AGRESSION À MBORO : Le procureur requiert 3 ans ferme contre les prévenus
Poursuivis pour agression violence et voies de fait, Charles et Pierre sont attraits à la barre du tribunal des flagrants délits de Thiès, pour avoir agressé le vieux B. Mbaye et le jeune A. Dièye, à Mboro.
Selon les victimes, elles ont été nuitamment interceptées par les mis en cause armés de machette, pour dérober leurs téléphones portables. Le vieux B. Mbaye a souligné que quand il a voulu riposter, les agresseurs l'ont violenté à la machette. Il a réclamé la somme d'un million FCFA en guise de dommages et intérêts.
Pour sa part, le jeune A. Dièye a affirmé que les agresseurs ne l'ont pas violenté, parce qu'il les a remis son iPhone 13 sans opposition, pour préserver sa vie.
Ce que les prévenus ont nié. Charles a déclaré qu'il était sur les lieux de l’agression, mais qu'il n'a agressé personne. Il a annoncé avoir reconnu les agresseurs et à précisé avoir cité leurs noms devant les enquêteurs.
Estimant les prévenus coupables des faits, le procureur de la République a requis trois ans de prison ferme.
Ils seront fixés prochainement sur leur sort.
Commentaires (2)
pour le reste c'est la routine, agressions, viols, crimes , foutu pays !
“La région de Kaffrine occupe la quatrième position parmi celles ayant les taux les plus bas, avec 25 cas de grossesse enregistrés en milieu scolaire” en 2024‐2025, a‐t‐il notamment indiqué, au cours d’une rencontre de partage des outils de collecte des données recensées durant une année dans les seize académies du Sénégal.
Cette rencontre de partage du rapport de l’Observatoire sur les grossesses en milieu scolaire, a été présidée par Ibrahima Sarr, secrétaire général de l’Inspection d’Académie de Kaffrine.
L’Inspecteur de l’Enseignement moyen secondaire, Aly Lom, des représentantes des élèves, des Principaux d’établissements scolaires, ainsi que des structures partenaires, dont Action éducative en milieu ouvert (AEMO), une structure déconcentrée du ministère de la Justice, ont pris part à cette rencontre..
Selon le coordonnateur régional adjoint du GEEP de Kaffrine, parmi les cas recensés figurent également des élèves mariées inscrites dans les établissements scolaires.
“Face à cette situation, la prévention des grossesses précoces en milieu scolaire nécessite une approche multisectorielle, impliquant l’école, la famille, la communauté et les services de santé”, a indiqué M. Mané.
Il a insisté, à ce propos, sur l’importance d’une éducation sexuelle “adaptée à l’âge”, la sensibilisation des élèves et des parents, la promotion de l’égalité de genre, ainsi que la mise en place de mécanismes de protection et de réintégration scolaire des filles enceintes.
Ces actions, selon lui, sont indispensables pour réduire l’ampleur du phénomène et garantir le droit à l’éducation des adolescentes. M. Mané a enfin appelé à un renforcement des activités de sensibilisation, afin d’atteindre l’objectif “Zéro cas de grossesse en milieu scolaire”.
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