Hôpital Principal de Dakar : le nouveau directeur, Pr Coumba Diouf Niang, en cinq dates clés
Le successeur du médecin-général Fatou Fall à la tête de l’établissement militaire affiche une trentaine d’années de carrière. Le Soleil a revisité son parcours. Extraits.
2025
Pr Coumba Diouf Niang a été installé dans ses fonctions de directeur général de l’Hôpital Principal de Dakar (HPD), mardi 30 septembre. Jusqu’à sa nomination, ce médecin-général, chirurgien spécialisé en orthopédie-traumatologie, était le coordonnateur des services chirurgicaux de l’HPD.
2016
L’année au cours de laquelle, Pr Niang est devenu professeur titulaire de la chaire de chirurgie de guerre et commandant de l’École d’application du service de santé des armées ; établissement dont il est le directeur des études depuis 2013.
2012
Il obtient son agrégation. Dans la foulée, il devient chef du département d’orthopédie, traumatologie et neurochirurgie de l’Hôpital Principal.
2003
Pr Niang est reconnu chirurgien des hôpitaux des armées. Ce qui lui ouvre la voie à différentes responsabilités, notamment au sein du service d’orthopédie, traumatologie et neurochirurgie de l’Hôpital Principal. Six ans plus tôt, il était admis au concours d’assistant des hôpitaux des armées, occupant même le poste d’adjoint du chef du bloc opératoire.
1994
Début de sa carrière de médecin militaire, après sa thèse soutenue à l’UCAD. En tant que lieutenant, Pr Coumba Diouf Niang a effectué ses premiers pas à l'infirmerie hôpital de Ouakam (IHO). Durant sa carrière, il a été affecté à Kaolack, à Tamba et à Dakar. Il a effectué des missions à l’étrangers, par exemple au Rwanda et au Libéria.
Commentaires (19)
Je suis convaincu que vous êtes à la hauteur des attentes
Félicitations encore💪🏿💪🏿💪🏿💪🏿
Qu'Allah veille sur vous, mon général
Bonne chance professeur et qu'Allah accueille Birahim au paradi.
En tant qu’ancien du Lycée Lamine Gueye, comme moi, je ressens une grande fierté de voir l’une des nôtres accéder à une telle responsabilité. Cela fait des années que je ne l’ai pas revu, mais je garde un souvenir marquant : un jour, alors que j’emmenais un accidenté à l’hôpital, elle s’était occupée de ce patient avec une humilité, une disponibilité et une humanité exemplaires, sans rien attendre en retour.
C’est cette image d’une femme affable, compétente et profondément humaine que je garde d’elle. Cette consécration, elle la mérite amplement.
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