Brésil–Sénégal - Ederson prévient : «Ce ne sera pas une partie de plaisir»
Le gardien brésilien Ederson s’attend à un match amical relevé face au Sénégal, ce 15 novembre, à l’Emirates Stadium de Londres. Battu 4-2 lors de la précédente confrontation entre les deux sélections, le portier de Fenerbahçe (ancien de Manchester City) assure que cette fois, le contexte est totalement différent.
«Beaucoup de choses ont changé depuis ce match. La logistique était différente, certains joueurs étaient déjà en vacances et ont dû revenir après seulement dix jours, ce qui n’était pas simple», a rappelé Ederson.
« Mais aujourd’hui, la manière de penser et de travailler a évolué. Sans vouloir minimiser le mérite du précédent entraîneur, avec Carlo Ancelotti, c’est une vision différente, une autre approche du rôle d’entraîneur», ajoute-t-il.
Pour le portier brésilien, l’arrivée du sélectionneur italien a insufflé un nouvel état d’esprit au sein du groupe. «Voir un entraîneur aussi performant à la tête de l’équipe est très motivant pour les joueurs. Cela nous insuffle un esprit de compétition. Nous devons être soudés », a-t-il confié.
Selon lui, l’intensité des entraînements récents illustre bien cette nouvelle dynamique. «Ces deux derniers jours, j’ai vu comment mes coéquipiers s’entraînent ; c’est au plus haut niveau, remarque-t-il. On peut s’attendre à un grand match contre le Sénégal, qui possède une excellente équipe et d’excellents joueurs. Ce ne sera pas une partie de plaisir».
Le Brésil compte sur cette rencontre pour confirmer son renouveau après une période d’instabilité et des résultats en dents de scie. Face à des Lions en pleine confiance, le défi s’annonce de taille.
Commentaires (3)
C'est maintenant on compare le brésil à une équipe africaine, ah la vie....
C'est dire les choses tournent dans la vie
Groupe gfm de kulunas vous avez tout faux. L'assemblée nationale au Sénégal ne peut être dissout par le PR qu'au bout de deux ans de législatures ce qui fait un an presque jour pour jour. Donc le PR ne peut pas dans quelques mois dissoudre l'assemblée. Et puis au bout d'un an s'il y a dissolution il y a automatiquement une nouvelle élection. Qui sanctionnera encore le pastef majoritaire et donc aura encore deux ans de plus de rigidité. En analyse politique il faut être serein et objectif. Si aujourd'hui Joomay nomme un nouveau PM il se heurterait à une motion de censure dans le trimestre. Si ASS veut être PM il ne durerait que le temps d'une rose, peut être même pas. Ensuite dire que le PR peut gouverner par ordonnance signifierait que nous sommes en état d'urgences qui doit être un moment transitoire n'excedent pas une période et non renouvelable. Sinon ce serait de fait un constat d'incompétence du PR et appellerait à une présidentielle anticipée. D'ailleurs mettre l'état d'urgence alors que les institutions fonctionnent sans ambages serait impossible. Il faut un motif valable. Et pire la situation d'état d'urgence est octroyée par l'assemblée à l'issue d'un vote. Vos analystes politiques sont soit nuls, soit de mauvaise foi. Ou bien même les deux à la fois. Notre système hyper présidentialiste est un leurre car il ne fonctionne que si la majorité parlementaire est arrimée à l'exécutif. Autre aspect non pris en compte dans cette analyse est que Joomay peut perdre le pouvoir aussi rapidement qu'il l'a acquis. Beaucoup ne le conçoivent pas mais attention il engage un bras de fer en situation d'extrême faiblesse. Senghor tout comme Wade avaient engagés le bras de fer avec leur numéro deux parce qu'ils detenaient la majorité parlementaire. C'est le parlement qui vota la motion de censure contre Mamadou dia, qui vota la mise en accusation de idrissa seck et qui vota la fin du mandat de president de l'assemblée de macky. Tout compte fait il semble que Joomay est encerclé et mis en échec sur l'échiquier politique. Il a très tôt voulu se mettre au dessus de la mêlée sans aucun ancrage politique solide. C'est Icare qui monte vite au ciel mais plus il monte plus dure sera la chute. Pire il semble de plus en plus évident que c'est un roi-fainéant qui ne s'implique pas beaucoup préférant déléguer et donner des directives pour mieux se laisser du temps libre à jouer au Scrabble, lire des romans et voyager pour discourir. Et extrême crime il semble très sensible à la flagornerie, ce qui est un signe de faiblesse patant du besoin compulsif de reconnaissance. La flatterie étant l'arme redoutable des rusés dont il s'est entouré. Ils se delectent de le manipuler à leur guise. Bref c'est son choix et il en paiera les conséquences. Ce ne sera pas difficile ni dur. Le Senegal est au dessus de tous. Le Senegal est au dessus de Joomay.
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