havre de paix pour les riverains, surtout pour tous les nouveaux lotissements. C'est partout pareille, à Zac Mbao, nous rencontrons les mêmes problèmes, avec les lotissements de Holding Baobab : pavage partiel des routes sans aucune canalisation !! Lotissement fait depuis 2014, difficile de faire respecter au promoteur ses obligations pour le bitumage des routes, car il est sur d'autres projets récents !!
Je suis désolée de vous le dire mais le calvaire que nous vivons á la cité Namora et surtout au niveau des extensions dépassent l"entendement en effet en tant que habitants de la cité des enseignants, nous manquons de tout, pas d'adduction a l' eau potable, pas de ramassage des ordures,pas de marché, de dispensaire, ni d'école primaire, , et la liste n'est pas exhaustive.c'est comme si on est pas da la capitale ,au secours
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