Lutte avec frappe : Le Cngl adopte de nouvelles règles sur les blessures avant combat
Le Comité national de gestion de la lutte (Cngl) a annoncé, dans une circulaire datée du 3 novembre 2025, l’entrée en vigueur de nouvelles dispositions visant à mieux encadrer les cas de blessures des lutteurs avant la tenue d’un combat officiel. Cette décision fait suite à plusieurs incidents récents ayant perturbé l’organisation des affiches dans les arènes.
Selon le texte signé par le président du Cngl, Malick Ngom, désormais, tout lutteur blessé avant la date prévue de son combat demeure « redevable » de son engagement initial et ne pourra pas lutter pour un autre promoteur tant que ce contrat ne sera pas honoré.
Le dispositif prévoit également une solution pour l’adversaire du lutteur blessé, autorisé à solliciter un nouveau combat auprès du même promoteur afin de ne pas rester inactif durant la période d’indisponibilité.
Le communiqué ajoute qu’au-delà d’un délai de trois mois, si le duel initial ne peut être reprogrammé, l’adversaire pourra, cette fois, contracter un autre combat librement avec un autre promoteur.
Pour le Cngl, ces mesures ont pour objectif de protéger les promoteurs, préserver l’équité sportive et assurer la crédibilité du calendrier des combats, régulièrement mis à mal par des forfaits tardifs ou des changements d’adversaires.
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